Catalogue 2024
Solid'art MONTPELLIER
20/21/22 SEPTEMBRE 2024
ZéNITH SUD
Vendredi 14h – 22h
Samedi 11h – 20h
Dimanche 10h – 19h
__
Entrée Gratuite

Vendredi 14h – 22h
Samedi 11h – 20h
Dimanche 10h – 19h
__
Entrée Gratuite
Après avoir eu le privilège de compter parmi ses parrains des artistes tels qu’Hervé Di Rosa, Mist, M. Chat, Nasty et Franck Noto, Solid’Art Montpellier accueille désormais JonOne, street artiste de renommée internationale, en tant que parrain de son édition 2024.
Né en 1963 à New York aux Etats-Unis, John Andrew Perello dit JonOne vit et travaille à Paris. Artiste autodidacte, il commence à peindre sur toile en 1985 et expose dans le monde entier (Tokyo, Monaco, Paris, Marseille, Genève, New York, Hong Kong, Bruxelles, Los Angeles, Rome, Milan, Abidjan, Dakar, Pékin, Miami…).
JonOne réalise des œuvres abstraites influencées par le mouvement, la couleur, l’énergie. Il se décrit comme un “peintre graffiti expressionniste abstrait”.
« Je pense qu’en ce moment beaucoup de gens souffrent. Plus que jamais Il faut que le Secours Populaire soit davantage présent pour aider les gens. Nos enfants sont l’avenir de demain… si nous pouvons les aider… let’s do it ! »
Depuis plus de 40 ans, Anagraphis est soucieuse de partager ses productions artistiques avec le public.
Les maitres sérigraphes seront présents sur le salon pour initier petits et grands à cette technique millénaire.
l’artiste ccsJPG développe une forme d’art participatif destiné à sensibiliser et à questionner le plus grand nombre sur les enjeux environnementaux.
Le public sera invité à participer à la réalisation de l’uniQUBE, structure cubique monumentale spécialement installé pour Solid’Art
L’artiste Tommy Knuts invitera les visiteur du salon à réaliser ensemble une fresque type « coloriage numéro d’Art ». Il aura au préalable, dessiné les tracés sur une grande toile tendue. Chaque zone à colorier sera marquée d’un numéro. Des pots de peinture numérotés de chaque couleur seront disponibles. Une fois finalisée, la toile sera offerte au Secours Populaire.
Artiste peintre animalière contemporaine. Ses portraits animaliers au style singulier offrent de remarquables compositions aussi bien sur toiles que sur des murs de grand format. Une performeuse née !
Sandrot réalisera une performance sur le salon le vendredi et le samedi.
Invité par la galerie montpelliéraine Atdown, Gum réalisera une performance sur le salon. A travers ses oeuvre, le street-artiste montpellierain redéfinit les codes préfabriqués de notre société. Le plastique est le point central de sa démarche artistique et le fil conducteur de ces thèmes de prédilection : la pub, la consommation et la surconsommation…
Le talentueux dessinateur du magnifique film d’animation Josep sera présent au salon pour une séance de dédicaces de ses sérigraphies, éditées par la maison Anagraphis. Ne manquez pas cette occasion unique de rencontrer cet artiste exceptionnel !
Aurel sera présent pour une séance de dédicaces le samedi 21 septembre à 16h
Artiste belge installé près de Perpignan, Prooz crée chaque jour car l’art lui est nécessaire. Les bombes sont ses outils de prédilection. Créer un pont entre l’art abstrait et le graffiti est un son fil rouge.
Lors du salon, l’artiste réalisera en public une fresque monumentale !
Djiango, architecte du portrait, marie son expertise en architecture à son art, créant ainsi des œuvres qui se présentent comme des projets architecturaux.
L’artiste réalisera une performance durant les 3 jours du salon !
Mes sculptures animalières sont composées à 90% de papier recyclé (livres et journaux) que je travaille sans eau, le papier est compressé manuellement dans des « cages » de fil-de-fer dans l’idée d’utiliser le moins de ressources possible (sans ajout d’eau, sans électricité, avec l’emploi d’un outillage rudimentaire). Cette envie vient d’un rêve d’enfant, celui de côtoyer ces grands animaux. Avec cette série de sculptures, j’espère aussi sensibiliser le spectateur à l’importance de nos animaux et de leurs écosystèmes.
L’artiste réalisera une sculpture monumentale en carton durant les 3 jours du salon.
https://artyannbirgy.jimdofree.com/
Anagraphis est une maison d’édition de sérigraphies d’art et d’estampes numériques, signées et numérotées. Avec un fonds de plus de 8 000 sérigraphies d’art et près de 190 artistes édités, la maison d’édition présente de nombreux mouvements artistiques : l’Art Contemporain, le Street Art ou encore la Bande Dessinée !
AUREL / François BOISROND / Robert COMBAS / Robert CRUMB / DIFUZ / Hervé DI ROSA / ERRÖ / JEF AEROSOL / JONNYSTYLE / LADY.K / MAYE / MEZZO / MIST / Ernest PIGNON-ERNEST / SHELTON / SINÉ / SPEEDY GRAPHITO / Philippe VIALA / ZEST …
Galerie street art, d’art urbain ou plus largement d’art contemporain, At Down est une galerie spécialisée dans l’art du graffiti. Elle expose les pionners américains de la discipline, Crash, Futura, Mear One, comme les artistes français les plus réputés en laissant une large place à la scène montpelliéraine : Mist, Tilt, Nasty, Honet, L’Atlas, Tanc, Jace, Zest, Vania, Momies, Smole, Maye, Jonnystyle, Polar, Loko.
La Galerie Brugier-Rigail possède une ligne artistique à la fois urbaine et contemporaine :
ARTISTE-OUVRIER / C215 / Charlélie COUTURE / CRASH / Guy DENNING / JonOne / Kosta KULUNDZIC / L’ATLAS / MAD C / M. CHAT / Jérôme MESNAGER / MISS TIC / MONKEYBIRD / NASTY / LEVALET / TANC / Fabien VERSCHAERE / Nick WALKER / DAN WITZ …
La Banksy Modeste Collection s’est donnée pour mission de présenter au grand public, le parcours et les engagements de cet artiste aujourd’hui mondialement connu. La collection est proposée à la location pour une durée de quinze jours aux villes , aux organisations ou aux établissements socio-culturels. Une location qui comprend l’organisation en amont, l’équipe de coordination sur place, les médiateurs, la communication.
