Catalogue 2022
Solid'art LILLE
HÔTEL DE VILLE
Redécouvrez les 120 artistes de l’édition #8
Parrain 2022
Diapositive précédente
Diapositive suivante
Artiste précurseur , reconnu comme l’un des pionniers du mouvement » Street’Art » français (Art contemporain urbain), Speedy Graphito s’impose comme l’un des artistes majeurs de sa génération. Depuis le début des années 80, juste après la figuration libre, Speedy imprègne du » Style Graphito » la mémoire collective et les murs de Paris en les colorant de ses graphismes percutants. N’ayant de cesse d’évoluer et de se réinventer, sa marque de fabrique est celle d’un art joyeux et profond, aux couleurs souvent vives, dans lequel il bouscule de façon ludique et ironique nos systèmes de perception. Dans cette démarche, il n’hésite pas à s’approprier pour la détourner toute l’imagerie de la culture populaire, des super héros, voire des marques, réalisant ainsi un décryptage quasi-systématique de notre inconscient collectif. Il décline alors en autant d’interrogations les normes et les diktats de notre identité culturelle occidentale, superposant à la réalité de notre société une dimension plus poétique.
Focus artistes 2022
Diapositive précédente
Diapositive suivante
C’est dans une cave lilloise que naît et se développe le travail de Kelu abstract.
Ses visages trouvent support sur des affiches dans la rue, sur les encombrants au fil des rencontres mais aussi sur toile et papier.
Kelu abstract ne dicte pas de message et laisse l’interprétation libre de ses regards réciproques.
Diapositive précédente
Diapositive suivante
Mister P, street artiste passionné par le mouvement où il évolue depuis 2008 et par les multiples techniques qu’il propose, est originaire de la région lilloise. Entre détournements publicitaires, peintures et collages, il reproduit ses multiples personnages dont le plus connu est le visage du général de Gaulle. Le képi devient son meilleur support pour laisser place à la création et au message d’ironie qu’il aime utiliser. Il fait traverser le temps à cette figure emblématique et historique, confrontée à la publicité et à la société de consommation.
GalerieS & éditeuRS
Diapositive précédente
Diapositive suivante
Acid Gallery représente des artistes émergents, telle une pépinière de grands talents en devenir. Eric Delecourt, son directeur, apporte son univers unique à travers une selection artistique intense, un peu provoc’, à l’esthétique toujours pointue. Des œuvres «uppercut» qui questionnent l’existence même et ne laissent personne indifférent. Derrière chaque artiste exposé, une rencontre, une histoire, une alchimie, une quête de sens. Visiter Acid Gallery, c’est une claque visuelle et sensorielle à haut pouvoir addictif.
Pour Solid’Art Lille 2022, Acid Gallery présente l’artiste Wayne Danza
Diapositive précédente
Diapositive suivante
Mother est une galerie installée à Bruxelles qui représente des Artistes français et belges, artistes peintres, sculpteurs, plasticiens, vidéastes.
Sa fondatrice, Margaux Hollevout, fille de l’artiste Lillois Philippe Hollevout a lancé ce projet en 2021 suite à la détresse laissée par la pandémie.
Artistes présentés : Sophie DOUTRELIGNE ; Margaux HACHE ; Philippe HOLLEVOUT ; Eric MONBEL ; POPERMACHO.
Diapositive précédente
Diapositive suivante
La galerie est fondée en 2004 par Martine Ehmer. Captivée par l’Art depuis toujours, elle décide de se consacrer à sa passion et ouvre son propre espace à Bruxelles.
Si elle suit une ligne cohérente dès ses débuts, Martine Ehmer choisit de ne pas limiter sa sélection à un medium ou un courant. La galerie représente des artistes de divers horizons, émergents ou déjà̀ établis et travaillant différents médias, peintures, photographies, sculptures et vidéos sont exposés.
Artistes présentés : Jef Aérosol, JonOne, M.Chat, Zenoy, Christian Silvain, Julie De Bleeckere
Diapositive précédente
Diapositive suivante
Jef Aérosol est l’un des pionniers de ce qu’il est aujourd’hui convenu de nommer “street art” ou “art urbain” (bien qu’il préfère le terme “art contextuel”).
Ce dandy de la bombe aérosol a laissé sa marque sur les murs de multiples villes dans le monde entier : pochoirs furtifs ou grandes fresques murales. Ses personnages en noir et blanc, illustres ou anonymes, souvent peints en grandeur nature, témoignent de l’attachement de l’artiste à des valeurs humanistes profondes.
Il a réalisé pour le festival Wazemmes l’Accordéons l’affiche 2022 et présentera sur Solid’Art deux des trois orignaux !
https://www.jefaerosol.com/
Diapositive précédente
Diapositive suivante
Olivier Ribardière est l’un des photographes d’enfants les plus talentueux de sa génération. Les plus grandes marques de haute couture, la publicité et la presse font appel à lui. La rencontre d’Olivier avec Olivia François (créatrice, styliste) va s’avérer déterminante dans la réalisation de costume uniques, aboutissant à plusieurs univers
Dans le cadre de Solid’Art, Olivier réalisera des portraits uniques tirés sur papier d’art et numérotés. Tel un grand maitre de la peinture flamande ou espagnole, il vous mettra en lumière en vous enveloppant d’un clair-obscur subtil pour mieux ressentir vos émotions et forces singulières. Olivia vous habillera, vous ou vos enfants, en costume d’époque ou de super héros (uniquement pour les enfants)
Réservation de créneaux (séance 1h) sur les 3 jours du salon.
Inscription et information : 06 07 49 62 29 / olivierribardiere63@gmail.com
Instagram @olivia_et_olivier
Diapositive précédente
Diapositive suivante
L’Atelier Kencre est un atelier artisanal de sérigraphie créé à Lille en 2017, spécialisé dans l’impression sur papier. L’ensemble de nos prestations, de la création, en passant par la formation et l’impression sont en lien direct avec cette technique d’impression.
Artistes présentés : Vincent LELIEVRE ; BOB 59 ; Justine MOLINET ; RAF URBAN ; SAMIONE ; Tom B
Diapositive précédente
Diapositive suivante
Anagraphis est une maison d’édition de sérigraphies d’art et d’estampes numériques, signées et numérotées.
Avec un fonds de plus de 8 000 sérigraphies d’art et près de 190 artistes édités, la maison d’édition présente de nombreux mouvements artistiques : l’Art Contemporain, le Street Art ou encore la Bande Dessinée !
Robert Combas, Errö, M. Chat, Siné, Mist, Shleton, Pablo Picasso, Robert Crumb, Mezzo, JonOne, Jace, … Depuis plus de 40 ans, Anagraphis est soucieuse de partager ses productions artistiques avec le public.
La maison d’édition Anagraphis est partenaire de cette première année édition de Solid’Art Paris.
Diapositive précédente
Diapositive suivante
Solidaire … yes we are !
We Art 51 est un tout nouveau concept qui révolutionne l’accessibilité à l’art contemporain. En collaboration avec de talentueux artistes au style graphique affirmé,
une œuvre d’art originale est réalisée sur toile, puis déclinée principalement en sérigraphie à 50 exemplaires, numérotés et signés de la main de l’artiste.
Ces tirages d’art sont ensuite commercialisés sur www.weart51.fr et à l’occasion d’événements comme celui de Solid’Art.
Une fois l’ensemble des exemplaires vendus, un tirage au sort parmi l’ensemble des acheteurs détermine l’heureux propriétART de l’œuvre originale.
Mais ce n’est pas tout !
