Découvrez les 120 artistes
de l’édition #10
Après Jef Aérosol, Hervé Di Rosa, JonOne et Demaiter, c’est l’artiste SANDROT qui sera la marraine de l’édition 2024.
Sandra Guilbot, reconnue sous le nom de SANDROT, est une artiste contemporaine, née à Marseille en 1989. Elle puise dans la nature la principale source de son inspiration. Ses portraits animaliers au style singulier offrent de remarquables compositions. Elle a récemment collaboré avec l’Aquarium de Paris, le Museum de Marseille, ainsi qu’avec la ville de Toulouse pour une œuvre monumentale sur le Canal du Midi.
« Je suis profondément honorée d’avoir été choisie comme marraine de Solid’Art pour cette édition anniversaire. C’est avec une immense gratitude que je m’engage à contribuer, à ma mesure, à l’épanouissement des enfants accompagnés par le Secours populaire. Leur permettre de partager des instants de bonheur est une mission porteuse d’espoir. Ils représentent notre avenir, celui de l’humanité tout entière ».
L’artiste signe l’affiche du salon Solid’Art Lille 2024, elle a choisie de représenter une colombe blanche, symbole de paix, d’espérance et d’amour.
Olivier Ribardière est l’un des photographes d’enfants les plus talentueux de sa génération. Les plus grandes marques de haute couture, la publicité et la presse font appel à lui. La rencontre d’Olivier avec Olivia François (créatrice, styliste) va s’avérer déterminante dans la réalisation de costume uniques, aboutissant à plusieurs univers
Dans le cadre de Solid’Art, Olivier réalisera des portraits uniques tirés sur papier d’art et numérotés. Tel un grand maitre de la peinture flamande ou espagnole, il vous mettra en lumière en vous enveloppant d’un clair-obscur subtil pour mieux ressentir vos émotions et forces singulières. Olivia vous habillera, vous ou vos enfants, en costume d’époque ou de super héros (uniquement pour les enfants)
Réservation de créneaux (séance 1h) sur les 3 jours du salon.
Inscription et information : 06 07 49 62 29 / olivierribardiere63@gmail.com
Instagram @olivia_et_olivier
L’Atelier Kencre est un atelier artisanal de sérigraphie créé à Lille en 2017, spécialisé dans l’impression sur papier.
Artistes présentés : Nasty ; Mister P ; Kelu Abstract ; Claire Fanjul ; Vincent LELIEVRE ; Thomas Berthier, …
France Bleu Nord
La radio France Bleu Nord, partenaire de Solid’Art, sera présente sur place pendant les trois jours du salon avec une borne grâce à laquelle les visiteurs pourront jouer avec nous et gagner de nombreux cadeaux !
Journée spéciale le samedi 15 juin avec Patrick Marlière qui sera en direct avec des artistes et visiteurs. Les rendez-vous sont fixés deux fois par heure entre 10h et 12h, ainsi qu’entre 16h et 19h.
Anagraphis est une maison d’édition de sérigraphies d’art et d’estampes numériques, signées et numérotées.
Avec un fonds de plus de 8 000 sérigraphies d’art et près de 190 artistes édités, la maison d’édition présente de nombreux mouvements artistiques : l’Art Contemporain, le Street Art ou encore la Bande Dessinée !
Robert Combas, Errö, M. Chat, Siné, Mist, Shleton, Pablo Picasso, Robert Crumb, Mezzo, JonOne, Jace, … Depuis plus de 40 ans, Anagraphis est soucieuse de partager ses productions artistiques avec le public.
La maison d’édition Anagraphis est partenaire de cette première année édition de Solid’Art Paris.
Justine Coquidé utilise sa propre Technique Artistique: le Collage. Ces oeuvres sont exposées au sein de sa Galerie This is Art, 27 rue de l’Espérance à Roubaix. Justine Coquidé rend hommage à des Oeuvres de l’Histoire de l’Art et propose toutes ses Oeuvres numérotées sur 15 exemplaires, signées et certifiées. Cette artiste passionnée, déterminée et engagée souhaite, à travers ses oeuvres, en plus de transmettre sa passion pour l’Histoire de l’Art, pouvoir apporter son soutien pour diverses causes défendables et luttes. En effet, pour chaque Œuvre d’Art, l’Artiste propose ses Épreuves d’Artiste au profit des ONG ou pour des Associations qui lui tiennent à cœur.
Solidaires … yes we are ! We Art 51 est un concept innovant qui révolutionne l’accessibilité à une œuvre originale d’un artiste contemporain. Comment ? – En la déclinant en sérigraphie à 50 exemplaires, tous numérotés et signés de la main de l’artiste. Chaque achat d’une sérigraphie permettra de gagner des sérigraphies rehaussées à la main par les artistes. Et vous qui êtes à la recherche d’une pièce unique … que diriez-vous de vous offrir un billet unique, customisé par des artistes venant des 4 coins de la France… les dollartistiques fleuriront sur le stand We Art 51
Artistes présentés : Cren, Thomas Van Hecke, DrColors x Wedes, 22h22, Kabrit, Jean-Jacques Tachdjian, Kylab, Amose, Chloé Besnard, Quentin DMR, Ërell, IPNS, Varoc, Ouroboros, Régis Lelièvre, Laurence Pigeyre, Lou Ducatillon et Alexandre Wirth.
Liste des dollartistiques : Chanoir, Jo Di Bona, Izak Zenou, Geneviève Gauckler, Bishop Parigo, Colonel Moutarde, Loïc Lusnia, Raf Urban, Otom, Licea, Remi Cierco, Djiango, Mr Popart, Cofee, Geleb, Kent Kayne, Ster, Chris Puddy, Le CyKlop, Laurent Badier, Monkiz, Tank & Popek … et bien d’autres encore.
cssJPG Jenfi est un artiste participatif urbain & contemporain qui questionne notre relation à l’environnement naturel, urbain, social, digital, intime
Au salon Solid’Art, les visiteurs seront invités à créer leur propre œuvre d’art sur des mini-structures cubiques appelées « babyqube ».
L’artiste Tommy Knuts invitera les visiteur du salon à réaliser ensemble une fresque type « coloriage numéro d’Art ». Il aura au préalable, dessiné les tracés sur une grande toile tendue. Chaque zone à colorier sera marquée d’un numéro. Des pots de peinture numérotés de chaque couleur seront disponibles. Une fois finalisée, la toile sera offerte au Secours Populaire.
Avec Art Taddam Osez l’art sans limite de compétence ! Découvrez vos créations artistiques réalisées avec les pochoirs Art Taddam, accessibles à tous, même aux débutants !
> Rdv Samedi et dimanche après-midi pour participer aux ateliers.
Vincent Lelievre, artiste urbain, voue une passion dévouée à l’architecture. Depuis plus de 30 ans, il dessine des représentations autour de l’habitat et de la ville, nous incitant à réfléchir sur notre environnement. Ses œuvres figurent dans de nombreuses collections à travers le monde et il expose régulièrement en galerie ou lors d’expositions.
> Rdv le dimanche après-midi pour assister à sa performance
Maître fondeur et sculpteur, Saúl Velázquez de Castro travaille le bronze comme personne. L’artiste espagnol proposera pour la première fois sur le salon, la création d’une sculpture en directe !
Rdv le samedi après-midi pour assister à sa performance
Djiango, architecte du portrait, marie son expertise en architecture à son art, créant ainsi des œuvres qui se présentent comme des projets architecturaux.
L’artiste réalisera une performance durant les 3 jours du salon !