La scénographie des quelques 200 œuvres et objets, est assurée par Béru, le collectionneur. Les visites peuvent être suivies avec nos médiateurs et des séquences de médiations sont réservées aux scolaires (à partir de 8 ans) ou aux groupes.
Solidaires … yes we are ! We Art 51 est un concept innovant qui révolutionne l’accessibilité à une œuvre originale d’un artiste contemporain. Comment ? – En la déclinant en sérigraphie à 50 exemplaires, tous numérotés et signés de la main de l’artiste. Chaque achat d’une sérigraphie permettra de gagner des sérigraphies rehaussées à la main par les artistes. Et vous qui êtes à la recherche d’une pièce unique … que diriez-vous de vous offrir un billet unique, customisé par des artistes venant des 4 coins de la France… les dollartistiques fleuriront sur le stand We Art 51
Artistes présentés : Cren, Thomas Van Hecke, DrColors x Wedes, 22h22, Kabrit, Jean-Jacques Tachdjian, Kylab, Amose, Chloé Besnard, Quentin DMR, Ërell, IPNS, Varoc, Ouroboros, Régis Lelièvre, Laurence Pigeyre, Lou Ducatillon et Alexandre Wirth.
Liste des dollartistiques : Chanoir, Jo Di Bona, Izak Zenou, Geneviève Gauckler, Bishop Parigo, Colonel Moutarde, Loïc Lusnia, Raf Urban, Otom, Licea, Remi Cierco, Djiango, Mr Popart, Cofee, Geleb, Kent Kayne, Ster, Chris Puddy, Le CyKlop, Laurent Badier, Monkiz, Tank & Popek … et bien d’autres encore.
À mi-chemin entre une galerie d’art et une boutique de décoration d’intérieur, ils ont décidé de vous offrir une véritable expérience artistique immersive. Photographies, illustrations street art, pop culture, sport… FFRAME noue des partenariats avec des artistes français pour proposer des tableaux uniques et de qualité.
Les artistes présentés pour Solid’Art : Dr Speed, …
L’association sétoise présentera la série des 30 sérigraphies “Brassens By Sète” éditées pour les 30 ans de l’Espace Georges Brassens à Sète : Amon Alis / Karine BARRANDON / Eric BATTISTA / Aldo BIASCAMANO / Tony BOSC / C215 / André CERVERA/ Hugues CHAGNIOT / Charlélie COUTURE / CLODIUS / Robert COMBAS / Christophe COSENTINO / Laure DELLA FLORA / DÉPOSE / Hervé DI ROSA / Christopher DOMBRES / Marc DURAN / Jean-Jacques FRANCOIS / Pierre FRANCOIS / Boris JOUANNO / LAOU / Eve LAROCHE JOUVERT / Maxime LHERMER / LITH / Lucas MANTIONE / MAYE / Anna NOVIKA SOBIERAJSKI / Jean-Luc PARANT / REKA / REBELSMUGE / TOPOLINO / Alain ZAROUATI …
Centre d’art urbain et contemporain situé à Montpellier, LA PARCELLE 473 s’étend sur 1 500 m² dont 400 m² de surface d’exposition. Il propose à son public la découverte de l’histoire du mouvement artistique Street art et graffiti. Ce projet, porté par Laurent Rigail et Eric Brugier, se caractérise également par la volonté de recréer un lieu de vie, de partage et d’échanges culturels à travers la consécration d’un mouvement artistique planétaire.
Le stand Solid’Art présentera cette année des œuvres de :
Ainsi que les sérigraphie des parrains Solid’Art : Jace, Speedy Graphito, L’Atlas, Nasty, Dirosa, …
Artiste verrier depuis 20 ans, j’habite et travaille à Villeneuve les Maguelone (34). Formé aux techniques du fusing et thermoformage du verre au CERFAV à Vannes le Chatel. Mes créations se situent aux frontières de l’artisanat et de l’art contemporain. Pour moi le verre n’est pas que matière, il est aussi outil. Mes créations intègrent le verre, le béton et l’acier. J’aime apprivoiser les propriétés du verre et j’en joue afin de réaliser une pièce unique. Mes créations consistent à transformer l’invisible en visible en apportant couleurs et lumières.
Avec leurs formes dansantes, les personnages du street-artiste Adec apparaissent comme des pantins bricolés, dessinés avec un savant sens du graphisme. Ils voyagent d’un monde à l’autre, dans des saynètes pleines de vie et de rythme, dans un drôle de théâtre urbain. Originaire de Paris, formé à Bruxelles, Adec est désormais installé aux pieds des Cévennes. Il décline depuis quelques années des peinture, il nous propose une revisite des échanges entre l’homme et la nature. C’est un travail sur l’identité, un univers empreint de poésie et de douceur, offrant à chacun la possibilité d’y lire ses propres histoires…
Diplômé de l’École Boulle et de l’École des Arts Décoratifs de Strasbourg, Yann Birgy a travaillé comme scénographe au sein de l’atelier Manessier, puis comme graphiste et maquettiste pour Bourjois-Chanel. Artiste pluridisciplinaire, il explore le dessin, le collage (classique et numérique), le transfert, la photographie et l’installation. Ses derniers dessins sont fortement influencés par les graveurs allemands du XVe siècle, notamment Dürer, comme en témoignent ses Animaux Fantastiques ou son Rhinocéros, inspiré de la célèbre gravure de 1515.
Dans son travail, Marie mêle la géométrie à une certaine forme de poésie en créant des histoires sur l’invisible ou
l’éphémère. « La nature, et ce qui nous entoure en général, nous offre un fabuleux spectacle abstrait, vivant et en mouvement. J’y vois des formes, des lignes, des courbes, des ombres, des liens, des échanges et toute cela m’inspire de belles histoires que je me plais à retranscrire sur la toile. ».
Dans son travail récent sur toile, Marie a délaissé les lignes strictes faites au scotch au profit de formes simples, arrondies et apaisantes tracées à la main. Un retour à plus de minimalisme qu’elle complexifie toutefois avec un fond « mosaïque » créé avec des bandes de lin entrelacées et dont la texture tout à fait singulière se rapproche de celle du velours.