Pendant Solid’Art, les acheteurs seront doublement gagnants !
En effet durant 3 jours, tout achat d’une sérigraphie proposée par We Art 51 vous permettra également de participer à un autre tirage au sort mettant en jeu des sérigraphies rehaussées à la main par les artistes.
Pourquoi vous priver de faire une bonne action ?
Collections capsules d’artistes : Chloé Besnard, Bleg, Quentin DMR, Ërell, IPNS, Jasmine Le Nozac’h, Mister P, Ouroboros, Shortyman, Thomas Van Hecke et Alexandre Wirth.
LES ARTISTES Exposants
Diapositive précédente
Diapositive suivante
Adré est un artiste autodidacte né le 27 octobre 1980 à Lille. Éducateur spécialisé de formation, il en tire une sensibilité pour l’humain et le contexte social dans lequel il intervient. En 1997, il rencontre des graffiti artistes de la région et débute dans cet univers. En 2005, Adré découvre la photographie, et se tourne très vite vers la photographie de rue. Les anonymes évoluant dans la géométrie des grands espaces urbains deviennent un jeu où les attitudes, les lignes, la lumière, doivent être saisies avec habileté. Son travail devient plus figuratif et il effectue une série de portraits qu’il peint sur papier puis colle dans la rue. Les thèmes du temps qui passe, de la nature, de l’absurde, ou encore du quotidien reviennent souvent. Il est marqué par le travail de Picasso, Léger et des surréalistes.
Diapositive précédente
Diapositive suivante
Né dans le Nord de la France, il a commencé à dessiner dès son plus jeune âge. À l’adolescence il a commencé à créer ses propres graffitis. Des années plus tard, alors qu’il commençait à travailler, il s’est essayé à la peinture sur toile. Celle-ci deviendra un besoin omniprésent au point de s’y consacrer à temps plein depuis 2022.
Aket crée ses œuvres néo cubistes sur tout support, adoptant une approche ludique et expérimental de sont Art. Son style est une fusion du street art et du cubisme avec une interprétation moderne.
Continuant de créer de nouvelles oeuvres il défie les attentes des différentes hypothèses que sont le cubisme, il accentue ses formes en privilégiant le noir et blanc.
Diapositive précédente
Diapositive suivante
Akte one est devenu l’un des représentants les plus établis de la scène graffiti. Petit à petit, il a découvert un monde qui lui était d’abord mystérieux et secret, le monde de ses propres images et tags qui l’a tenu sous son charme jusqu’à aujourd’hui. Ses œuvres vivent avant tout par les formes, la profondeur, l’individualité et aussi son canon de couleurs, et vise à amener l’observateur dans son monde et à l’inciter à rêver. Akte one reste toujours l’authentique artiste graffiti, sur le mur, sur la toile et dans ses œuvres mixtes, qui développe l’expression urbaine et les caractéristiques de l’écriture graffiti et qui nous surprendra certainement avec d’autres œuvres qui méritent d’être vues.
Diapositive précédente
Diapositive suivante
Amoureuse de la côte d’Opale, la mer a toujours été présente dans la vie d’Aliette, Hardelot sa ville de cœur et d’artiste, occupe une place centrale dans son monde composé de vagues et de coquillages. Elle aime se promener au grand air le long de ces plages infinies où elle trouve matière et inspiration.
A la fois apaisantes, intrigantes, émouvantes, ses compositions ne laissent pas indifférent. Véritables poèmes sculptés, ses œuvres nous parlent de la nature, de l’environnement et des détails qu’il ne faut pas négliger.
Dans son atelier de Wambrechies, sa galerie d’Hardelot en France ou Knokke le Zoute en Belgique elle expose, transmet sa passion de l’art et de la mer, cours, stages, art thérapie.
Diapositive précédente
Diapositive suivante
Marie Amédro est une artiste originaire du Nord de la France. Se relevant du courant de l’abstraction géométrique qu’elle rattache à une sensibilité écologique, elle puise dans l’Arbre sa principale source d’inspiration. Marie n’a pas de médium de prédilection, elle travaille aussi bien la peinture que le collage ou le dessin sur toile, papier, carton et bois. Dans son travail, chaque forme, chaque couleur, chaque texture est hautement symbolique et contribue à générer l’idée de mouvement et de vitalité de la nature.
Diapositive précédente
Diapositive suivante
Amose superpose, mixte les médiums et varie les supports, c’est un mélange de collages, sérigraphies, encres, et d’acrylique.
Les corps contorsionnés sont légers, et nous donnent l’illusion qu’ils flottent. Les membres s’emmêlent à des formes géométriques et disparaissent les uns derrière les autres comme s’ils se transformaient devant nos yeux.
Ces êtres déformés témoignent de ce paradoxe qui existe aujourd’hui entre une évolution technologique permanente voire obsessionnelle et un retour à des valeurs ou à des modes de vie naturel et passé.
Diapositive précédente
Diapositive suivante
Son pseudonyme est un hommage aux deux personnages qui inspirent sa création. Angus vient de la série Mac Gyver pour le côté créatif. Grouès est un hommage à l’Abbé Pierre pour l’esprit récup’.
Aux travers de ses sculptures lumineuses, il essaie d’interroger le public sur le sens de notre course perpétuelle au progrès technologique par la figure oxymorique de robots constitués d’objets surgis du passé.
Ses tableaux irrévérencieux inspirés du street art quant à eux sont bourrés de références au cinéma, à la politique et aux grands noms de l’art.
Diapositive précédente
Diapositive suivante
Agathe Charvoz travaille actuellement sur son voyage en Afrique: un voyage de 5 mois riche en rencontres et en émotions : « La série sur laquelle je progresse pour le Solid’art concerne le Maroc et met en avant une personne qui m’a profondément marqué. »
Le deuxième projet en cours est « les voisines de M’beni » qui relate son expérience aux Comores avec les voisines de la maison dans laquelle elle était logée.
À travers plusieurs travaux réalisés à l’huile sur toile appliqués à différents formats, Athe souhaite leur rendre hommage et transmettre l’énergie et la force du moment.
Diapositive précédente
Diapositive suivante
AZAYAM a entrepris un travail faisant intervenir la mémoire. La sienne et la vôtre. Il peint ses œuvres à l’aide de bombes de peinture acrylique, à main levée et sans artifice, avec pour seul guide l’interprétation mémorielle d’images. Une technique singulière qu’il a lui-même nommée « Sprayssionnisme ».
Il crée des images qu’il considère comme « synthétiques », aux frontières de la figuration et de l’abstraction, de l’imaginaire et de la réalité. Par cette technique, AZAYAM nous emmène, au-delà des limites de la simple image photographique telle que nous pensons la percevoir en découvrant chacune de ses peintures.
Les flous qu’il génère dans ses peintures, ainsi que les œuvres qu’il présente comme des objets mémoriels, viennent, à l’aune de ses « écritures vibratoires », faire intervenir par des échos multiples nos propres référentiels et faire vaciller les certitudes de nos perceptions.
Diapositive précédente
Diapositive suivante
Auteur Photographe autodidacte Je suis un « chasseur d’images » pratiquant la maraude photographique, cherchant à capter un instant unique. J’aime retranscrire l’ambiance des lieux et des scènes qui se « jouent » devant moi. La recherche photographique me servant de base à mon travail artistique.
Je donne à mes images un univers proche des peintres impressionnistes, jouant sur les couleurs, les textures, le flou et le net…Tout en gardant une trace de l’humain, de son passage ou de ses activités. Mon travail s’oriente de plus en plus vers une photographie « Plasticienne » où l’apport de la peinture et du collage numérique me permettent de laisser mon imaginaire vagabonder au grès de mes envies et de mes rêves.