Amoureuse de la côte d’Opale, la mer a toujours été présente dans la vie d’Aliette, Hardelot sa ville de cœur et d’artiste, occupe une place centrale dans son monde composé de vagues et de coquillages. Elle aime se promener au grand air le long de ces plages infinies où elle trouve matière et inspiration.
A la fois apaisantes, intrigantes, émouvantes, ses compositions ne laissent pas indifférent. Véritables poèmes sculptés, ses œuvres nous parlent de la nature, de l’environnement et des détails qu’il ne faut pas négliger.
Dans son atelier de Wambrechies, sa galerie d’Hardelot en France ou Knokke le Zoute en Belgique elle expose, transmet sa passion de l’art et de la mer, cours, stages, art thérapie.
Dans son travail, Marie mêle la géométrie à une certaine forme de poésie en créant des histoires sur l’invisible ou
l’éphémère. « La nature, et ce qui nous entoure en général, nous offre un fabuleux spectacle abstrait, vivant et en mouvement. J’y vois des formes, des lignes, des courbes, des ombres, des liens, des échanges et toute cela m’inspire de belles histoires que je me plais à retranscrire sur la toile. ».
Dans son travail récent sur toile, Marie a délaissé les lignes strictes faites au scotch au profit de formes simples, arrondies et apaisantes tracées à la main. Un retour à plus de minimalisme qu’elle complexifie toutefois avec un fond « mosaïque » créé avec des bandes de lin entrelacées et dont la texture tout à fait singulière se rapproche de celle du velours.
Les sculptures de Laetitia Antoine oscillent entre équilibre et mouvement, entre force et légèreté, invitant à un voyage dans le monde aérien du cirque et de la danse. Utilisant le fil de fer comme fil conducteur, elle le modèle pour lui donner vie, le reliant à son imaginaire et à son expression finale. Intervenant ensuite, le papier apporte sa légèreté, sa fragilité et sa matière, créant un jeu de rythme et de transparence.
Le travail en bronze complète ses explorations artistiques, offrant de nouvelles perspectives sur l’équilibre et la vie.
À travers ses œuvres, émergent des instantanés de vie captivants.
Maxime, chef pâtissier, et Jade, styliste et designer textile, se rencontrent par hasard et décident, quatre-vingt-dix jours plus tard, de tout quitter pour partir voyager ensemble en Inde, au Népal et en Thaïlande. Inspirés par l’artisanat rencontré lors de leur périple, ils fondent à leur retour en France Bello & Bello.
Cette entreprise donne vie à des objets du quotidien fabriqués à la main, imprégnés de poésie et d’une profonde histoire.
Chaque création de Bello & Bello est une connexion entre le passé et le présent, entre l’artisan et l’observateur, offrant ainsi des pièces intemporelles qui laissent une empreinte durable dans le monde changeant de la décoration.
Chloé, photographe depuis 2013, explore diverses techniques artistiques pour exprimer son engagement envers l’égalité et la liberté individuelle. Inspirée par ses voyages en Afrique, elle crée un projet novateur utilisant le marc de café comme matériau principal. Ses œuvres, alliant vidéo, photographie, dessin et peinture, captent l’essence des paysages et des émotions à travers des textures et des motifs uniques. En associant le café à des matériaux naturels, elle cherche à élargir son expression artistique tout en offrant aux spectateurs une expérience sensorielle et esthétique profonde.
Son travail incite à réfléchir sur la beauté cachée dans les éléments quotidiens et explore de nouvelles dimensions artistiques.
Thomas Berthier est un artiste sérigraphe né en 1980 dans le nord de la France. Formé aux arts-décoratifs de Strasbourg option «communication graphique», et titulaire d’un DNSEP, il trouve dans la sérigraphie le parfait outil pour exprimer et libérer son énergie créative.
Après plus de 15 ans en tant qu’indépendant dans la création graphique et visuelle, il crée en 2018 son atelier de sérigraphie artisanale. Son univers est un bouillonnant mélange de graphisme, d’illustration, de détournement d’images et d’impressions sur différents supports qui lui permet de coucher sur papier un monde original, spontané et poétique.
Passionnée par le domaine artistique, Danièle Bienfait a commencé par peindre puis a découvert la terre et toute la richesse et la beauté que l’on peut en tirer. «L’eau, la terre, le feu, trois éléments essentiels à la vie qui me fascinent.»
Son travail actuel est axé sur le couple, la famille, les amis et la féminité ; avec des finitions en Raku et son ultime épreuve du feu. Elle essaye à travers ses sculptures de transmettre un message ou une symbolique.
Formée à l’Ecole d’Art de Douai, elle anime un Atelier « Expression terre » et un Atelier « Enfants » à Templeuve en Pévèle, le partage étant pour elle très important.
Zacharie Bodson est né en 1998, cet artiste urbain lillois commença son travail en détournant l’image de Jack Nicholson. Le but était de parler politique, propagande et publicité.
Il imprègne l’ensemble de son travail de références historiques artistique. En plus du collage de rue il travaille avec différentes techniques alliant dessin, pochoir et collage sur divers supports. Il développe plusieurs séries comme Fake Beaux Arts ou il ré-interprète des oeuvres afin de les moderniser avec comme concept de sortir les tableaux des musées et les rendre accessibles au plus grand nombre. Propaganda et girl power ou en utilisant l’iconographie de la publicité des années 50 et 60 Américaine il parle de notre monde contemporain. Son objectif est de donner à voir, réfléchir, interpeller voire de heurter le public. Face au flot ininterrompu d’actualités, d’images et des aberrations du marché de l’art, tout ce qu’il produit est une catharsis.
Bonnave Pascaline puise son inspiration dans les scènes de vie, qu’elles se déroulent en hiver ou en été. À travers la peinture à l’huile sur toile, elle magnifie et contraste ces instants du quotidien, jouant avec les couleurs, les ombres et les lumières pour créer des textures riches.
Ses œuvres mettent en scène des personnages familiers, qu’il s’agisse d’amis, de connaissances ou de figures du passé, dans des situations qui évoquent des souvenirs, invitent au rêve et à l’évasion. Parfois, les personnages sont absents, laissant derrière eux une empreinte, un lieu chargé d’histoires passées ou à venir. Chaque tableau est soigneusement titré pour susciter l’intérêt du spectateur et l’inviter à s’immerger dans une histoire en devenir.
Ses premiers balbutiements, en autodidacte, dans la sculpture remontent à 2016. Nathalie Brenne, « jeune » artiste (de bientôt 56 ans, quand même !). Mais, à peine le doigt dedans, le bras a suivi et le reste aussi. Avec gloutonnerie, elle a façonné, en papier mâché et argile, des personnages colorés et truculents, qui parlent de ce qu’elle perçois de la nature humaine. Et ces humains, qu’elle aime plutôt bien, c’est dans les concerts de rock et de métal qu’elle adore les rencontrer, les côtoyer, les absorber. Dans ce grand lâcher-prise, dans ces moments d’outrance et de communion où les gens fusionnent, quels que soient leur origine sociale, leur sexe, leur âge, leur couleur. Aujourd’hui, elle sculpte principalement des punks qui symbolisent, selon elle, tout le piquant, mais aussi toute la bonhomie de l’humanité, et des fauves aux intentions plus ambiguës.
CAPTON se distingue par sa remarquable dévotion à son art, incarnant l’essence même du peintre-sculpteur de lumière. Maîtrisant avec virtuosité technique, matière et palette chromatique, il transcende ces éléments pour donner naissance à des œuvres d’une profondeur inégalée, illustrant avec une rare puissance le monde animalier. Ce qui fascine tout autant chez CAPTON, c’est sa capacité à toucher au plus profond de l’âme humaine, offrant un chemin vers une sagesse qui éclaire à la fois la compréhension de l’animal et de notre propre nature.