Né en 1959 en République Populaire de Chine, Arthur Yang grandit à Erevan (Arménie) et étudie aux Beaux-Arts de Moscou. Il poursuit sa formation à Paris, à l’atelier de gravure Contrepoint (1996-1998) et en résidence à la Cité Internationale des Arts. Membre de l’International Art Foundation (1989) et de la Maison des Artistes (1998), il est peintre, dessinateur, sculpteur et graphiste. Commissaire de la Biennale d’Arts Graphiques de Novossibirsk depuis 2005, il réalise notamment une œuvre pour les 30 ans du groupe Pernod Ricard. Depuis 1999, il vit et travaille à Paris, puis, dès 2017, à Saint-Mathieu-de-Tréviers (Hérault).
Issu du graffiti, Asto s’est peu à peu orienté vers l’une de ces évolutions : le graffuturism, un art géométrique qu’il explore en jouant avec les couleurs et les formes, deux éléments fondamentaux qu’il imbrique et mélange pour donner vie à des créations méthodiques qui définissent aujourd’hui son style. Une transposition de la géométrie dont il s’amuse, pour composer des œuvres originales, pétillantes et colorées. Ses inspirations sont diverses et se trouvent dans la vie de tous les jours entre architecture, urbanisme, design, nature, et tout ce qu’il voit (et ne voit pas). Captivé par les anamorphoses, il en réalise depuis 2017, et notamment dans les couloirs de la résidence Ambroise Croizat de Villejuif en 2018 pour lesquels il sera récompensé par le Ministère de la Culture avec les autres artistes du projet.
Femme du sud, Géraldine Auret vit à
Montpellier. Malgré une précoce sensibilité artistique qu’elle concrétise dès l’âge de 17 ans avec ses premières expositions, qui
lui firent un temps envisager une carrière artistique, ses choix l’amènent à s’engager à la faculté de Montpellier dans un cursus long
d’études en sciences économiques…
Elle ne cessera jamais de peindre et d’exposer, puis mettra ses expositions en retrait pour créer deux entreprises et sa plus belle œuvre : sa famille. Après un parcours professionnel riche et dense, elle se consacre aujourd’hui à sa création artistique avec ses « Collections G. ».
« Coloquintes en couleurs.
Je me suis associée avec la nature.
Je suis fascinée par les arts premiers.
Toutes ces formes artistiques utilisent des matériaux naturels pour s’exprimer.
Moi aussi j’ai voulu, à un moment, être en accord avec la nature,
dans ma façon de vivre et de travailler.
Je cultive des coloquintes (gourdes lagénaria ou calebasses) qui,
une fois sèches, deviennent comme du bois.
La nature me fournit la forme.
J’utilise ces volumes naturels comme supports à peindre.
J’invente des personnages et des animaux.
J’anime mes coloquintes. »
Bad Georges se réclame du mouvement de l’artisanat d’art et des traditions populaires, une démarche qui valorise le travail manuel et la culture locale. Ce sont nos affiches qui nous ont fait connaître, avant que nos créations ne se déclinent sur d’autres supports.
Jeune artiste guinéen installé à Montpellier, Bella Bah s’exprime aussi bien sur toile que sur les murs de la rue. Dans sa palette, ce sont ses émotions, son histoire et ses expériences qui définissent les couleurs. Evoluant dans un microcosme artistique, il s’inspire de ses pairs pour développer son propre style. Coloré et exotique, l’univers de Bella Bah vous fait voyager sur un autre continent.
Julien Barriol, alias No Luck, développe un langage graphique asémique, inspiré de formes simples, de signes anciens, de livres, films ou jeux vidéo. Son écriture, entre imaginaire et tradition, invite à une lecture intuitive. Le spectateur devient archéologue, face à des symboles rouges sur un mur décrépit, des traces sur le sable ou des pages de grimoire. Peint, sculpté ou gravé, chaque support porte ces lettrages mystérieux, ouverts à toutes les interprétations. Un langage inconnu, non verbal, qui interroge plus qu’il ne dit.
Fasciné par les lieux à l’abandon, Hugues Bertin photographie d’anciennes serres du Var, vouées à disparaître. Il récupère les verres chargés d’histoire et y imprime ses images. Pour restituer l’ambiance d’origine, il crée des cadres en acier qu’il laisse volontairement rouiller. Son travail explore les traces du passage humain, l’abandon, l’oubli, les matières qui se décomposent avec le temps. Une démarche poétique ancrée dans un univers qui lui est cher et constant : celui du monde marin.
L’émotion au féminin
Sur de grandes toiles de lin, je saisis les expressions des visages et /ou des corps dans une gestuelle forte où couleur et traits s’affrontent jusqu’à la naissance de l’émotion recherchée.
Artiste pluridisciplinaire, Yann Birgy explore une variété de supports et de techniques, mêlant peinture, sculpture, installations et performances. Une part importante de son travail repose sur le recyclage du carton et du papier, matériaux qu’il réinvente au fil de ses créations. À travers une démarche libre et mouvante, il aborde différentes thématiques, trouvant dans le changement de médium un souffle nécessaire à l’évolution de son univers artistique.
Aussi loin que je m’en souvienne, j’ai toujours dessiné. Autodidacte, par mes dessins, j’exprime mes émotions plus facilement que si je le faisais avec des mots.
Je puise mon inspiration dans mon environnement, la mer, la musique, l’astronomie, la spiritualité, ou encore mes rêves.
J’offre ainsi une forme imaginaire à cette infinité de possibles. J’explore la notion de pureté géométrique à travers les ondes, les cercles et les lignes qui introduisent chaque dessin dans un monde fractal.
« Je pars d’une forme inscrite dans un matériau, d’une esquisse ou d’un projet abouti, sans thème précis si ce n’est peut-être « la présence ». Il s’agit de donner vie aux expressions subtiles du corps, en retirant la matière jusqu’à trouver l’essentiel. J’y ajoute parfois des gestes de transformation : brûler, mutiler, brosser, patiner… pour retrouver, dans un processus accéléré, la force émotive des reliques anciennes, marquées par l’usure du temps. »
Gérard Bru fait vibrer la couleur. L’artiste mêle, du plat de son couteau, des chenilles de bleus, une pointe de gris, une traînée de beige. Il compose. Et c’est une harmonie. Son ciel emplit la toile et sous ce velouté, votre rêve prend vie. Le dos d’un mur béant, l’aile d’un angle mort, le songe d’une nuit… Face à son chevalet, le peintre s’installe dans son monde. S’il vous tourne le dos, c’est pour vous dévoiler le vif de sa peinture. Sa palette s’anime. Une étrange douceur vous bouscule. Votre regard divague…
Lucile Callegari, peintre autodidacte, vit et travaille entre Bordeaux et Paris. Depuis 13 ans, la création s’impose à elle comme une évidence.