Diapositive précédente
Diapositive suivante
Thomas Berthier est un artiste sérigraphe né en 1980 dans le nord de la France. Formé aux arts-décoratifs de Strasbourg option «communication graphique», et titulaire d’un DNSEP, il trouve dans la sérigraphie le parfait outil pour exprimer et libérer son énergie créative.
Après plus de 15 ans en tant qu’indépendant dans la création graphique et visuelle, il crée en 2018 son atelier de sérigraphie artisanale. Son univers est un bouillonnant mélange de graphisme, d’illustration, de détournement d’images et d’impressions sur différents supports qui lui permet de coucher sur papier un monde original, spontané et poétique.
Diapositive précédente
Diapositive suivante
Passionnée par le domaine artistique, Danièle Bienfait a commencé par peindre puis a découvert la terre et toute la richesse et la beauté que l’on peut en tirer. «L’eau, la terre, le feu, trois éléments essentiels à la vie qui me fascinent.»
Son travail actuel est axé sur le couple, la famille, les amis et la féminité ; avec des finitions en Raku et son ultime épreuve du feu. Elle essaye à travers ses sculptures de transmettre un message ou une symbolique.
Formée à l’Ecole d’Art de Douai, elle anime un Atelier « Expression terre » et un Atelier « Enfants » à Templeuve en Pévèle, le partage étant pour elle très important.
Diapositive précédente
Diapositive suivante
Zacharie Bodson est né en mars 1998, ce street artist lillois détourne l’image de Jack Nicholson. Il l’iconise afin de parler politique, propagande et publicité. Il imprègne l’ensemble de son travail de références historiques acquises dans le cadre de ses études d’histoire de l’Art. Si le collage urbain constitue l’une de ses démarches artistiques, il travaille également avec différentes techniques alliant dessin, pochoir et collage sur divers supports. En dehors de Jack, il développe sa série Fake Beaux-Arts ou il interprète des œuvres afin de les moderniser. L’un de ses objectifs est de donner à voir, réfléchir, interpeller voire heurter le public. Face au flot ininterrompu d’actualités et d’images, tout ce qu’il produit est une catharsis.
Diapositive précédente
Diapositive suivante
Quentin Carnaille est né à Roubaix en 1984. Après avoir étudié l’architecture (diplômé en 2009 de l’Institut Supérieur d’Architecture de Tournai), il réalise ses premières pièces dans lesquelles il intègre de vieux mécanismes horlogers. Détournés de leur vocation première, ceux-ci deviennent les ornements de bijoux ou d’accessoires qui, par-delà leur aspect décoratif, posent déjà la question du temps et de la relativité de son passage, thème récurrent dans l’œuvre de l’artiste.
Diapositive précédente
Diapositive suivante
Après des études générales, Christophe Catelle s’est tourné vers l’ébénisterie. Formé à une certaine exigence de réalisation, au dessin et à une culture artistique, il conçoit et réalise des sculptures.
« Chacune est une histoire de la vie qui passe, tirée du fond des fibres, ou de traces de rouille. Souvent dans le rond, la sphère. » dit-il. Son travail est une recherche permanente de contraste. Par l’emploi de l’abstrait, toute la palette des émotions humaines est abordée. Une apparence détournée, patinée pour parler du cœur des choses et laisser de la place aux rêves.
Diapositive précédente
Diapositive suivante
Voilà des œuvres à tendance expressionniste qui plonge au plus profond de l’âme humaine, réalisée par ce jeune artiste. Il révèle une forte empathie, en particulier pour des êtres malmenés, parfois brisés par la vie.
Cette galerie de portraits retient l’attention, suscite l’émotion par sa vérité, son intensité et la dignité de chaque modèle.
Nathan Chantob trouve ses modèles au cours de ses pérégrinations dans la rue, au bar ou dans le métro ; ces personnages anonymes qui le touchent. « L’obscurité la plus sombre n’est jamais loin de la lumière la plus vive » dit-il et c’est cet espoir qu’il veut partager. Ces hommes et ces femmes semblent, pour certains, vouloir capter l’attention du spectateur, établir un dialogue, leur regard le révèle. Le dessin est à la base de cette œuvre puis vient la peinture qui affirme les traits, les creuse quelquefois.
Diapositive précédente
Diapositive suivante
Caroline Chopin travaille le grès cérame et sculpte des corps agités par la pulsion de leur vie intérieure avec un modelé vif et fragmenté où le geste a son importance. Elle aime s’emparer de l’échelle et jouer sur le déséquilibre et la distorsion créant dans un acte non contenu, une esthétique duelle, entre force et fragilité.
« Je cherche à interroger le spectateur sur sa propre part d’instinct et sur son propre corps en tant que centre de la perception et amener ainsi une réflexion sur la nature profonde et sauvage de l’homme, cette part animale, créatrice et forte que nous tendons à garder enfouie et qui pourtant nous relient les uns aux autres et à l’ensemble du monde. » dit-elle.
Diapositive précédente
Diapositive suivante
Sortie d’une école de commerce, elle intègre une enseigne nordiste de sport qui lui procure le goût du mouvement et du challenge. La conception des catalogues la plonge dans la photo, la mise en page des formes, des expressions, des couleurs.
Un long passage dans l’optique lui fait découvrir des milliers de regards, chacun avec son mystère troublant. Elle aime voyager et contempler, toujours avec ce désir irrépressible de captation d’images.
Diapositive précédente
Diapositive suivante
Travaillant sur les thématiques immuables du corps, de la quête de soi, du temps ainsi que de la poésie de la nature et de l’homme ma production actuelle se teint toutefois d’expérimentations photographiques et de moment de vie imprimés sur pellicule.
D’un regard qui se veut chaleureux et contemporain je tente de tisser un lien, comme un journal, une vision sensible de mon histoire particulière.
En effet atteint d’une maladie génétique rare qui a marqué mon corps mais surtout mon existence et ma sensibilité, je tente depuis quelques années de produire des images empruntes de cette singularité socialement appelé « handicap ».
Au moyen d’expérimentations photographiques et vidéos j’ai pour but de donner un sens nouveau à une défectuosité.
Comme pour marquer l’unicité de mon être, c’est avant tout dans le désir de capter la beauté au sein d’une imperfection. Cela s’impose comme une volonté de survie et de métamorphose.
Diapositive précédente
Diapositive suivante
Passionné par la photographie et l’histoire, Benjamin Clipet exploite chaque recoin de sa ville de cœur avec son appareil photo. Auteur de Lille Addict, sa mission est de vous pousser à vous interroger sur la capitale des Flandres, à admirer sa beauté mais aussi à en apprendre plus sur son histoire et tous ses secrets.
Diapositive précédente
Diapositive suivante
Olivier Coisne est un artiste sculpteur français. L’artiste s’inspire de la nature et des éléments qui la composent. Olivier est un artiste engagé : ses pièces uniques sont réalisées à la main et de manière ancestrale afin de réduire au maximum son empreinte carbone. Sa matière de prédilection sont les métaux, notamment le bronze.
Diapositive précédente
Diapositive suivante
Michel « Cren » Pietsch, né en avril 1970, a rencontré la culture hip-hop pour la première fois, au début des années 80, lorsqu’il a découvert les graffitis émergents le long de la voie ferrée.