Son œuvre, véritable lieu d’échange entre réalité et transcendance, témoigne d’une authenticité indéniable, reflétant la voie singulière de sa propre réalité artistique.
Artiste Peintre | Capton.art | France
Considérant l’évolution de notre espèce comme une erreur de la nature, Thomas CARYN alias «TMSCRN» se plaît à photographier ces endroits libérés de toute oppression humaine et où la végé- tation et les outrages du temps y ont repris le dessus.
De la centrale électrique en passant par la morgue et les blocs opératoires d’hôpitaux, de la petite ferme en passant par l’église du village… Il recherche, arpente et s’introduit dans ces lieux abandonnés mis en offrande sur l’autel de l’obsolescence.
Une réflexion sur le nombrilisme humain et sur cette supercherie montée de toutes pièces qu’est… le temps.
Autodidacte depuis le plus jeune âge, Thomas apprend les bases de la photo en analysant la technique et les clichés réalisés par son père, photographe ornithologue.
Après des études générales, Christophe Catelle s’est tourné vers l’ébénisterie. Formé à une certaine exigence de réalisation, au dessin et à une culture artistique, il conçoit et réalise des sculptures.
« Chacune est une histoire de la vie qui passe, tirée du fond des fibres, ou de traces de rouille. Souvent dans le rond, la sphère. » dit-il. Son travail est une recherche permanente de contraste. Par l’emploi de l’abstrait, toute la palette des émotions humaines est abordée. Une apparence détournée, patinée pour parler du cœur des choses et laisser de la place aux rêves.
Voilà des œuvres à tendance expressionniste qui plonge au plus profond de l’âme humaine, réalisée par ce jeune artiste. Il révèle une forte empathie, en particulier pour des êtres malmenés, parfois brisés par la vie.
Cette galerie de portraits retient l’attention, suscite l’émotion par sa vérité, son intensité et la dignité de chaque modèle.
Nathan Chantob trouve ses modèles au cours de ses pérégrinations dans la rue, au bar ou dans le métro ; ces personnages anonymes qui le touchent. « L’obscurité la plus sombre n’est jamais loin de la lumière la plus vive » dit-il et c’est cet espoir qu’il veut partager. Ces hommes et ces femmes semblent, pour certains, vouloir capter l’attention du spectateur, établir un dialogue, leur regard le révèle. Le dessin est à la base de cette œuvre puis vient la peinture qui affirme les traits, les creuse quelquefois.
Née à Lille en 1993, Agathe Charvoz a grandi dans une époque marquée par la surconsommation et le patriarcat comme principes éducatifs. Étudiante à l’école Belge Saint-Luc en Arts Graphiques, elle a ressenti un besoin viscéral de créer avec tout ce qui l’entourait et de trouver son mode d’expression. Le féminisme et l’image de la femme sont devenus ses principaux sujets de préoccupation. Son objectif est de transmettre ces idées avec sincérité en utilisant les outils à sa disposition, en variant sujets et médiums selon son environnement et ses émotions. Dans le cadre du projet « Domestic Dream », elle a réalisé une série de 50 madones aux pastels gras sur papier, explorant le rôle des femmes dans le foyer et remettant en question les places qui leur sont attribuées dans la parentalité et dans la société.
https://www.instagram.com/agathe.charvoz/?locale=undefined&hl=am-et
Joseph Chiaramonte est un photographe de mode et d’art qui compte plus de 15 ans d’expérience et a réalisé des expositions prestigieuses.
Son travail a été présenté à la Maison de la Photographie, au Tripostal, à l’Acid Gallery, à la Abcynth Gallery lors d’Art’Up, ainsi qu’à la Vincent Bonduelle Galerie d’Art Contemporain et à Art’Up 2024.
Technicien d’exception, Olivier Coisne réalise, dans une démarche écologique et environnementale, un travail de recherche et de création sur le monde qui l’entoure.
La maitrise du feu et du bronze, cette matière noble et pérenne, en lien avec la nature, constitue pour lui un retour aux sources et le conduit vers une nouvelle approche inédite pour exprimer ses récits de vie.
Création d’œuvres en tri dimension, installations monumentales et sculptures murales, en bronze et d’autres matières utilisées.
“Danser sur la feuille…
Fusel et Pastain
Cartons, charbon, crayon…
Dessins comme pour de Rire
Dessins sur Piste
Le dessin : jouer avec les lignes, passer ENTRE les lignes…
Danser Entre les Lignes
Surfer Entre les Mines
Passer ENTRE. Passer OUTRE !”
Gilles Defacque est auteur, metteur en scène. Auparavant Directeur Fondateur du Prato Théâtre International de Quartier / Pole National Cirque à Lille. Depuis 1976, Gilles Defacque fait le clown. Au sens propre comme au figuré. Une casquette aux multiples facettes à laquelle il faut rajouter le dessin.
Ses peintures n’ont rien à voir avec le figé, au contraire, elles insufflent le mouvement, la poésie et la candeur de l’enfance.
Du bout des doigts, elle façonne la terre pour en faire naître un bestiaire
empreint de douceur et de poésie. Manchots, ours, chouettes, tous quittent
leur animalité pour prendre des postures et des expressions très humaines.
Les jeux de matières et les différentes cuissons leurs donnent une élégance
et une singularité inattendues. Un ours dansant, un oiseau sur le dos d’un
hippopotame, une famille d’empereurs réunie – c’est un imaginaire plein de
tendresse que Frédérique Delcourt nous partage.
Le travail de Damien DEMAITER est un échange permanent et laborieux entre la matière qu’il utilise et son état d’être, ses émotions, ses vibrations. Continuellement en connexion avec ce qui l’entoure, il n’a de cesse d’explorer et d’expérimenter l’expression de son ressenti. Un bouillonnement de vie qui l’ouvre à des techniques variées, orchestrées, mises en mouvement, en graphisme. Des associations parfois frénétiques, parfois subtiles, des jeux de recouvrements et de découvertes, des transparences, des révélations, des samplings de motifs et de symboles, des rythmes, des entrelacs de contrastes, une poésie picturale.
“Avocat de formation depuis 2009, ma robe et le monde judiciaire m’ont appris à regarder les confrontations se jouer. Ces confrontations, par divers biais, peuvent aboutir à un équilibre, une harmonie et dans l’idéal à une acceptation. Mes dessins parlent de dualité, de parcours sinueux ou non, et de solution. Le noir se révèle grâce au blanc, comme la force se révèle face à la faiblesse ou la joie face à la tristesse. L’encre de chine, le fusain, le chunky graphite ou l’aquarelle assortis de collage de papier népalais composent essentiellement mes créations.”
Djiango, architecte du portrait, marie son expertise en architecture à son art, créant ainsi des œuvres qui se présentent comme des projets architecturaux.
Il explore l’aménagement de l’espace, le mouvement et l’utilisation de divers matériaux, utilisant des techniques variées telles que l’acrylique au pinceau, au couteau et les feuilles d’or pour créer des contrastes et des rythmes dynamiques. L’aluminium, matériau léger mais résistant, est un élément central de ses créations, reflétant la lumière et absorbant l’atmosphère environnante. Son travail évoque l’art cinétique contemporain, invitant le spectateur à une expérience visuelle et émotionnelle immersive, où il est également invité à être observateur de son propre regard à travers le reflet des œuvres.