Son œuvre explore l’humain et ses multiples facettes esthétiques et émotionnelles. Rapide et instinctive, elle peint en un seul jet, laissant émerger des visages inspirés du quotidien. Ses portraits féminins, reflets de son propre univers intérieur, incarnent une image intemporelle et universelle.
En transformant le réel en mise en scène, elle invite le spectateur à projeter sa propre histoire. Représentée dans de nombreuses galeries en France, elle s’ouvre aujourd’hui à l’international.
Artiste peintre à Montpellier, Gisèle Cazilhac réalise de nombreuses expositions principalement en France, ainsi que des illustrations et peintures murales et monumentales. Sa peinture singulière, résolument gaie, et surtout ses scènes de vie ou purs graphismes, aux personnages mêlés, mélangés, imbriqués, virevoltants, acrobates, fluorescents ou noirs et blancs, arrivent toujours à nous re ou rassembler.
Découvrez ses toutes nouvelles encres noir et blanc, réalisées en 2025.
Claks a manifesté dès son jeune âge une forte attirance pour le dessin et la peinture au spray. Il a appris en pratiquant, initié par les plus anciens, en France et ailleurs. Rapidement, des propositions d’expositions et de festivals d’art urbain se sont présentées. Remarqué pour ses œuvres dans les rues de Paris pendant ses études à l’École des Gobelins, il a collaboré avec des sociétés de production télévisuelles et cinématographiques. Sa créativité l’a conduit à créer son propre projet, Éclat©, qu’il développe depuis 2021. Il initie également des jeunes à l’art en intervenant dans des classes à projet artistique.
Le travail de Damien DEMAITER est un échange permanent et laborieux entre la matière qu’il utilise et son état d’être, ses émotions, ses vibrations. Continuellement en connexion avec ce qui l’entoure, il n’a de cesse d’explorer et d’expérimenter l’expression de son ressenti. Un bouillonnement de vie qui l’ouvre à des techniques variées, orchestrées, mises en mouvement, en graphisme. Des associations parfois frénétiques, parfois subtiles, des jeux de recouvrements et de découvertes, des transparences, des révélations, des samplings de motifs et de symboles, des rythmes, des entrelacs de contrastes, une poésie picturale.
Dans sa peinture, il utilise la technique mixte : le collage et le mélange de différents produits et matériaux récupérés de milieux divers. Le mélange à la fois des produits, des techniques diverses et l’introduction du texte lui permettent de trouver une liberté de travail et de geste, une liberté d’exprimer ses idées, ses sentiments, ses rêves, ses pensées, ses joies et ses souffrances… Son œuvre est un espace de réflexion perpétuelle, il utilise différentes matières pour l’élaborer. C’est de cette alchimie, de ce mélange et de cette mixité de produits divers que naît sa peinture. Un travail qui ouvre de nombreuses fenêtres sur la diversité du monde, tel un macroscope…
Photographe autodidacte montpelliérain né en 1979, je me définis surtout comme un compositeur incrustateur photographique souhaitant mélanger ses références -souvent issues de la pop culture- à des photos de paysages urbains.
Devenue alors comme un énorme terrain de jeu, j’aime me réapproprier la ville et son mobilier sans les dégrader. Le résultat final est obtenu en post-traitement par ordinateur par superposition de plusieurs photos avec incrustation de dessins/graphismes dans une idée street art. Entre grand-angle, longue exposition, jeux de lumières et effets de vitesse, le spectateur est plongé dans un univers imaginaire.
Dr Speed – Photographe Montpellier – Compositeur Incrustateur Photographique
Jérôme DURAND est un artiste Arrageois né en 1987.
Il a fait ses études à l’Ecole Supérieur des Arts de Saint Luc à Tournai où il a obtenu un Bachelier en publicité en 2012.
Cette formation artistique lui a permis d’appréhender de nombreuses techniques (la perspective, la composition, l’équilibre…) et de développer sa culture artistique.
Il est aujourd’hui directeur artistique dans une agence de publicité de la métropole Lilloise.
Depuis 8 ans, il réalise des œuvres, à base de papier découpé au cutter puis superposé pour créer des tableaux graphiques.
Jérôme DURAND conçoit des oeuvres uniques en utilisant le papier à la fois comme sujet et support de ses créations. Les lignes et les carrés s’entrecroisent et évoquent une impression
de volume et de mouvement.
A ce jour son travail est exposé, de manière permanente dans plusieurs galeries d’art en France : Lille, Le Touquet, Honfleur, Lyon…
Lison Gangloff réalise des rosaces composées de ses papillons en papier, qui sont des reproductions taille réelle. Elle nous montre que la nature est sublime, que l’on peut l’admirer tout en la protégeant. Ses œuvres sont imprégnées de symboles. D’effets d’optique hypnotisants et captivants. C’est une quête du beau et de la perfection. Le regard circule et offre une contemplation apaisante. L’étonnement vient lorsque l’on comprend que des papillons constituent l’œuvre. Puis l’émerveillement, quand on découvre qu’ils sont en papier, et que ces beautés existent sur notre planète.
À travers les différents supports et techniques issus du travail de la laque, de la linogravure ou du dessin d’illustration, les créations d’Aurélia Gritte prennent source aussi bien dans les courants asiatiques traditionnels et modernes que dans l’art contemporain.
Dans ses tableaux, caractérisés par les couleurs chaudes et la brillance de la laque (vernis Martin), de l’huile et des pigments naturels, les figures détourées à la façon des dessinateurs de mangas se font tour à tour l’écho des codes stylistiques asiatiques, des courbes arabesques de l’Art nouveau ou des lignes droites et épurées de l’Art déco. L’artiste qui se définit comme un « rêveur social » y pose ses révoltes aux formes chaotiques en une géométrie maitrisée qui s’ordonne tout en force et en netteté.
AKnin Philippe, Hugo Jules Mathias de mon nom d’artiste Nîmois de 65 ans ! Je peins depuis toujours ! Plus de 40 ans, je crée même des tables basses !
KAMO est un artiste graffeur autodidacte post graffiti dont l’univers symbolique, coloré et percutant est une quête de transmission de messages collectifs puissants pour les humains et le vivant. Son travail est marqué par les coulures inversées qui représentent le mouvement vertueux d’élévation, l’impermanence des sujets, symboles. C’est cette énergie brute, à la fois instinctive et consciente, qui donne ce style authentique et percutant à ses œuvres.