Il a peint des murs avec ses lettrages dans plus de 14 pays et sur trois continents. Pour lui, le lettrage est un pilier central de la communication et un support d’information essentiel au quotidien. Au cours de ses 32 ans de carrière, il intègre les impressions de ses différents voyages et de l’échange avec de nombreux artistes dans le développement de ses compositions calligraphiques sur différents supports d’image.
L’intention de son travail est d’inciter l’observateur à examiner attentivement les lettres. Cren brise les règles communes de la typographie en décomposant le lettrage en lettres individuelles. Ensuite, il les modifie et les structure selon ses propres règles afin de les reconstruire dans un cumul esthétique des lettres individuelles en une nouvelle composition.
Diapositive précédente
Diapositive suivante
“Porter un autre regard sur la nature, la technologie, l’humanité. Questionner notre comportement et notre rapport au temps, à l’espace, à la vie. À la fois douce et menaçante, sa symphonie picturale se veut le témoin d’un monde en pleine mutation.” Porteur de sens, le propos de Caroline David s’inscrit dans la lignée des artistes humanistes et engagés. Son trait est précis et structuré. Les couleurs sont vives et chatoyantes. Une joyeuse mélancolie émane de ses tableaux. Dans cet univers empreint de vitalité et d’esthétisme, les portraits occupent une place importante, en particulier ceux des femmes. Des figures tantôt historiques, tantôt imaginaires qui se répandent, d’une toile à une autre.
Diapositive précédente
Diapositive suivante
“Danser sur la feuille…
Fusel et Pastain
Cartons, charbon, crayon…
Dessins comme pour de Rire
Dessins sur Piste
Le dessin : jouer avec les lignes, passer ENTRE les lignes…
Danser Entre les Lignes
Surfer Entre les Mines
Passer ENTRE. Passer OUTRE !”
Gilles Defacque est auteur, metteur en scène, mais aussi directeur du Prato, un théâtre de Lille spécialisé dans les arts du cirque. Depuis 1976, Gilles Defacque fait le clown. Au sens propre comme au figuré. Une casquette aux multiples facettes à laquelle il faut rajouter le dessin. Ses peintures n’ont rien à voir avec le figé, au contraire, elles insufflent le mouvement, la poésie et la candeur de l’enfance.
Diapositive précédente
Diapositive suivante
Du bout des doigts, elle façonne la terre pour en faire naître un bestiaire empreint de douceur et de poésie. Manchots, ours, chouettes, tous quittent leur animalité pour prendre des postures et des expressions très humaines. Les jeux de matières et les différentes cuissons leur donnent une élégance et une singularité inattendue. Un ours dansant, un oiseau sur le dos d’un hippopotame, une famille d’empereurs réunie – c’est un imaginaire plein de tendresse que Frédérique Delcourt nous partage
Diapositive précédente
Diapositive suivante
Le travail de Damien DEMAITER est un échange permanent et laborieux entre la matière qu’il utilise et son état d’être, ses émotions, ses vibrations. Continuellement en connexion avec ce qui l’entoure, il n’a de cesse d’explorer et d’expérimenter l’expression de son ressenti. Un bouillonnement de vie qui l’ouvre à des techniques variées, orchestrées, mises en mouvement, en graphisme. Des associations parfois frénétiques, parfois subtiles, des jeux de recouvrements et de découvertes, des transparences, des révélations, des samplings de motifs et de symboles, des rythmes, des entrelacs de contrastes, une poésie picturale.
Diapositive précédente
Diapositive suivante
Violaine Desportes commence sa vie d’étudiante en se penchant sur la littérature, jusqu’à l’obtention d’un master. Et puis l’enfance lui revient à la figure, elle qui pensait l’avoir oublié peut-être. Les gribouillages d’autrefois la poussent à arrêter dissertations, littérature comparée, à quitter les syntaxes grammaticales, figures de style et autres, pour tenir dans sa main fusains, crayons de bois, aquarelles. Violaine Desportes décide de passer le Capes en Arts Plastiques et l’obtient. Et puis l’Agrégation qu’elle obtient aussi. Aujourd’hui elle dessine. Et tente de faire dessiner. L’enfance qui cogne au dedans, Toujours. Elle est l’auteure de deux ouvrages illustrés aux éditions de l’Étrave ainsi que d’une série de cartes postales aux éditions Zazous.
Violaine Desportes expose la série « Autopsie » réalisée d’après des photographies de trousses. Chaque trousse est un portrait. Sa texture, son contenu, l’agencement des outils de l’élève livrent un portrait ouvert que le spectateur complète par ses propres souvenirs d’écolier.
Diapositive précédente
Diapositive suivante
Patrick Drut refait et reproduit en peinture, des images préexistantes, des photogrammes issus de films de famille ou de films éducatifs anciens. L’aspect presque pictural de ces images l’amène à ne pas chercher à en modifier ou styliser la reproduction. “Je suis tenté de me prendre pour une machine destinée à copier les images. Mais comme je ne suis pas une machine, et que tout est peint à main levée, sans projection ni mise au carreau, à partir de la seule perception de l’image imprimée sur une modeste feuille de papier A4, la reproduction est infidèle, inexacte, des incidents se produisent, et ils sont autant le fait de ma maladresse que des exigences de la matière et du support utilisé
Diapositive précédente
Diapositive suivante
Artiste peintre français, il se plaît à peindre la vie en mouvement. D’une chambre recouverte de graffitis aux tableaux contemporains visibles aux quatres coins du monde, il offre des oeuvres pleine de vie et de couleurs, toutes empreintes de sa signature: le “courbisme”
La genèse de l’art d’Amaury Dubois se situe au point de rencontre de ses années, à se nourrir des couleurs de la rue sur son skate la journée, et entre les pages des livres d’histoire de l’art, le soir.
Sa courbe crée ce lien visible, telle une ligne de vie entre la Figuration libre, l’Abstraction et le Street art, une manière de lier et explorer ses influences. Son style lui permet d’être libre de voyager l’histoire de l’art; de Hans Memling en passant par Jon One
Diapositive précédente
Diapositive suivante
“Avocat de formation depuis 2009, ma robe et le monde judiciaire m’ont appris à regarder les confrontations se jouer. Ces confrontations, par divers biais, peuvent aboutir à un équilibre, une harmonie et dans l’idéal à une acceptation. Mes dessins parlent de dualité, de parcours sinueux ou non, et de solution. Le noir se révèle grâce au blanc, comme la force se révèle face à la faiblesse ou la joie face à la tristesse. L’encre de chine, le fusain, le chunky graphite ou l’aquarelle assortis de collage de papier népalais composent essentiellement mes créations.”
Diapositive précédente
Diapositive suivante
Après un bac et des études supérieures dans les arts appliqués, David Garnier alias ELZAAR se passionne pour la réalisation audiovisuelle et décide d’en faire son métier. C’est en mixant différentes photos de ses repérages qu’il décide d’en faire des tableaux. Les fenêtres ainsi produites sont autant d’ouvertures oniriques sur le monde. La nuit venue, il enfile son tablier taché et avec ses pinceaux à la main, qu’il fabrique ses propres images.
De par des compositions au cadrage aiguisé et à la profondeur subtile, mélange de ses propres photos et compositing 3D comme base de travail, il cherche à mettre en scène le spectateur qui regarde ses toiles, en lui proposant des point de vue uniques. Ses grandes toiles invitent alors à une expérience douce presque envoutante.
Diapositive précédente
Diapositive suivante
Passionnée par l’art depuis toujours, les œuvres d’Astrid Fraccola sont toujours empreintes d’harmonies colorées car pour elle, la couleur c’est la vie. Elle peint en matières, ajoute des feuilles d’or et quelquefois avec des collages. “Créer c’est avant tout se faire plaisir et transmettre ses émotions. Que du bonheur !”