La genèse de l’art d’Amaury Dubois se situe au point de rencontre de ses années, à se nourrir des couleurs de la rue sur son skate la journée, et entre les pages des livres d’histoire de l’art, le soir.
Sa courbe crée ce lien visible, telle une ligne de vie entre la figuration, l’abstraction et le street art, une manière de lier et explorer ses influences.
L’artiste se considère pourtant ni comme un street artiste, ni comme un artiste d’atelier ou autres étiquettes, mais juste comme un artiste qui se sert de la couleur pour explorer sa passion pour l’art.
Georges Dumas est un photographe plasticien français né en 1975. Il crée des œuvres qu’il appelle « paintographies », c’est-à-dire des tableaux en technique mixte sur toile qui mélangent photographie, composition numérique et peinture à l’acrylique. Son sujet principal est la figure humaine, plus particulièrement le corps.
Il présente son travail en France et en Europe depuis 2007 à travers des expositions personnelles et collectives en galerie, des foires (Fotofever, Art Up, Art Montpellier) et des salons (MacParis, Puls’Art, Figuration Critique, ArtCité, etc.)
Jérôme DURAND est un artiste Arrageois né en 1987.
Il a fait ses études à l’Ecole Supérieur des Arts de Saint Luc à Tournai où il a obtenu un Bachelier en publicité en 2012.
Cette formation artistique lui a permis d’appréhender de nombreuses techniques (la perspective, la composition, l’équilibre…) et de développer sa culture artistique.
Il est aujourd’hui directeur artistique dans une agence de publicité de la métropole Lilloise.
Depuis 8 ans, il réalise des œuvres, à base de papier découpé au cutter puis superposé pour créer des tableaux graphiques.
Jérôme DURAND conçoit des oeuvres uniques en utilisant le papier à la fois comme sujet et support de ses créations. Les lignes et les carrés s’entrecroisent et évoquent une impression
de volume et de mouvement.
A ce jour son travail est exposé, de manière permanente dans plusieurs galeries d’art en France : Lille, Le Touquet, Honfleur, Lyon…
Artiste plasticienne française, ses multiples résidences à l’étranger lui permettent de dévoiler sa sensibilité artistique
Inspirée par les textures de murs en décomposition, l’art urbain et le Nouveau Réalisme de Jacques Villeglé et Raymond Hains, ses tableaux reflètent le temps qui passe, et racontent les mystères des quartiers qui l’entourent.
Sa technique est basée sur le marouflage d’affiches lacérées associée au collage d’éléments de la rue.
David Ferreira, ancien géomètre, canalise son énergie créatrice dans un univers artistique chaotique et vibrant. Il associe avec talent la rigueur mathématique à son inspiration débordante, où les aplats colorés cohabitent avec les équations et les casse-têtes. Chaque œuvre est une biographie mise en peinture, où le personnage de « Toto » nous guide à travers les aventures de sa vie, accompagné de sa femme « Warholisée » et de références à son chiffre fétiche, le 15. Cette cacophonie organisée, exposée dans le monde entier, de Bruxelles à New York en passant par Paris et Hong Kong, dégage une identité artistique singulière et intime qui ne laisse personne indifférent.
FOX travaille le grés depuis 1994. Il s’est iInstallé à la Ferme des Tournesols à Quesnoy-Sur-Deûle où ses pièces sont tournées, déformées, décorées avec des argiles naturelles prélevées dans la nature.
Les pièces sont émaillées avec un émail spécialement élaboré, avec essentiellement de l’oxyde de fer, ce qui leur donne sa couleur et une compatibilité alimentaire. Cela permet de respecter l’environnement.
Depuis 2022, FOX vous présente ses pièces à la Galerie « Ceci n’est pas une piscine » de Roubaix ainsi qu’au Grand Bassin à Roubaix.
https://m.facebook.com/people/Les-céramiques-de-Fox/100068631911079/?locale=ar_AR
Passionnée par l’art depuis toujours, les œuvres d’Astrid Fraccola sont toujours empreintes d’harmonies colorées car pour elle, la couleur c’est la vie. Elle peint en matières, ajoute des feuilles d’or et quelquefois avec des collages. “Créer c’est avant tout se faire plaisir et transmettre ses émotions. Que du bonheur !”
Sourire garanti avec l’artiste «Freaks the Fab» alias Fabrice pluvinage. sonnant comme une invitation à l’ouverture d’esprit, l’univers coloré, joyeux, décalé et faussement naïf de FreaKs tHe Fab va vous faire sourire à coup sûr et peut-être même, vous interpeller comme il aime le faire dans la rue.
reconnaissables au premier coup d’œil, les personnages issus de l’imagination débordante de l’artiste vous plonge sans détour dans le Freaky World, un univers coloré surfant avec légèreté et impertinence sur les temps forts de notre monde contemporain.
“Saisir un visage, saisir un mouvement, dénoncer une situation, une injustice, faire vibrer ou colorer un son, le donner à voir. Utiliser une technique, convoquer l’esthétique d’un corps en mouvement, le renvoyer en miroir au regard d’un passant. Utiliser l’art comme un artifice de rencontre , un dialogue ou le possible est avenir. Utiliser l’artifice du trait, le confort de la couleur, pour entamer la réflexion, le dialogue, la prise de conscience de soi, la prise de conscience de l’autre. Ma recherche artistique est au cœur de cette recherche et mes créations des bouteilles à la mer. Si à la fin, il ne restait rien de la technologie, je conserverais l’ocre du sud, l’encre de chine, le papier, la pierre, le roseau et la plume !” Ainsi est le cheminement d’artiste de Claudy Gielczynski
Franck Guihal joue les assembleurs pour détourner et ressusciter de vieilles pièces de métal usées et oubliées. Il récupère depuis une quinzaine d’années l’acier sous toutes ses formes, usinées ou broyées qui lui évoquent des parties du corps humain, des formes organiques essentiellement, dont l’origine n’est plus vraiment identifiable.
Qu’il exploite les pièces dans leur intégrité ou qu’il les triture, il s’amuse à les recomposer et à les souder pour en oublier leur identité première et pour n’en exploiter que leur esthétique et leur aspect brut.
Le travail photographique de Michel Hirsch est avant tout le fruit de passions. Passion du monde qui nous entoure en premier lieu, forgée par trente années à façonner son œil en tant qu’ingénieur en bâtiment et travaux publics au fil desquelles ses enjeux étaient de transformer l’espace, de le modeler, de créer, de construire. Passion de la photographie ensuite, art ultime pour capter et transmettre la beauté éphémère d’un moment, d’une lumière, d’une création de la nature ou de l’homme. Sa formation, à l’Ecole de l’Image des Gobelins à Paris sera la clé pour le développement d’un nouveau regard sur ce monde, point de départ d’une collection d’ œuvres uniques et singulières. Tantôt abstraites tantôt brutes, ses créations dévoilent notre quotidien sous de nouveaux équilibres offrant une représentation vibratoire, graphique et colorée de notre environnement.
Plasticien, vidéaste, auteur de fresques, de BD, de dessins animés et de dessins de presse, chanteur… l’étiquette est rapide et parait évidente : Cet homme est un touche à tout !
Pourtant la pratique du dessin, de la peinture ou du chant participent chez lui de la même démarche : Raconter des histoires!
Peu importe la forme et le moyen d’expression, Philippe raconte, illustre, souligne et tout devient prétexte à une ballade.
Touche à tout donc, mais pour qui prend le temps de s’intéresser de plus près à l’artiste, ce dernier ne pratique ni la danse, ni le piano et assez rarement la trompette.