David Kunzli est né en 1972. Il se forme en dessin publicitaire à l’école des Arts graphiques Corvisart à Paris. Il abandonne rapidement la réalisation de maquette au profit de la pein- ture, qu’il pratique depuis son plus jeune âge. À la recherche d’une écriture personnelle, David Kunzli parcourt l’Asie et treck des mois dans les montagnes de l’Himalaya. De ces séjours nait sa technique, une interrogation qui l’amène à l’essentiel, des visages ronds du bouddhisme au plus aigüe des mondes de l’est. Dans ses premières pratiques, David utilisait le médium de l’huile mais jugé trop riche, il décline son ouvrage dans un dépouil- lement simple prêt à raconter l’humilité des personnes qu’il a rencontré. Sur le support, les matières fondues deviennent graphiques dans la puissance du trait, résonnent dans les interstices des bois creusés l’intériorité de l’être, de toi de moi. Dans un espace, il organise ses unités d’hommes et de femmes aux placements imprévus, génère une ambiguïté du comportement sociétal. Interférant avec alliance et opposition, ils se regardent, se ren- contrent, se retrouvent et se perdent dans le cycle actuel.
Manuel Fernandez, alias KiKo, est un artiste français né en 1985 à Martigues. Enfant, on dit de lui qu’il dessine comme il respire. D’un seul trait affirmé, il crayonne les émotions qu’ils n’expriment pas avec les mots. L’école ne le passionne qu’en cours d’arts plastiques et sa voie semble donc toute tracée. Mais l’art n’est pas un sujet dans cette famille de marins qui a d’abord la passion de la mer et surtout celle de la pêche aux thons. Dès son plus jeune âge, KiKo rejoint donc les thoniers familiaux, géants des mers de 30m de long amarrés à Port-Vendres, laissant ses crayons pour des filets de pêche ; on ne quitte pas le navire comme ça ! Plus âgé, il partira en mer de longs mois traquant les bancs de poissons colonisés par les thons. Il y apprend la discipline, la gestion de la peur, la résilience, le travail d’équipe, le manque de sommeil et la solitude. Pour échapper à cette vie rude de marins où la mer le rappelle sans cesse à l’ordre, KiKo se construit un univers imaginaire où l’enfance qui y suspend son vol lui inspirera toute son œuvre.
De nature touche-à-tout, son travail est pluridisciplinaire.
Toiles, fresques murales et sculptures sont ses principaux supports d’expression.
À travers des recherches impulsives et automatiques, ses méli-mélo de personnages apparaissent comme l’expression de ses réflexions les plus profondes.
Relier les choses et les êtres à la lumière des liens qui les unissent. Figer les émotions qui s’animent au fil des rencontres, capturer ces moments où la vie s’exprime et nous étonne. Entre émerveillement et joie de vivre, mais également craintes et préoccupations, le travail de Tommy est un besoin instinctif de mettre sur papiers ses humeurs et émotions.
Il recherche une vibration et un équilibre visuel par la déconnexion entre les couleurs et les formes. Leur enchevêtrement complexifie volontairement la lecture. Colorées et bien souvent chaotiques, ses œuvres viennent questionner nos rapports humains et nos libertés.
David Kunzli est né en 1972. Il se forme en dessin publicitaire à l’école des Arts graphiques Corvisart à Paris. Il abandonne rapidement la réalisation de maquette au profit de la pein- ture, qu’il pratique depuis son plus jeune âge. À la recherche d’une écriture personnelle, David Kunzli parcourt l’Asie et treck des mois dans les montagnes de l’Himalaya. De ces séjours nait sa technique, une interrogation qui l’amène à l’essentiel, des visages ronds du bouddhisme au plus aigüe des mondes de l’est. Dans ses premières pratiques, David utilisait le médium de l’huile mais jugé trop riche, il décline son ouvrage dans un dépouil- lement simple prêt à raconter l’humilité des personnes qu’il a rencontré. Sur le support, les matières fondues deviennent graphiques dans la puissance du trait, résonnent dans les interstices des bois creusés l’intériorité de l’être, de toi de moi. Dans un espace, il organise ses unités d’hommes et de femmes aux placements imprévus, génère une ambiguïté du comportement sociétal. Interférant avec alliance et opposition, ils se regardent, se ren- contrent, se retrouvent et se perdent dans le cycle actuel.
Je suis un sculpteur qui utilise uniquement le bois, matière connue pour sa plasticité. Si jamais je poursuis un but, c’est d’offrir aux regards, une perception originale du monde où nous vivons. L’esprit de recherche dans lequel j’évolue, est de mettre en forme des pensées qui me traversent souvent l’esprit lors de mes nuits d’insomnies. Ce sont parfois des idées loufoques, des visions incongrues que je chasse au plus vite le matin mais parfois, certaines continuent à me plaire et à m’amuser.
En 1997, après des études d’arts graphiques à Paris, Nathalie s’inscrit à l’École Supérieure des Beaux-Arts de Montpellier. L’année suivante, elle est lauréate du concours de l’affiche officielle de la Coupe du Monde de Football France 98. Grâce à cette distinction, elle s’installe en tant qu’illustratrice indépendante et développe de nombreuses réalisations graphiques pour des entreprises privées et semi-publiques. En 2013 elle trouve un grand espace au centre-ville de Montpellier, en fait son lieu de création et l’ouvre au public en dispensant des cours toutes techniques. Spécialisée aux techniques multiples, elle déploie des représentations singulières de paysages aquatiques imaginaires à la
frontière « figuratif /abstrait » qu’elle réalise en acrylique et avec d’autres techniques.
Elle diversifie son travail en réalisant des conceptions graphiques de sculptures monumentales dans la région en collaboration avec des architectes. La métropole lui confie pour la fin de l’année 2023 l’affiche événementielle du 21 décembre de « La gratuité est une fête ! » gratuité des transports à Montpellier.
Bercé au son des vagues de la grande bleue, César Malfi dessine et peint ses inspirations et remet tout ou presque en question. Ses racines italiennes, ses cours de droit, les découvertes qu’il fait dans les musées. Au cours de cette longue promenade, César partage sa vision de l’art à la lumière de l’héritage de l’Ecole de Nice. Un jour son père spirituel lui confesse que l’art réside essentiellement dans la remise en question. Si la Vénus de Milo avait encore ses bras, qu’en ferait-elle aujourd’hui ? Assoiffé de connaissances et de défis, César réinterpréte à sa façon l’histoire antique et ses grands personnages en questionnant leur rôle dans notre société moderne.