Diapositive précédente
Diapositive suivante
Sourire garanti avec l’artiste «Freaks the Fab» alias Fabrice pluvinage. sonnant comme une invitation à l’ouverture d’esprit, l’univers coloré, joyeux, décalé et faussement naïf de FreaKs tHe Fab va vous faire sourire à coup sûr et peut-être même, vous interpeller comme il aime le faire dans la rue.
reconnaissables au premier coup d’œil, les personnages issus de l’imagination débordante de l’artiste vous plonge sans détour dans le Freaky World, un univers coloré surfant avec légèreté et impertinence sur les temps forts de notre monde contemporain.
Diapositive précédente
Diapositive suivante
“Mes sources d’inspiration sont les végétaux telles les herbes et fleurs glanées le temps d’un été dans la campagne.
Elles sont séchées puis observées pour être agrandies, détaillées, cadrées. Par une représentation picturale, je leur donne une nouvelle dimension presque calligraphique.La technique utilisée est l’acrylique et les supports sont de vieux draps récupérés et assemblés tels un grand patchwork.
D’autre part, la présence de visages vient parfois intégrer cet univers végétal. C’est dans les cimetières que se poursuit l’inspiration, leurs statues figées ajoutent de l’ intemporalité et de l’immortalité au travail.”
Diapositive précédente
Diapositive suivante
Issu d’un Master gravure / images imprimé qu’il effectue à Liège, aujourd’hui résidents des ateliers l’Alternateur, Maxime Giaquinto développe sa pratique artistique à travers différents médiums.
Le travail de Maxime est centré sur le portrait, que ça soit de manière spontanée à l’aide de l’encre de chine, répétitif, avec le travail de gravure sur polystyrène ou en grand formats et très coloré avec la spray, l’humain est au cœur de son travail.
L’origine de ce travail centré sur la personne vient à la base des productions sur polystyrène. Attiré par cette matière, son aspect alvéolaire et organique rappelle un réseau neuronal. Maxime en a fait son outil d’expression autour du thème du deuil blanc.
L’intention est différente mais l’Homme reste au cœur de ses préoccupations, l’aspect ludique, de l’enfant à la personne âgée, chaque phase ayant son médium, la spray / l’encre de chine.
Diapositive précédente
Diapositive suivante
“Saisir un visage, saisir un mouvement, dénoncer une situation, une injustice, faire vibrer ou colorer un son, le donner à voir. Utiliser une technique, convoquer l’esthétique d’un corps en mouvement, le renvoyer en miroir au regard d’un passant. Utiliser l’art comme un artifice de rencontre , un dialogue ou le possible est avenir. Utiliser l’artifice du trait, le confort de la couleur, pour entamer la réflexion, le dialogue, la prise de conscience de soi, la prise de conscience de l’autre. Ma recherche artistique est au cœur de cette recherche et mes créations des bouteilles à la mer. Si à la fin, il ne restait rien de la technologie, je conserverais l’ocre du sud, l’encre de chine, le papier, la pierre, le roseau et la plume !” Ainsi est le cheminement d’artiste de Claudy Gielczynski
Diapositive précédente
Diapositive suivante
Par l’acrylique, qui va de paire avec avec la toile, GODEFROY crée un chaos mesuré. Un chaos qui prend forme par des fonds violents et envolants, représentant de sauvages vagues, d’un ciel sous la dynamique d’un vent défoulé, ou encore d’un univers infini, continuant sa route hors de la toile. Le mesuré, c’est ce désordre rangé ou enveloppé par des traits, tels des tissages ou encore la trace d’une araignée entourant de fil sa proie. Là intervient la signature suprême du peintre, c’est ce passage au ‘dentifrice’ qui vient donner une profondeur à l’œuvre. C’est ainsi qu’on lit la peinture en plusieurs couches, en décortiquant les éléments ou en les observant comme un ensemble. C’est parfois après seulement une longue observation que les rôles des éléments s’inversent, par cela, le fond transmet son énergie au lignes supérieures, qui deviennent traces déchaînées, tels des avions de chasse pulvérisant des missiles aux quatre coins de la toile. Par ailleurs, les peintures ont — malgré leur apparence énervée — la capacité à transmettre une quiétude qui prend forme par la lecture complète de l’œuvre. Quand une œuvre devient trop lourde, GODEFROY n’hésite pas a balayer le désordre, faisant place à une marque aérée qui vient harmoniser et équilibrer le travail.
Diapositive précédente
Diapositive suivante
Déchirer, Froisser, Compresser, Coller, Structurer. Le papier devient ainsi une matière compacte et graphique. Une matière de contenu provenant du passé, de notre Histoire. Notre Histoire devient jeux d’ombres et de lumières, jeux de formes et de reliefs, jeux de teintes et de nuances.
Diapositive précédente
Diapositive suivante
Franck Guihal joue les assembleurs pour détourner et ressusciter de vieilles pièces de métal usées et oubliées. Il récupère depuis une quinzaine d’années l’acier sous toutes ses formes, usinées ou broyées qui lui évoquent des parties du corps humain, des formes organiques essentiellement, dont l’origine n’est plus vraiment identifiable.
Qu’il exploite les pièces dans leur intégrité ou qu’il les triture, il s’amuse à les recomposer et à les souder pour en oublier leur identité première et pour n’en exploiter que leur esthétique et leur aspect brut.
Diapositive précédente
Diapositive suivante
Le travail photographique de Michel Hirsch est avant tout le fruit de passions. Passion du monde qui nous entoure en premier lieu, forgée par trente années à façonner son œil en tant qu’ingénieur en bâtiment et travaux publics au fil desquelles ses enjeux étaient de transformer l’espace, de le modeler, de créer, de construire. Passion de la photographie ensuite, art ultime pour capter et transmettre la beauté éphémère d’un moment, d’une lumière, d’une création de la nature ou de l’homme. Sa formation, à l’Ecole de l’Image des Gobelins à Paris sera la clé pour le développement d’un nouveau regard sur ce monde, point de départ d’une collection d’ œuvres uniques et singulières. Tantôt abstraites tantôt brutes, ses créations dévoilent notre quotidien sous de nouveaux équilibres offrant une représentation vibratoire, graphique et colorée de notre environnement.
Diapositive précédente
Diapositive suivante
‘Dans ses œuvres on trouve des supports en bois qui font rejaillir l’aspect satiné de la laque rouge ou jaune, des toiles de lin avec un travail en couches successives, ou des soies marouflées et recouvertes de couches de cire.
La délicatesse de l’encre de chine, le travail patient fait de nombreuses phases de préparation du support et d’application de la couleur, tout ce qui dans la peinture asiatique sert à rendre les émotions paisibles et les actions méditatives, se transforme dans les mains de Valérie en signe expressionniste, par le geste et l’ émotion.
La connaissance de l’iconographie classique italienne ainsi que la reformulation sensible de la mythologie confèrent aux protagonistes de ses œuvres une valeur figurative et morale.
Les œuvres de Valérie sont comme des pierres pavant la route de son existence, signalant les moments forts, exprimant des pensées qu’elle extrait de son intériorité. »
Lucia Collarile,Rome 2016.