‘Dans ses œuvres on trouve des supports en bois qui font rejaillir l’aspect satiné de la laque rouge ou jaune, des toiles de lin avec un travail en couches successives, ou des soies marouflées et recouvertes de couches de cire.
La délicatesse de l’encre de chine, le travail patient fait de nombreuses phases de préparation du support et d’application de la couleur, tout ce qui dans la peinture asiatique sert à rendre les émotions paisibles et les actions méditatives, se transforme dans les mains de Valérie en signe expressionniste, par le geste et l’ émotion.
La connaissance de l’iconographie classique italienne ainsi que la reformulation sensible de la mythologie confèrent aux protagonistes de ses œuvres une valeur figurative et morale.
Les œuvres de Valérie sont comme des pierres pavant la route de son existence, signalant les moments forts, exprimant des pensées qu’elle extrait de son intériorité. »
Lucia Collarile,Rome 2016.
Élève de l’école des Beaux-Arts, la vraie, celle de la place du Concert, puis de
l’école St Luc de Tournai, il travailla dans la publicité.
Longtemps intéressé par l’art abstrait, il s’en est éloigné, en considérant qu’il en avait fait très très largement le tour. Nourri aux mamelles de Hara Kiri et de Charlie, il s’amuse à adapter ses propres dessins à la peinture. Depuis, il s’esclaffe devant ses bonshommes grotesques, plus c’est gros, plus ça le fait rire, plus ils sont moches, plus il retrouve l’humanité qui nous étouffe.
Qu’ils plaisent tant mieux, qu’il irritent tant pis, et c’est pas fini ! “C’est pas à mon âge que je vais me prendre la tête” est sa nouvelle devise.
La peinture de Philippe JOVENET se situe entre figuration libre et street art ; Liberté, énergie et optimisme la caractérisent. Le peintre nous fait voyager dans son univers coloré. Probablement influencé par la grisaille du Nord, sa région, il égaye notre quotidien en y apportant beaucoup de couleur. A la recherche de liberté et de vérité, il évolue sans cesse, se réinvente, en faisant souvent appel à son meilleur ami : le hasard…Plein d’optimisme, sa seule ambition est de transmettre de l’énergie aux autres au travers une œuvre très colorée.
Artiste autodidacte, Audrey Keller s’est naturellement tournée vers la gravure il y a près de 15 ans lorsque l’odeur des encres lui rappelle l’atelier d’architecture de son père. Après des essais sur bois et lino, elle décide d’adopter la technique de la pointe sèche lui permettant des traits plus fins et plus de détails dans ses compositions. Toujours en évolution, ses œuvres se nourrissent des rencontres qu’elle fait au gré des expositions et des salons comme la rencontre avec Benjamin Bassimon ou Yann Legrand. Ses inspirations sont les végétaux, le cellulaire, l’organique.
C’est dans une cave lilloise que naît et se développe le travail de Kelu abstract.
Ses visages trouvent support sur des affiches dans la rue, sur les encombrants au fil des rencontres mais aussi sur toile et papier.
Kelu abstract ne dicte pas de message et laisse l’interprétation libre de ses regards réciproques.
Sarah, également connue sous le nom d’artiste KIKI, âgée de 26 ans, provient d’une famille d’artistes où l’expression à travers l’art est une évidence, même si vivre de cela est un défi. Déterminée à prouver à sa famille que c’est possible, elle s’est engagée à vivre de ses peintures. Passionnée par le partage de son art, elle accueille chaleureusement quiconque souhaite découvrir son savoir-faire.
Dotée d’une personnalité débordante et extravertie, avec un côté Rock N Roll, elle a l’habitude d’être critiquée avant d’être appréciée, une caractéristique qu’elle a transformée en sa propre image. Le choix du nom d’artiste KIKI ne convient peut-être pas à tout le monde, mais il laisse une marque distincte, ce qui explique sa préférence pour ce pseudonyme.
De nature touche-à-tout, son travail est pluridisciplinaire.
Toiles, fresques murales et sculptures sont ses principaux supports d’expression.
À travers des recherches impulsives et automatiques, ses méli-mélo de personnages apparaissent comme l’expression de ses réflexions les plus profondes.
Relier les choses et les êtres à la lumière des liens qui les unissent. Figer les émotions qui s’animent au fil des rencontres, capturer ces moments où la vie s’exprime et nous étonne. Entre émerveillement et joie de vivre, mais également craintes et préoccupations, le travail de Tommy est un besoin instinctif de mettre sur papiers ses humeurs et émotions.
Il recherche une vibration et un équilibre visuel par la déconnexion entre les couleurs et les formes. Leur enchevêtrement complexifie volontairement la lecture. Colorées et bien souvent chaotiques, ses œuvres viennent questionner nos rapports humains et nos libertés.
David Kunzli est né en 1972. Il se forme en dessin publicitaire à l’école des Arts graphiques Corvisart à Paris. Il abandonne rapidement la réalisation de maquette au profit de la pein- ture, qu’il pratique depuis son plus jeune âge. À la recherche d’une écriture personnelle, David Kunzli parcourt l’Asie et treck des mois dans les montagnes de l’Himalaya. De ces séjours nait sa technique, une interrogation qui l’amène à l’essentiel, des visages ronds du bouddhisme au plus aigüe des mondes de l’est. Dans ses premières pratiques, David utilisait le médium de l’huile mais jugé trop riche, il décline son ouvrage dans un dépouil- lement simple prêt à raconter l’humilité des personnes qu’il a rencontré. Sur le support, les matières fondues deviennent graphiques dans la puissance du trait, résonnent dans les interstices des bois creusés l’intériorité de l’être, de toi de moi. Dans un espace, il organise ses unités d’hommes et de femmes aux placements imprévus, génère une ambiguïté du comportement sociétal. Interférant avec alliance et opposition, ils se regardent, se ren- contrent, se retrouvent et se perdent dans le cycle actuel.
LaDame QUICOLLE, originaire de banlieue parisienne, vit à Lille depuis plusieurs années. Dessinatrice de grand format sur papier blanc, elle se met à coller en 2021 à la rencontre du portrait 1#, la Dame en bleu. Chaque portrait est une femme rencontrée avec qui l’artiste à discuté, puis invité à poser pour devenir une gardiennes de rue, titre que porte le projet.
C’est pour elle une manière de lutter contre les stéréotypes de genre et le harcèlement de rue en investissant l’espace public de portrait de femmes ordinaires.
Avec conviction, elle fait de la rue un lieu de questionnement, et pourquoi pas dans les années à venir ouvrir sur le merveilleux.
Je croyais qu’il existait encore des endroits secrets, cachés dans les crevasses et fissures de ce monde. Des
endroits qu’on pourrait rendre beaux, paisibles, calmes, sûrs ou au moins supportables.
Etre au commencement, à la lisière, à la frontière d’un monde nouveau avec la peur ou le désir de l’inconnu. Etre là où la forêt se dérobe à la lumière, là où elle transforme les richesses du soleil, Là où le
soleil est sur la peau. Les formats en tondi proposent une version du paysage où l’or envahit la totalité de l’arrière plan, sans ligne d’horizon, laissant le spectateur choisir son point de vue : Est il couché dans l’herbe en voyant le ciel au delà des frondaisons ou se penche -t-il sur un miroir d’eau ?
L’accrochage dans l’espace est multiple, ( mur, sol, plafond) le tondo est comme une fenêtre ouverte.