Né en 1995, Mara est un artiste évoluant en galerie comme en milieu urbain. Enfant, il dessine beaucoup, c’est pour lui la manière la plus naturelle d’exprimer ses idées. En 2011, il crée le personnage au visage en croix dont il se sert encore aujourd’hui pour raconter ses histoires. Représentant tout le monde et personne à la fois, cet être est comme une marionnette que Mara met en scène dans chacune de ses œuvres. Plus tard, il découvre le graffiti à Montpellier et commence à adapter son personnage à un nouveau support : le collage. Il investit peu à peu les murs de la ville, de jour comme de nuit. Le message étant au centre de son travail, Mara donne au personnage le rôle de porte-voix. Celui-ci livre avec humour, cynisme et inventivité le quotidien de l’artiste, mais aussi sa vision du monde. Avec le collage à taille humaine, il fait appel à l’esprit critique du spectateur en abordant certaines questions d’actualité comme l’écologie ou la technologie, mais aussi des sujets plus personnels tels que la nature humaine, l’amour.
Artiste photographe de montagne et de paysage, mon travail est influencé par la peinture romantique et interroge sans cesse notre place et notre rapport à la nature. Je photographie ce que j’ai en face de moi et ce que j’ai en moi, m’imprégnant des lieux que je traverse, voilà ce qui guide ma démarche artistique. En tant qu’artiste, je poursuis inlassablement mon exploration picturale et j’aime à me détacher parfois d’un certain académisme photographique.
https://www.olivier-martel.fr/
Au contact de mon grand-père, sculpteur sur bois, j’ai appris la beauté et la précision du geste, le goût des volumes… J’ai découvert la terre, matière à la fois brute et noble, et me suis passionnée pour sa richesse. Je pratique différentes techniques de cuisson et d’émaillage (raku) suivant mon intuition. Depuis 30 ans, je créé des personnages et animaux réels ou sortis de mon imaginaire ; toujours emplis de tendresse ou d’humour. Je souhaite exprimer de l’émotion dans mes sculptures et j’aime apporter du sourire dans les yeux de mes visiteurs.
Le style que j’emploie est associé à de l’art géométrique, figuratif narratif en aplats de couleurs. À travers mes toiles, je transmets des messages basés sur des symboles, qu’ils soient de dimension spirituelle ou plus rationnels. Chacun y voit et perçoit ce qui résonne en lui. Je vois l’artiste comme l’émissaire qui communique à ceux qui apprécient ses œuvres le message qui leur est personnellement destiné. Certaines de mes toiles questionnent l’évolution de notre société contemporaine avec beaucoup d’humour. Les aplats de couleurs sont réalisés à la peinture acrylique sur châssis coton polyester, et, les lignes sont tracées à la règle.
Caroline Montigneaux est une peintre et dessinatrice dont les œuvres ont figuré dans des expositions et des publications à travers la France. Adoptant une approche gaie et lumineuse de la couleur et de la silhouette, elle compose des portraits amusants à l’encre de Chine ainsi que des œuvres agrémentées d’une touche de street art, le tout dans son univers singulier de Petites Nanas.
Muriel Chevènement (MuChe) peint depuis 1996. Elle a construit son parcours de peintre des cours de l’école des Beaux Arts de Nîmes à un collectif d’artistes montpelliérains.
L’artiste est liée à la nature qui l’entoure, le littoral occitan, les étangs, et plus généralement aux vastes espaces, ces champs de lumière et de couleurs.
Lumière, couleurs, reflets sont au centre de son travail, une interprétation du dialogue qui existe entre les éléments naturels, le ciel et l’eau qui est son miroir. Le minimalisme des moyens picturaux est un désir de pureté, de simplicité.
Né au Vietnam, je vis en France depuis l’âge de 18 ans. Mon travail actuel s’articule autour de vues urbaines ou de paysages et tend à créer des atmosphères particulières, à restituer des sensations. Il s’exprime par des nuances de gris, des
couleurs estompées, des contours flous où la réalité et l’imaginaire s’entrelacent pour puiser dans les réminiscences du passé, faire resurgir des souvenirs, susciter des émotions. C’est une peinture teintée de lumière, d’intemporalité et d’espoir.
Une irrésistible envie de toucher, de goûter et de … sourire vous submerge.
Vous venez alors, d’entrer dans l’univers artistique et chaotique de David Ferreira !
Ancien géomètre, ayant longtemps dû refouler son énergie créatrice, le jeune
artiste Français allie avec brio la rigueur mathématique de son ancienne vie au
tumulte vibrant de son inspiration ! De fait, les aplats colorés côtoient les
équations et les casse-têtes mathématiques. Ferreira devient « Toto » personnage de notre enfance, et nous fait découvrir sa femme, qu’il « Warholize » ou avec qui il fait la « Fête à Toto » sur un fond de ballons colorés. Aussi, son chiffre fétiche, le 15 suite à divers heureux événements familiaux, apparait sur chaque œuvre, tel une seconde signature. Cette cacophonie, organisée et réfléchie, est aujourd’hui exposé dans le monde entier. Que l’on aime ou déteste, cette peinture résolument personnelle et intime ne saurait laisser indifférent par sa singulière identité artistique.
Oups est entré dans l’univers du graffiti à la fin des années 90. Après une période de pratique « traditionnelle » il s’est lancé à la recherche de supports originaux, s’exerçant au détournement de panneaux publicitaires et autres mobiliers urbains. L’adaptation à l’environnement et le jeu instauré avec les passants ont toujours motivé sa démarche.
C’est ainsi qu’en 2011, il en est venu aux cailloux. Grand arpenteur de plages méditerranéennes, il donne alors vie à des galets qu’il transforme en cox (cousines éloignées des coccinelles) avant de les éparpiller dans le centre-ville de Montpellier.
Rapidement les cox ont grossi et pris la forme des rochers qui bordent les routes du sud de la France. Ces bestioles au regard naïf et aux couleurs vives ont dépassé le nombre de 500, de Valencia en Espagne à la Haute Savoie en passant par la Guadeloupe. Elles apparaissent en plein jour, dans une démarche faite de liberté et d’appel à la tolérance.