Diapositive précédente
Diapositive suivante
Artiste street-pop, originaire du pas de calais ou il a commencé par le graffiti il vit maintenant à lille ou il a développé un travail sur toile, inspiré par les mangas de son enfance, ses œuvres sont désormais présentes en europe et aux États-Unis, il explore en parallèle une peinture plus abstraite sur de grands formats, porté par sa recherche permanente d’énergie
Diapositive précédente
Diapositive suivante
« Raconter des histoires avec les mains »
Pendant longtemps j’ai écrit pour le spectacle et pour l’événementiel tout en me livrant, en parallèle, à la peinture abstraite. Puis, j’ai décidé de me consacrer à l’écriture biographique pour me mettre à l’écoute d’autres émotions. Dans les mots des autres, j’ai puisé l’inspiration… Un jour, j’ai touché l’évidence, en pénétrant le travail bouleversant de Camille Claudel : raconter des histoires avec les mains. Depuis, ce moyen d’expression se conjugue avec ma sensibilité. Mes sculptures dévoilent des « êtres » aux apparences interpellantes prêtant l’oreille sur le monde ou s’évadant dans les étoiles.
Diapositive précédente
Diapositive suivante
A mon sens et à l’heure actuelle, l’espace publique a besoin d’une création artistique accessible au plus grand nombre. A la fois élitiste et populaire, l’art urbain est un moyen de rassembler, de fédérer autour de la création contemporaine.
Marqué par la pratique du graffiti, mon travail reprend certains mécanismes liés à cette discipline. Pour ce qui est de la technique, mon travail se situe à la frontière entre le graffiti et le pochoir. Je travaille mes projets en amont par rapport aux lieux et j’utilise l’outil informatique afin de créer mes images.
En général, mes peintures se composent d’un fond graphique à base de formes simples et colorées. Néanmoins, le noir, le gris et le blanc restent pour moi les valeurs privilégiées. J’utilise alors le pochoir afin de créer des compositions de logos qui viennent rythmer l’ensemble de la peinture.
Diapositive précédente
Diapositive suivante
Né en 1987, Julien GAQUERE dit Jigé est un artiste peintre haut en couleur résident aux ateliers Jouret à Roubaix.
Son univers est coloré et joyeux à mi-chemin entre « doodle » et figuration libre.
L’écriture automatique, autrement appelée « doodle », est pour lui une manière de s’exprimer sans réfléchir au sens.
On observera deux styles, le style coloré, chargé, jubilatoire, le plus connu et le plus facilement reconnaissable. Mais parfois apparaissent des toiles en négatif, un dessin très chargé apparaît alors.
Diapositive précédente
Diapositive suivante
Élève de l’école des Beaux-Arts, la vraie, celle de la place du Concert, puis de
l’école St Luc de Tournai, il travailla dans la publicité.
Longtemps intéressé par l’art abstrait, il s’en est éloigné, en considérant qu’il en avait fait très très largement le tour. Nourri aux mamelles de Hara Kiri et de Charlie, il s’amuse à adapter ses propres dessins à la peinture. Depuis, il s’esclaffe devant ses bonshommes grotesques, plus c’est gros, plus ça le fait rire, plus ils sont moches, plus il retrouve l’humanité qui nous étouffe.
Qu’ils plaisent tant mieux, qu’il irritent tant pis, et c’est pas fini ! “C’est pas à mon âge que je vais me prendre la tête” est sa nouvelle devise.
Diapositive précédente
Diapositive suivante
La peinture de Philippe JOVENET se situe entre figuration libre et street art ; Liberté, énergie et optimisme la caractérisent. Le peintre nous fait voyager dans son univers coloré. Probablement influencé par la grisaille du Nord, sa région, il égaye notre quotidien en y apportant beaucoup de couleur. A la recherche de liberté et de vérité, il évolue sans cesse, se réinvente, en faisant souvent appel à son meilleur ami : le hasard…Plein d’optimisme, sa seule ambition est de transmettre de l’énergie aux autres au travers une œuvre très colorée.
Diapositive précédente
Diapositive suivante
Artiste autodidacte, Audrey Keller s’est naturellement tournée vers la gravure il y a près de 15 ans lorsque l’odeur des encres lui rappelle l’atelier d’architecture de son père. Après des essais sur bois et lino, elle décide d’adopter la technique de la pointe sèche lui permettant des traits plus fins et plus de détails dans ses compositions. Toujours en évolution, ses œuvres se nourrissent des rencontres qu’elle fait au gré des expositions et des salons comme la rencontre avec Benjamin Bassimon ou Yann Legrand. Ses inspirations sont les végétaux, le cellulaire, l’organique.
Diapositive précédente
Diapositive suivante
C’est dans une cave lilloise que naît et se développe le travail de Kelu abstract.
Ses visages trouvent support sur des affiches dans la rue, sur les encombrants au fil des rencontres mais aussi sur toile et papier.
Kelu abstract ne dicte pas de message et laisse l’interprétation libre de ses regards réciproques.
Diapositive précédente
Diapositive suivante
Que ce soit dans le minéral, l’organique ou la particule, tout ce qui a trait au vivant et à la matière m’intéresse et me questionne.
Tout ceci transparaît évidemment dans mon travail où j’ai longtemps cherché à retrouver les processus du développement du vivant en prenant en compte le temps indissociable à la création de formes.
Pour cela la gravure a toute ma considération car elle allie la chimie au dessin et la multiplication aux variations.
Yann Legrand est professeur de gravure au Palais des Beaux-Arts de Lille et professeur de modèle vivant à l’école Pole IIID à Roubaix.
Diapositive précédente
Diapositive suivante
Auteur-dessinateur, Frédéric Logez se consacre depuis quelques années au projet « Portraits debout ».
Réalisés sur papier, planches originales surdimensionnées, les Portraits debout associent le support affiche, le langage de la bande dessinée et le genre pictural portrait. Ils mettent en scène des personnages réels des temps présents représentés grandeur nature accompagnés d’une biographie mise en cases. Nourrie de lectures, de rencontres, déambulations, du quartier au territoire… le Portrait debout explore la mémoire familiale, populaire, historique… Il dresse de modestes histoires face à la Grande.
Diapositive précédente
Diapositive suivante
Artiste de la récup’, troquant le traditionnel pinceau contre un tournevis, Fabrice fait revivre la matière morte avec sa matière grise, détournant l’utilité des objets, leur donnant une nouvelle vie. Pour porter un regard neuf sur ce que les bric-à-brac et la nature nous offrent, il faut maintenir une certaine sensibilité vis-à-vis du panorama de récupération d’objets.
Fabrice Maes nous invite ainsi sur les voies de l’imaginaire et de la création au travers d’un univers chimérique, fictif et bien construit : du Métal au Bois, de la Science-Fiction à l’Heroïc Fantasy, de l’Horreur à la Comédie, les différents styles et supports viennent se corréler au message et aux valeurs que l’artiste fait véhiculer.
Diapositive précédente
Diapositive suivante
Peintre-graveur depuis 30 ans, je vis et travaille à St-André-lez-Lille.
Après avoir étudié la gravure à l’Union des arts décoratifs de Paris avec pour professeur J.C. Reynal, je poursuis ma formation au CEGRA de Caracas (Centre d’enseignement graphique spécialisé dans la formation technique et artistique de l’estampe) au Venezuela. De retour en France je mène de front la peinture, la gravure ainsi que le graphisme.
J’expose régulièrement dans des salons, biennales et galeries en France et en Europe.
J’ai toujours travaillé la gravure, aujourd’hui je fais essentiellement des monotypes, les outils de la taille-douce me sont nécessaires pour développer mon art. Parallèlement je développe un travail en peinture sur toile ou sur de l’intissé.