Le style de Christopher Lecoutre est un mélange éclectique d’influences, combinant la bande dessinée, le graffiti-writing et les Comics. Ses œuvres captivent par leurs compositions dynamiques, empruntant aux premiers writers new-yorkais avec des interjections audacieuses. Les traits souples et les gestuelles inspirées des Comics apportent un mouvement calculé, tandis que les couleurs intenses et l’absence de perspective créent une atmosphère émotionnelle. Son utilisation du Bleu Klein IKB®️ témoigne de son penchant pour l’abstraction. Les visages aux perspectives changeantes fascinent sans provoquer d’inquiétude, tandis que l’humour prévaut, même sur les sujets sérieux. Les voyages et l’influence des cultures asiatiques ajoutent une touche exotique à ses œuvres, réalisées sur des supports variés, tels que des sacs de lentilles ou des planches de surf.
Artiste peintre | Christopher Lecoutre Shop
Que ce soit dans le minéral, l’organique ou la particule, tout ce qui a trait au vivant et à la matière m’intéresse et me questionne.
Tout ceci transparaît évidemment dans mon travail où j’ai longtemps cherché à retrouver les processus du développement du vivant en prenant en compte le temps indissociable à la création de formes.
Pour cela la gravure a toute ma considération car elle allie la chimie au dessin et la multiplication aux variations.
Yann Legrand est professeur de gravure au Palais des Beaux-Arts de Lille et professeur de modèle vivant à l’école Pole IIID à Roubaix.
Régis Lelièvre est un artiste en immersion. Il semble nourrir son âme de rêveries solitaires, parfois dramatiques parfois extatiques. Il paraît s’enivrer en se perdant dans la matière qu’il observe, en offrant une réalité brute et élégante, s’employant à honorer une nature pure confinant parfois avec le funeste ou la volupté. Une palette d’émotions saisissantes se dégage de son travail, oeuvrant à une recherche constante de la lumière, d’un univers souvent sépulcral ou sibyllin.
Parisienne installée dans la région depuis 1981 et Journaliste, durant 37 ans à la Voix du Nord. Brigitte LEMERY a notamment couvert à Roubaix durant plus de trente ans les sujets culturels. Elle a ainsi suivi à Roubaix le Ballet du Nord, Danse à Lille, le musée La Piscine, la Condition Publique, la Villa Cavrois à Croix, pour laquelle elle a participé activement grâce à ses articles, à la sauvegarde et à la renommée internationale.
Elle a contribué par de très nombreux articles à l’émergence et à la renommée de nombreux équipements, projets culturels et artistes. Depuis son départ de la Voix du Nord, elle se consacre désormais à sa seconde passion, la photographie et capture avec finesse des traces de vie, des empreintes mémorielles et patrimoniales dont elle saisit l’essence.
Car pour elle « la photographie est un médium, comme l’écriture pour donner à voir, à aimer, à déplorer… de transmettre ici et maintenant, ma passion de journaliste d’informer, de témoigner, de surprendre et d’apprendre. »
Sortie d’une école de commerce, elle intègre une enseigne nordiste de sport qui lui procure le goût du mouvement et du challenge. La conception des catalogues la plonge dans la photo, la mise en page des formes, des expressions, des couleurs.
Un long passage dans l’optique lui fait découvrir des milliers de regards, chacun avec son mystère troublant. Elle aime voyager et contempler, toujours avec ce désir irrépressible de captation d’images.
Martin Loume alias Jean-Louis Brochen est affichiste lacérateur et depuis 20 ans au gré de ses voyages il arrache les affiches, « la peau des murs » qu’il croise sur son chemin. Le travail de Martin Loume est à la fois artistique, poétique et politique, de part le choix de l’affiche car son œil peut s’arrêter sur chaque détail : l’épaisseur, la taille, le graphisme, parfois le sujet, mais surtout la picturalité, car pour lui « l’affiche est ma peinture ». Le temps est également au cœur de son activité, il est capturé par les différentes affiches représentées, celles-ci capturent un espace-temps précis, un événement passé ou futur, une sorte d’ethnologie urbaine. Elles sont un marqueur social de notre environnement et l’artiste saisi cet instant pour en faire une œuvre, un souvenir de cette époque.
La peinture est pour elle l’occasion de déambuler dans des jardins perdus, de se perdre dans des univers floraux et y trouver une place. Elle change de point de vue, elle cherche l’équilibre, elle essaye de saisir les évolutions naturelles. Il s’agit d’ouvrir les yeux et se reconnecter à la nature et aux autres. Chaque toile est un cheminement. Elle raconte une histoire, un flot de pensées, des balades ou des instants qui s’envolent. Elizabeth Masson recherche la légèreté et la luminosité par la transparence et la finesse des couches picturales.
Artiste urbain, Mifamosa intervient dans l’espace public en « illustrateur de rue ». Il pose, près des plaques de rue, des mosaïques pixellisées composées de carreaux de verre et de grès cérame soigneusement sélectionnés parmi les produits made in France. Sa démarche artistique, généreuse, consiste à offrir aux passants des illustrations colorées, dynamiques, décalées, poétiques et pleines d’humour.
Depuis juin 2017, il en a posé plus de 400, dans 36 villes de France, de Belgique et de Suisse.
Elle a étudié la peinture à Boston puis à l’École Nationale Supérieure des Beaux-Arts de Paris. Elle compte actuellement un grand nombre de collectionneurs dans plusieurs pays. Son travail connaît différentes périodes dont les Vaches-femmes (ci-contre).
Elle travaille désormais sur sa collection Déesses et sur ses sculptures qu’elle souhaite présenter lors de la 10ème édition de Solid’Art Lille.
Mosart, artiste autodidacte né en 1985, se spécialise dans la réalisation de portraits aux pochoirs. En 2023 seulement, il a réalisé plus de 200 œuvres dans les rues de la métropole lilloise, utilisant des supports ordinaires tels que les poubelles ou les blocs électriques.
Son art invite les passants à ouvrir l’œil et à découvrir la beauté cachée dans les espaces urbains.
Les tableaux aux couleurs vives et chatoyantes d’Etienne Mottez surprennent et interpellent. L’artiste étale sur la toile ses pensées et ses moments de vie qu’ils soient heureux ou tristes, des ressentis de tous les jours et des moments importants. Chaque toile est un peu son journal intime. Chaque tableau est différent, chaque couleur choisie n’est pas là par hasard. Il joue avec des personnages de BD et utilise aussi bien l’huile, l’acrylique, le stylo, le feutre ou le crayon de bois. Aujourd’hui, il expose dans le plus grandes foires d’art contemporain de France.
Arrivé à Lille à l’âge de 12 ans, après être parti 3 ans à St luc Tournai, puis Paris et au Canada (Toronto), Nablezon est revenu dans sa ville pour pleinement se lancer dans cette passion qu’est la photographie. Aujourd’hui, il est photographe et vidéaste principalement dans le tourisme et la mise en valeur du patrimoine régional. À travers ses créations et pour ses clients, il met en avant la région (Hauts-de-France, Belgique). Étant un amoureux d’art et de voyage, il a fondé Lille Aux Artistes, une structure communicant sur les artistes méconnus de la région, ainsi que ViensOnExplore, un média parlant de culture & de voyages en France et en Europe.
Luke Newton, artiste originaire du Colne, en Angleterre, et formé à la Saint Martin’s School de Londres, vit désormais entre Roubaix et Paris. Son exposition « Un Produit de Consommation » dénonce avec humour les travers de la société, utilisant collage, sculpture et peinture sur des supports variés. À travers ses œuvres, il transforme des matériaux ordinaires en symboles forts, invitant les spectateurs à interroger leur quotidien. Les créations de Newton, à l’apparence manufacturée, cachent en réalité des concepts profonds et des détournements symboliques, ouvrant ainsi la porte à différentes interprétations.