En parallèle il décline sur mur, des villes à l’architecture désordonnée et chaleureuses qu’il mêle à des animaux représentés de manière tout aussi naïve que ses cox.
L’œuvre de Pamelito est marquée par un personnage récurrent, un petit cactus. Ce personnage de cactus lui a été inspiré lors d’un voyage sur l’ile de la Réunion. Le premier a été dessiné sur un coin de table pour la réalisation de tatouages, issus de l’inspiration des mini-cactus ou des cactus nains. Il est décliné en plusieurs formes archétypales, avec des yeux mais sans visages. Les regards partent dans toutes les directions et ils contribuent pleinement à la composition générale du dessin. Des clins d’œil, des coups d’œil, des types de regards du plus intense, au mystérieux en passant par des regards fuyants ou francs donnent de l’épaisseur au caractère de ces personnages. Les différents regards et leurs significations rendent un peu plus uniques les cactées, car tout se joue sur le mouvement des yeux, leur direction et la taille des pupilles. La lecture de chaque personage permet de déceler l’état d’esprit qui se cache derrière ces yeux. Ils sont disposés suivant un principe d’accumulation. Que ce soit par une superposition ou un entassement, la notion de rassemblement, de foule est très présent dans l’ensemble des compositions. Dans aucun cas un cactus se retrouve seul ou perdu.
C’est en 1989, lors d’une performance des graffeurs Mode2 et Colt pendant le festival « 89 jeunes pour l’égalité », que Pro176 découvre le graffiti. Influencé par un environnement social imprégné de culture hip-hop, il s’engage rapidement dans le graffiti et le rap. En 1994, inspiré par le clip « You Can’t Stop the Prophet » de Jeru the Damaja, il adopte le pseudonyme Pro et devient Profecy, son nom de rappeur. Rejoignant la Grim-Team en 1996, Pro176, aux côtés d’artistes tels qu’Oeno, Chaze, et le photographe Armen, s’implique dans la scène artistique urbaine. En 1997, il se rebaptise Pro176, faisant référence au graffiti new-yorkais, et cofonde les Ultra Boys International, un groupe de graffeurs novateurs bousculant les conventions du graffiti traditionnel. Sa rencontre avec le graffiti-artiste new-yorkais Seen en 2009 marque un tournant. Aux côtés de Seen, Pro176 perfectionne sa technique à la peinture acrylique, abandonnant momentanément le micro pour le pinceau. En 2014, il consolide son impact artistique en publiant sa première monographie, « Cosmonometry ». Pro176, artiste aux multiples facettes, incarne l’essence même de l’avant-garde, fusionnant le graffiti, le rap et la peinture dans un parcours artistique inimitable et captivant.
Artiste belge et passionné, je crée chaque jour car l’art m’est nécessaire. Les bombes sont mes outils de prédilection, elles m’offrent une liberté plus difficile à acquérir avec des outils classiques. Après des études en arts et aux beaux-arts, c’est en bousculant mes acquis que je trouve mon style et ne cesse de le faire évoluer. Créer un pont entre l’art abstrait et le graffiti est un peu mon fil rouge. Je crée spontanément, chaque trait entrainant le suivant. Je suis un artiste heureux.
Artiste français pluridisciplinaire, plus connu sous le nom de Chris Puddy, basé à Paris, originaire du sud de la France. Vagues, mouvements, nuances de bleu, formes blanches et organiques, reflètent l’image de ses origines et de son art. Guidé par les moments de la vie, qu’ils soient partagés ou solitaires, il puise son inspiration à travers ses voyages, lectures, visions, rencontres, écoutes musicales, discussions et ressentis.
Michel Rauscher, né en 1957 en Alsace, est un peintre autodidacte reconnu pour ses scènes stylisées, inspirées par ses nombreux voyages sur plusieurs continents. Son art se caractérise par une technique bien personnelle. Coloriste, il affectionne les espaces craquelés, les paysages lumineux, les personnages longilignes, les reflets changeants de l’étang de Thau où il a trouvé refuge depuis vingt ans. Ses inspirations entre rêve et réalité côtoient l’étrange dans des décors habités et poétiques. Il aime surprendre à chaque nouvelle toile à subjuguer la nature et les hommes. Passionné de découvertes, de musique, de littérature et de photographie. Il est l’auteur de trois livres aux éditions Hazan et Magellan et Cie dans lesquels il associe photographies et peintures dans un dialogue chromatique et thématique.
L’artiste norvégienne Oddbjørg REINTON s’est toujours laissé guider par les contrastes et l’évolution des écosystèmes. Elle est arrivée en France en 1986 pour entreprendre des études d’art. Depuis elle travaille sur les regards croisés entre le nord et le sud, le froid et le chaud, le clair et l’obscur, le plein et le vide, l’apparition et la disparition, le proche et le lointain – tout en observant la faune, la flore, la mer et la terre. La solidarité est une idée clé dans son travail multifacette.
Cedric Lascours, alias RESO est un artiste graffeur originaire de Toulouse du mouvement wildstyle. Il développe un travail d’abstraction autour de la lettre et des courbes qui est une recherche vers l’harmonie lumineuse. Le cercle ouvert qui rassemble, le savant assemblage qui permet de réunir les couleurs et les motifs dans un tout. Activiste de la culture hip-hop il est le fondateur pionnier de festivals comme le Mister Freeze permettant au grand public de rencontrer ces formes d’art.
RNST est un artiste pochoiriste engagé originaire de Dijon. Son travail « inencadrable » s’affranchit du politiquement correct. Son œuvre poétique associe la force de frappe des messages et la fragilité des figurent enfantines et féminines qui portent les couleurs de l’insurrection. Leurs masques les protègent, les déguisent, donnent des voix aux moins visibles. Ils font résonner un puissant écho vers nos enfants intérieurs, la quintessence des ressentis et émotions face à ces sujets brulants.
Des bancs de la fac en histoire de l’art et arts plastiques, Runeda passe aux bancs de montage vidéo dans l’industrie du cinéma. Puis en 2016, il décide de se consacrer exclusivement à son art. Sa pratique est pluridisciplinaire. Le medium photographique est son support principal. Très souvent il est couplé à de la poésie. Sa démarche artistique s’inscrit dans une recherche entre le fictif et le réel autour des notions d’identité, de frontière et de temporalité. Runeda raconte ce qui le touche.