Diapositive précédente
Diapositive suivante
Artiste né à Lille en 1984, qui vit et travaille entre Paris et Lille, Thomas MAINARDI est un peintre à l’univers effervescent et singulier.
Reconnu pour ses œuvres à travers le monde, son parcours est ponctué d’expositions internationales (Paris, New York, Beinjing, Shanghai, Dublin, Graz, Tel Aviv, Casablanca, …).
Alliant le meilleur de la culture populaire à une sensibilité saillante toute personnelle, il déploie un florilège foisonnant et unique de couleurs et de sentiments. Il peint sa poésie, emprunte d’expressionnisme abstrait, de street-art et de pop art, qui l’inscrivent définitivement comme un artiste résolument urbain, en phase avec lui-même et au cœur de son époque.
Diapositive précédente
Diapositive suivante
Marika baigne depuis toujours dans un univers artistique. Élève des Beaux-arts de Boulogne, elle a surtout travaillé dans l’atelier de son père, apprenant grâce à lui la perspective dès 8 ans. Influencée par des artistes hauts en couleurs et en poésie, elle est l’auteure des Rafistolés, ces personnages réparés de bric et de broc. Avec eux, elle prend un plaisir fou à réveiller vos émotions par le biais de peintures, sculptures ou fresques immenses qui transmettent une joie de vivre indéniable.
Diapositive précédente
Diapositive suivante
Artiste régional reconnu, Vincent Maronnier est fidèle à SOLID’ART
Son travail est une symphonie sur la couleur, le rythme, le mouvement, sa peinture est un message à l’amour, à la sensualité, à l’expression. Elle exprime toujours une ambiance positive, apaisante ou rythmée par la vie, « Sa peinture rend « heureux ». Il développe son art en travaillant par thème ; le sujet se renouvelle. Il aime travailler l’expression corporelle, ses nus enchantent le regard et ses toiles se révèlent dans un joyeux balai de formes, graphisme, lignes.
Diapositive précédente
Diapositive suivante
Martin Loume alias Jean-Louis Brochen est affichiste lacérateur et depuis 20 ans au gré de ses voyages il arrache les affiches, « la peau des murs » qu’il croise sur son chemin. Le travail de Martin Loume est à la fois artistique, poétique et politique, de part le choix de l’affiche car son œil peut s’arrêter sur chaque détail : l’épaisseur, la taille, le graphisme, parfois le sujet, mais surtout la picturalité, car pour lui « l’affiche est ma peinture ». Le temps est également au cœur de son activité, il est capturé par les différentes affiches représentées, celles-ci capturent un espace-temps précis, un événement passé ou futur, une sorte d’ethnologie urbaine. Elles sont un marqueur social de notre environnement et l’artiste saisi cet instant pour en faire une œuvre, un souvenir de cette époque.
Diapositive précédente
Diapositive suivante
A travers le filtre arc-en-ciel de ses pensées, Middy SEBOLAVY utilise la photographie plasticienne pour dresser les portraits de personnages hauts en couleur dont l’apparence pittoresque est bien souvent le reflet d’une âme néanmoins concernée.
Amoureuse des mots comme de la vie, son travail s’inscrit dans une démarche onirique et fictionnelle.
Elle plonge le spectateur dans un univers à la fois loufoque et poétique, dans lequel origami, paillettes, confettis et autres fanfreluches font la part belle aux sujets sensibles.
Diapositive précédente
Diapositive suivante
La pratique singulière et engagée de MIMI the ClowN s’inscrit dans une démarche sociologique, anthropologique et sociale. L’hypocrisie et la démagogie des classes politiques, l’ignorance de la misère, le cynisme des dirigeants, les religions, l’absurdité d’un monde qui défait au lieu de construire, mais aussi la création et les énergies positives qui en sont le fruit et qui s’y opposent, les arts, la musique, toutes ces thématiques sont traitées par l’artiste comme autant de points névralgiques définissant l’échec en marche d’un monde face auquel il faut rester debout, continuer de penser, apprendre à réagir.
Face à cette « tristitude » ambiante comme la définit l’artiste, MIMI the ClowN brandit le « graffiti spectaculaire », pratique mêlant humour, univers du cirque et engagement social et dont il est le dépositaire. Ses pochoirs incisifs et provocateurs tapissent les murs de nos rues. Entre messages politiques et visions apocalyptiques, l’artiste se livre à une critique acerbe de la société de consommation et du spectacle.
Diapositive précédente
Diapositive suivante
Mister P, street artiste passionné par le mouvement où il évolue depuis 2008 et par les multiples techniques qu’il propose, est originaire de la région lilloise. Entre détournements publicitaires, peintures et collages, il reproduit ses multiples personnages dont le plus connu est le visage du général de Gaulle. Le képi devient son meilleur support pour laisser place à la création et au message d’ironie qu’il aime utiliser. Il fait traverser le temps à cette figure emblématique et historique, confrontée à la publicité et à la société de consommation.
Diapositive précédente
Diapositive suivante
L’autre, c’est lui. Collages ou pochoirs, ce visage que Mr VOuL affiche haut et fort dans la rue, c’est d’abord le sien : graphique et stylisé, coiffé d’un haut-de-forme caractéristique, son regard détaché toise le passant. Un visage singulier qu’il décline, triture, explore dans ses infinies variations, et promène d’un medium à l’autre, au gré de ses expérimentations. Car si le sujet favori de Mr VOuL n’est autre que lui-même, ce narcissisme ne connaît pas la monotonie : du contexte urbain au travail d’atelier, sa pratique intensive de l’autoportrait varie les supports et combine les procédés (peinture, print, techniques mixtes…) en un constant renouvellement du genre.
Diapositive précédente
Diapositive suivante
Passionné par l’art et le voyage, Nablezon est un vidéaste et photographe lillois amoureux de paysages et de cultures. Après ses études, il a parcouru le monde pour apprendre et exercer sa passion. Aujourd’hui de retour à Lille, c’est à travers ses clichés, vidéos et courts métrages émotionnels qu’il vous raconte et vous fait découvrir de belles histoires d’artistes, de destinations et de lieux insolites de la région.
Diapositive précédente
Diapositive suivante
Nicolas Boulogne alias {nikonografik} vit et travaille à Roubaix.
Graphiste de formation, il se confronte très tôt à différentes techniques artistiques.
De la peinture à la gravure, de la sérigraphie au collage dans la rue, tous les supports sont prétextes à l’exploration graphique…
Influencé par les arts premiers, l’art brut, la figuration libre et le graffiti, sa palette est vive, lumineuse, contrastée et énergique. Son approche tient de l’intuition, du spontané.
Le trait est parfois impulsif, parfois maîtrisé.
L’artiste se joue des proportions pour mieux apprécier la différence à l’autre et tente à sa manière de déjouer le conformisme ambiant.
Diapositive précédente
Diapositive suivante
Ma démarche artistique est guidée par une quête de l’émergence, du jaillissement, de l’éclosion. La matière me fascine, tout est dans tout, les échelles se confondent, il y a du macro dans le micro et du micro dans le macro, j’aime ce chaos organisé. J’avance beaucoup en tâtonnant, en explorant. Je suis aux aguets. Je cherche la surprise. ll y a en moi une vie cachée, je quitte le monde de la sécurité pour m’aventurer dans l’inconnu. C’est un monde à découvrir. Je suis à la recherche de ma propre complexité, de ma puissance de vie intérieure, c’est cela qui anime mon voyage artistique.
Je peins à l’aquarelle, pour sa transparence, ainsi qu’à l’encre de chine noire, pour son intensité de contraste. Les techniques mixtes sont des collages réalisés à partir d’œuvres précédentes que je déchire.