Entre engagements, poésie et humour, Noirte est un street artiste « low tech » aux pochoirs faits main. Ses œuvres simples et efficaces n’ont qu’une seule finalité : Aller droit au but pour provoquer le questionnement des passants. De son iconique Street Châtelaine évadée du Musée La Piscine de Roubaix à ses « Seigneur, Deliveroo du mal ! », « Love is Hole » ou encore « Monet for Nothing » qui frappent comme les slogans d’une génération en quête de positionnement, Noir(t)e décline son air du temps à coup de bombe aérosol. Mais au final, que veut-il nous dire vraiment à l’obscurité de la nuit tombante ?
(noirté, cqfd)
» Je peins des visages pour raconter des histoires comme autant de miroirs adressés aux « regardants ». Interpellation directe à se relier à son propre état émotionnel.
C’est une invitation à entrer en résonance avec ceux là que je ne connais pas mais qui parlent si bien de ce que je ressens, une invitation à se fondre dans un regard, yeux dans les yeux profond avec sa propre humanité.
Mais au delà de cette interpellation qui renvoie chacun à lui même, ma parole est aussi citoyenne et engagée.
L’homogénéité des formats, la récurrence des cadrages, l’utilisation systématique du noir et blanc, l’absence de « décor » milite pour l’unité de notre humanité au delà des discours de ceux qui voudraient nous séparer. »
Pola 4.0 est une artiste Lilloise autodidacte. Son pseudonyme Pola 4.0 est un clin d’œil au fameux format Polaroïd, qui a marqué son enfance, mais porte également une signification plus personnelle qu’elle aime garder secrète…
Pola 4.0 voit sa démarche artistique comme la mise en images de ce qu’elle nomme son « labyrinthe émotionnel ». Ses sujets éclectiques, que parfois même tout oppose, reflètent en réalité ses insatiables questionnements sur l’existence. La femme, sa place dans la société, ses combats, restant un de ses sujets favoris.
L’image de la femme, sa place dans la société, ainsi que ses combats sont des sujets majeurs dans son travail. Par ses inspirations multiples, Pola 4.0 a développé ses techniques singulières puisées dans l’alliance heureuse des médias graphiques, du traitement de l’image et des techniques mixtes. Si ses créations privilégient un usage approprié d’un support d’aluminium ou de plexiglass, voire de bois, elle refuse cependant d’être enfermée dans une catégorie artistique particulière, ou de s’imposer des limites quant à la forme de son expression.
Romain, artiste autodidacte, a quitté l’école pour suivre sa passion artistique.
Son art brut et authentique, exprimé à travers des toiles abstraites, partage son journal intime visuel, sans quête d’approbation extérieure. Ses œuvres, utilisant des palettes vives, abordent des sujets sensibles avec une profondeur émotionnelle, reflétant une introspection thérapeutique.
Artiste belge et passionné, je crée chaque jour car l’art m’est nécessaire. Les bombes sont mes outils de prédilection, elles m’offrent une liberté plus difficile à acquérir avec des outils classiques. Après des études en arts et aux beaux-arts, c’est en bousculant mes acquis que je trouve mon style et ne cesse de le faire évoluer. Créer un pont entre l’art abstrait et le graffiti est un peu mon fil rouge. Je crée spontanément, chaque trait entrainant le suivant. Je suis un artiste heureux.
Autodidacte, il devient assistant et apprend les rudiments du métier.
Ses motivations le poussent à élargir son champ d’horizon, il part alors pour le studio Pin-Up, où il assiste les plus grands noms du moment, comme Oliviero Toscani, Jean Paul Goude, Peter Lindberg…
Il gagnera ses galons de photographe professionnel rapidement. Sa sensibilité et sa maturité photographique lui ont permis de découvrir un nouvel univers, L’Enfance. Domaine dans lequel il su s’imposer comme l’un des grands spécialistes de la Mode.
Les plus grandes marques de haute couture, la publicité et la presse font appel à lui. L’idée de photographier des enfants , par le biais du portrait, résonne en lui comme une finalité logique.
En 2011, la dimension professionnelle ne semble plus lui suffire. Une démarche plus personnelle lui semble alors nécessaire. La naïveté de l’enfant lui permet d’exprimer des émotions vierges de tout préjugé. Il a ainsi mené à maturité plusieurs séries de portraits, chaque série joue sur un registre très différent, le point commun étant une recherche de sens et de symbole réellement mise en scène. Une véritable composition dont la perfection du détail, de lumière, du jeu de couleurs, confère à ses photographies, qui dépassent de loin la simple idée de portrait, le statut de tableau.
Artiste street-pop, originaire du pas de calais ou il a commencé par le graffiti il vit maintenant à lille ou il a développé un travail sur toile, inspiré par les mangas de son enfance, ses œuvres sont désormais présentes en europe et aux États-Unis, il explore en parallèle une peinture plus abstraite sur de grands formats, porté par sa recherche permanente d’énergie
Peintre et voyageur, Roy Adrien se nourrit de son expérience en Asie pour créer un univers pictural unique, où se rencontrent le tumulte des marchés, la chaleur des sourires locaux et la profondeur culturelle du continent. Utilisant principalement l’acrylique, l’encre et les feuilles de papier de journaux locaux, il s’efforce de capturer ces atmosphères si distinctives, caractérisées par un désordre fascinant et des découvertes enrichissantes. À travers ses œuvres, peuplées de personnages, d’animaux et d’objets, Roy Adrien cherche à transmettre la magie et l’énergie vibrante de ses voyages en Asie.
Adrien RoyArt en Nordhttps://www.art-en-nord.fr › artistes-hauts-de-france › a…
Artiste plasticien redonnant vie aux matériaux pour révéler, au fil de sa démarche artistique, des paysages et scènes de vie à base d’objets de récupération.
Architecte de formation et doté d’une expérience de scénographe d’exposition, Joël SADAUNE s’exprime au travers d’œuvres en mettant en scène des espaces semi abstraits, emprunts de références de notre quotidien, comme les réseaux urbains, les friches industrielles.
L’univers « industriel » est une source d’inspiration qui le pousse à imaginer et concevoir des embarcations, des cargos, des docks, des containers … à partir de matériel de récupération.
De la peinture à la sculpture, Joël SADAUNE crée des univers à l’ambiance industrielle, sur fond de décors riches de détails : marquage, symboles, messages, traces … il aime user du vocabulaire lié au packaging.
D’abord paysages, architecture, nature animale et végétale, mode, corps et portraits ont nourri l’exploration picturale de Chloë Sommelet…
Aujourd’hui, de coups de pinceaux, en dilutions pigmentaires, elle offre une iconographie un brin plus abstraite, plus personnelle, …
Plus profonde. Ses lignes singulières interrogent les origines, extraient les
fragments, donne une représentation aux appartenances.
Des couleurs aquarélées, parfois douces, le plus souvent vives, propulsées
sur papier coton en contrastes forts ou flous diffus. Tantôt saillants, un brin sensuels, incontestablement poétiques, ses silex viennent vous
titiller la pupille, de vous charmer la rétine.