Déjà toute petite, j’adorais mes stylos et mes feutres. Je n’aime pas vraiment les jeux d’enfants. Moi ce que je veux, c’est dessiner. À 16 ans, je saisis l’opportunité de « croquer » des modèles vivants ». C’est exactement ce qu’il me faut, un modèle qui « bouge ». Pour moi, avec cette expérience, c’est le déclic. Ma confiance en bandoulière, je démarre une licence en Direction Artistique à l’ECV à Bordeaux, puis je décolle pour Londres. Je complète ma licence avec un Master en graphisme à la Kingston University. Mon premier monde professionnel : la mode londonienne. Un vrai délice où mes techniques de dessinatrice se construisent. Et une révélation : des monochromes tranchants et impactants. En 2018, je déménage près de Perpignan et je découvre une ville et des alentours pleins de vie et de nuances… les couleurs fortes et pétillantes deviennent petit à petit ma signature.
Né en 1957, Michel Soubeyrand est un artiste pluridisciplinaire français. Michel Soubeyrand débute sa carrière dans le milieu du film, de la publicité et des marionnettes avant de se tourner progressivement vers l’art. L’artiste s’intéresse aux animaux et les rapproche de notre instinct animal avec ironie et esthétisme. Comme passées par le filtre de la bande dessinée ou des contes mythologiques, ses oeuvres mettent en scène des personnages extravageants et colorés. Dans le même esprit que le Pop Art, il n’essaie pas d’imiter cet art. Michel Soubeyrand crée son propre vocabulaire grâce à sa parfaite maîtrise technique. Son style se caractérise par un mélange de culture latine et anglo-saxonne. Michel Soubeyrand met son art au service du public et nous montre à quel point il est important de rêver.
L’envie de couvrir les murs est née avec l’émergence des printemps arabes. Cette renaissance est le point de départ à l’envie de m’exprimer artistiquement. La symbolique du cœur, universelle, naïve, poétique, contraste avec ce monde complexe. Je souhaite partager un art positif et humaniste, interpeler le spectateur et créer une proximité́ avec celui-ci. L’utilisation du pochoir avec des couleurs minimalistes me permettent d’exprimer une histoire qui se juxtapose au rouge vif du cœur.
Romain Thiery, né à Bergerac en 1988, est un auteur photographe et pianiste amateur vivant et travaillant près de Montpellier, France.
Romain Thiery estime que le piano est profondément enraciné dans les profondeurs de notre culture, et a cherché́ à explorer l’instrument sous un angle original. Il s’est donné pour mission de combiner ses deux plus grandes passions et s’est mis à la recherche de bâtiments où de vieux pianos sont laissés à l’abandon. Depuis 2014, il a découvert plus de cent pianos à travers le monde, en autant de lieux à la foudroyante beauté́. Scènes dont il ne change jamais rien, laissant l’endroit tel quel. « Même au milieu d’un espace dégradé, le piano ne cesse de conserver sa puissance. Il est là, il trône de tout sa noblesse ».
Architecte de formation, designer et photographe de métier, Grégory Valentin, artiste
français né en 1977, est un amoureux des lettres, des lignes et de l’Art. Il intègre dans
ses tableaux l’intégrale d’œuvres littéraires en jouant avec les espaces, les polices,
les lettres pour en restituer une émotion intense et une esthétique parfaite.
Grégory Valentin présente un minutieux travail de composition où il va discipliner,
contenir et mettre en forme des textes pour recréer l’intégralité d’un livre sous forme
artistique. La finalité de son travail présente à la fois une œuvre abstraite reposante
et esthétique tout en donnant vie aux œuvres littéraires desquels il s’inspire.
Sa série d’œuvres « especedelivre », emprunte aux grands auteurs et aux classiques de
la littérature française des textes pour en transmettre l’histoire et proposer un livre de
centaines de pages en un seul tableau. Une lecture de l’œuvre qui évolue à chaque pas,
au départ imperceptible pour, en se rapprochant devenir lisible et concret.
Une étonnante invitation au voyage abstrait et à la rencontre de son univers artiste et
littéraire.
C’est en 1989, lors d’une performance des graffeurs Mode2 et Colt pendant le festival « 89 jeunes pour l’égalité », que Pro176 découvre le graffiti. Influencé par un environnement social imprégné de culture hip-hop, il s’engage rapidement dans le graffiti et le rap. En 1994, inspiré par le clip « You Can’t Stop the Prophet » de Jeru the Damaja, il adopte le pseudonyme Pro et devient Profecy, son nom de rappeur. Rejoignant la Grim-Team en 1996, Pro176, aux côtés d’artistes tels qu’Oeno, Chaze, et le photographe Armen, s’implique dans la scène artistique urbaine. En 1997, il se rebaptise Pro176, faisant référence au graffiti new-yorkais, et cofonde les Ultra Boys International, un groupe de graffeurs novateurs bousculant les conventions du graffiti traditionnel. Sa rencontre avec le graffiti-artiste new-yorkais Seen en 2009 marque un tournant. Aux côtés de Seen, Pro176 perfectionne sa technique à la peinture acrylique, abandonnant momentanément le micro pour le pinceau. En 2014, il consolide son impact artistique en publiant sa première monographie, « Cosmonometry ». Pro176, artiste aux multiples facettes, incarne l’essence même de l’avant-garde, fusionnant le graffiti, le rap et la peinture dans un parcours artistique inimitable et captivant.
Je suis autodidacte, native de Montpellier, amoureuse de la nature, avec ce besoin constant de retranscrire sur toile les émotions qui me traversent à travers des portraits d’animaux, en particulier ceux qui m’inspirent force et protection.
Je mets l’accent sur le regard par lequel l’essentiel de la communication se fait, et ajoute des couleurs vives avec un grand lâcher prise, laissant les couleurs couler sans contrôle.
Symbole du rêve et de l’inaccessible, c’est le nuage qui impose son rythme lancinant à l’esprit créatif de cet artiste rêveur. Comme posé dans le ciel comme un poème sous la plume de l’artiste, c’est tout un jeu de symboliques et de formes qui apparaissent dans l’œuvre de Varoc. Des nuages aux multiples formes semblent nous indiquer une direction, c’est la ligne de la vie fragile qui rejoint l’œuvre à l’artiste.
De l’autre côté de cette corde se situent des rues et des édifices bien ancrés dans le sol comme les fondations de nos âmes… C’est sur ces murs que se développe aussi la créativité de l’artiste. Entre fantasme et idéologie, pour le regard de celui ou celle qui saura s’y plonger.