Couleurs originales à l’aquarelle pour habiller vos intérieurs d’émotions au quotidien …
Artiste français né en 1987. D’expositions en performances artistiques, Antoine Stevens a su créer sa patte et se placer légitimement par son talent dans le milieu de l’art. Depuis maintenant une dizaine d’années, il expose à travers la France, le Luxembourg, Londres ,Monaco, Singapour…
L’artiste puise son inspiration dans l’art urbain mais aussi dans l’art « classique » : sa technique de peinture est celle des artistes urbains et les sujets représentés sont plus attachés à la peinture « classique » comme une ode à la femme.
https://www.antoinestevens.com/
Dans ses dessins, peintures et sculptures, SylC place l’Homme au centre de son propos. Fortement teintée d’onirisme, son œuvre révèle notre identité véritable, nos paradoxes, nos dualités. L’hybridation et la métamorphose, symboles de la complexité de nos personnalités et de notre évolution perpétuelle sont au cœur de ses réflexions.
SylC collabore avec des galeries en France, en Europe et aux USA. Ses travaux sont présents dans des collections publiques (FDAC de l’Orne, Villes de La Rochelle, du Mans, de Maisons-Laffitte) et privées.
Romain Thiery, né à Bergerac en 1988, est un auteur photographe et pianiste amateur vivant et travaillant près de Montpellier, France.
Romain Thiery estime que le piano est profondément enraciné dans les profondeurs de notre culture, et a cherché́ à explorer l’instrument sous un angle original. Il s’est donné pour mission de combiner ses deux plus grandes passions et s’est mis à la recherche de bâtiments où de vieux pianos sont laissés à l’abandon. Depuis 2014, il a découvert plus de cent pianos à travers le monde, en autant de lieux à la foudroyante beauté́. Scènes dont il ne change jamais rien, laissant l’endroit tel quel. « Même au milieu d’un espace dégradé, le piano ne cesse de conserver sa puissance. Il est là, il trône de tout sa noblesse ».
Architecte de formation, Grégory Valentin, est un amoureux des livres, des lignes et de l’Art. Il intègre dans ses tableaux l’intégrale d’œuvres littéraires en jouant avec les espaces, les polices, les lettres pour en restituer une émotion intense et une esthétique parfaite. Grégory Valentin présente un minutieux travail de composition où il va discipliner, contenir et mettre en forme des textes pour recréer l’intégralité d’un livre sous forme artistique. La finalité de son travail présente à la fois une œuvre abstraite reposante et esthétique tout en donnant vie aux œuvres littéraires desquels il s’inspire.
Jonathan Vandromme est né en 1983 dans une banlieue lilloise « Bois Blancs ». En peignant, il tente de transcender ses incapacités à être, de sublimer ce qui me rend tout petit et de trouver la possibilité d’un réconfort mystique. Aucun style ou courant de peinture ne le limite, ce qui l’anime, c’est développer des espaces de libertés. Ayant le souci d’une œuvre plutôt que celui d’une carrière, et voulant avoir un propos sincère, il a fait que tardivement le choix de commercialiser son travail.
Les technologies de nos jours évoluent et changent nos comportements, notamment depuis l’émergence des réseaux sociaux. Plutôt que de juger les transformations qui en découlent et de moraliser les utilisateurs, mon travail tend à représenter l’esthé- tique qui en résulte.
Ma propre utilisation des réseaux sociaux me permet de me rendre compte de l’essor d’une nouvelle norme, le selfie, ou l’égoportrait. C’est la contradiction entre intimité de mise en scène, privée, et publication publique, que je souhaite illustrer ; c’est-à-dire dépeindre le passage du personnel à universel et le paradoxe qui en découle.
Ma démarche est simple. Elle consiste à partir d’une photographie d’un modèle prise sur les réseaux sociaux, à la dessiner sur papier en réduisant les formes, en supprimant les visages pour en souligner les courbes à la façon d’images publicitaires. Ensuite, traiter le dessin par ordinateur – en laissant visibles les défauts du numérique – et enfin le peindre / sérigra- phier pour qu’il subisse un ultime traitement humain, artisanal.
Les technologies évolutivent conduisent à des changements de comportements qui développent eux-mêmes de nouvelles postures, aussi j’ai fait le choix d’impliquer ces technologies dans ma démarche. Omniprésent dans nos vies, le numérique s’immisce ainsi dans mes oeuvres, leur apporte une contemporanéité et les situe dans notre présent.
Originaire du Nord de la France elle à étudié les Industries Graphiques et la Photographie à Lille. Son travail récent est porté par la découverte d’une technique ancienne : l’encaustique. Ce mélange de cire d’abeille et de résine naturelle a donné une dimension nouvelle à ses photographies en fusionnant les techniques. Aquarelle, collages, photographies… se fondent dans l’encaustique pour révéler des oeuvres à la limite de l’abstraction. Bien qu’il y ait un attachement au réel via la photographie, le résultat est décalé, subjectif, comme un rêve qu’on essaie de rattraper ou vos souvenirs qui s’effacent
Depuis 2008, Agathe Verschaffel s’inspire des Spraycaps, ces pulvérisateurs des bombes aérosol maculés de postillons de peinture qui, une fois zoomés, dévoilent une composition abstraite. Elle a déjà réalisé des centaines d’œuvres sur le sujet, de différents formats et différents médiums: peinture, dessin, collage urbain, muralisme, et enfin plus récemment céramique. L’ensemble sonne pop avec ses couleurs franches et oscille entre l’abstraction et l’hyperréalisme.
Victor Locuratolo, alias Vito, naît à Lille en 1982. Diplômé en architecture et urbanisme à l’ENSA de Grenoble, il travaille quelques années dans le domaine avant de se consacrer pleinement à la réalisation de manifestes illustrés humoristiques à partir de 2015.
Dans la veine des premières bande-dessinées écologistes des années 70, les ouvrages de Vito dénoncent la folie consumériste contemporaine tout en proposant de réinventer notre rapport à la technique, à la cité et au territoire naturel.
Toujours à l’affût des utopies sociales d’hier et d’aujourd’hui, il rencontre peu à peu les partisans de la simplicité volontaire, de la Décroissance, des Low-tech, du Communalisme, de la Vélorution, ou encore du Biorégionalisme. Autant d’idéaux collectifs qui vont peupler l’univers graphique de l’auteur et donner du corps à ses récits autobiographiques.
A partir de 2020, Vito commence à dessiner régulièrement pour le Journal de la Décroissance. Il collabore également avec des associations et des collectifs engagés dans l’écologie ou le lien social.
« Patrick Woestelandt, nous invite à pénétrer dans son univers surréaliste, où une multitude de créatures chimériques semblent poser pour le spectateur, dans un cadre resserré presque oppressant. Ses images mentales, mêlant perception, imagination et rêve, font émerger des représentations inédites, des visions éveillées, que l’artiste prend plaisir à retranscrire en peinture. Après tout, n’y a-t-il rien de plus excitant que de peindre ce qui ne peut être photographié ? Ces figurations oniriques touchent à notre essence même, à la nature humaine. Ces déformations anatomiques, articulées autour des cinq sens, nous rappellent les sculptures de Patricia Piccinini ou encore certaines toiles de René Magritte comme « Le Viol » ou « La Lampe philosophique ». Ces personnages au réalisme monstrueux sont de véritables calembours visuels, de magnifiques mises en images de jeux de mots. Sa parfaite maîtrise de la composition, de la profondeur et des volumes, son sens des proportions, la précision de son trait, sa touche léchée, sa palette chromatique, et son humour décalé et absurde donnent à ces enchevêtrements de formes organiques une expressivité qui nous laisse sans voix. Ces tableaux à différents niveaux de lecture, nous émerveillent, nous figent et nous réjouissent. »