Diapositive précédente
Diapositive suivante
Originaire d’Arras, peintre avant de devenir sculpteur, j’expose dans la région depuis plus de 30 ans.
Mes premières réalisations sont des stèles et des ex-voto, puis des personnages boules ou filiformes d’inspiration ethnique ; semblant errer hors du temps dans un voyage imaginaire. Dans l’esprit des arts premiers, j’utilise des matériaux simples tels le mortier, le papier, le tissu, la fibre, la colle, le fer, le bois, et tout récemment la résine. C’est par la patine, en utilisant des pigments, que je donne toute la dimension, la contenance à mes sculptures en transformant ces matériaux pauvres en matière noble.
Chaque réalisation est une œuvre unique.
Diapositive précédente
Diapositive suivante
Pola 4.0 est une artiste Lilloise autodidacte. Son pseudonyme Pola 4.0 est un clin d’œil au fameux format Polaroïd, qui a marqué son enfance, mais porte également une signification plus personnelle qu’elle aime garder secrète…
Pola 4.0 voit sa démarche artistique comme la mise en images de ce qu’elle nomme son « labyrinthe émotionnel ». Ses sujets éclectiques, que parfois même tout oppose, reflètent en réalité ses insatiables questionnements sur l’existence. La femme, sa place dans la société, ses combats, restant un de ses sujets favoris.
L’image de la femme, sa place dans la société, ainsi que ses combats sont des sujets majeurs dans son travail. Par ses inspirations multiples, Pola 4.0 a développé ses techniques singulières puisées dans l’alliance heureuse des médias graphiques, du traitement de l’image et des techniques mixtes. Si ses créations privilégient un usage approprié d’un support d’aluminium ou de plexiglass, voire de bois, elle refuse cependant d’être enfermée dans une catégorie artistique particulière, ou de s’imposer des limites quant à la forme de son expression.
Diapositive précédente
Diapositive suivante
L’éphémère en image
Être de passage en milieu urbain, une métaphore de notre humanité… Un lieu d’émotions qui me saisissent, que je transpose et partage ici dans une double approche. L’une d’instantanés photographiques revisités : impressions fugitives de voyage, points de vue multiples où reflets, lumières, couleurs chamboulent le regard. L’autre d’aquarelles : Un mode que je privilégie pour les transparences, la fluidité et les rencontres de hasard qui s’y jouent.
Diapositive précédente
Diapositive suivante
Depuis le premier contact avec la porcelaine, il était clair qu’elle serait ma partenaire pour donner vie à mon imaginaire.
La porcelaine a une réputation de fragilité. Elle est pourtant la plus solide, la plus résistante des terres. Elle est aussi la plus caractérielle, la moins docile.
La sculpter est un défi et une source de surprises inépuisable car il faut compter avec son bon vouloir ou son esprit de contrariété.
On attend l’inattendu et pourtant, lorsqu’il se produit, on en reste émerveillé, heureux que la porcelaine ait une nouvelle fois réussi à nous surprendre.
Diapositive précédente
Diapositive suivante
Alexandre modèle ses sculptures à la manière des premiers hommes et y imprègne une charge spirituelle personnelle comme des amulettes sorties d’une mythologie fictive. Il est fasciné par les monstres depuis toujours, ceux-ci prenant vie sous ses doigts sous l’apparence de divinités hybrides. Ils lui permettent alors de laisser libre cours à son imagination, sans lui imposer de limites. Habitées par des esprits facétieux, ses céramiques sont modelées en grès noir, colorées avec des engobes et ornées de motifs comme des tatouages sur une peau vierge.
Diapositive précédente
Diapositive suivante
Sculpteur depuis plus de 20 ans, Anne Requillart se passionne pour les nouvelles techniques mixtes.
Sans relâche dans son atelier, elle expérimente de nouvelles combinaisons de matières qui lui permettent d’exprimer son art en toute sensibilité et en mouvements purs.
Après avoir longuement travaillé sur ses « terres ethniques » elle veut nous dire son amour pour tous les peuples : papier, terre, raku, plâtre, résine, verre, bronze…
Toutes les matières et les couleurs du monde s’invitent sous ses doigts.
Passionnée de voyage, Anne aime la magie des rencontres, de l’humain.
Son travail rend hommage à la beauté des personnes, à leur diversité et à leurs traditions.
Ces bustes ont une histoire, elle essaye de les rendre vivants, de faire vivre leurs Âmes. Elle invite à réfléchir sur la diversité humaine et culturelle.
Diapositive précédente
Diapositive suivante
Océane Marescotti aka RESCO développe son travail et sa recherche autour des notions de forme et de contre forme, d’espace, de couleurs, de cadre, de maitrise gestuelle à travers sa trame, graphique, intuitive, instinctive.
Designer graphique passionnée par les motifs, elle choisit en 2018 de se consacrer exclusivement à la création artistique. En quelques années elle participe aux principaux évènement locaux liés aux arts urbains et aux pratiques artistiques globales… Parallèlement à son travail en atelier, l’énergie Roubaisienne accentue son gout pour la peinture en extérieur : elle interroge l’espace urbain pour intervenir de manière décalée et pertinente. Elle peint également en milieu rural, ses origines et ses racines, où elle a plaisir à intégrer ses œuvres aux espaces publics, créer du débat et du lien avec ses concitoyens peu en contact avec ce type de pratiques artistiques.
instagram.com/oceane.marescotti
Diapositive précédente
Diapositive suivante
Autodidacte, il devient assistant et apprend les rudiments du métier.
Ses motivations le poussent à élargir son champ d’horizon, il part alors pour le studio Pin-Up, où il assiste les plus grands noms du moment, comme Oliviero Toscani, Jean Paul Goude, Peter Lindberg…
Il gagnera ses galons de photographe professionnel rapidement. Sa sensibilité et sa maturité photographique lui ont permis de découvrir un nouvel univers, L’Enfance. Domaine dans lequel il su s’imposer comme l’un des grands spécialistes de la Mode.
Les plus grandes marques de haute couture, la publicité et la presse font appel à lui. L’idée de photographier des enfants , par le biais du portrait, résonne en lui comme une finalité logique.
En 2011, la dimension professionnelle ne semble plus lui suffire. Une démarche plus personnelle lui semble alors nécessaire. La naïveté de l’enfant lui permet d’exprimer des émotions vierges de tout préjugé. Il a ainsi mené à maturité plusieurs séries de portraits, chaque série joue sur un registre très différent, le point commun étant une recherche de sens et de symbole réellement mise en scène. Une véritable composition dont la perfection du détail, de lumière, du jeu de couleurs, confère à ses photographies, qui dépassent de loin la simple idée de portrait, le statut de tableau.
Diapositive précédente
Diapositive suivante
Médecin malgré moi à Lille/moulin, en retraite depuis 2020, faire médecine pour apprivoiser la mort, je pense que la médecine est un art ET une science.
Je suis un homme du ET, et non du OU comme la pensée judéo-chrétienne les construit. Je suis le bien ET le mal, masculin ET féminin, singulier ET pluriel, déconstructeur ET constructeur, résolument révolutionnaire ET inlassablement conservateur, médecin ET peintre.
Faire de la peinture pour apprivoiser la vie, peintre depuis l’âge de 14 ans, passé par les annexes des beaux-arts de Lille, Fives puis Wazemmes, Valembois puis Morcrette comme professeur.
Abstrait ET figuratif, manuel a l’œil photographique, intellectuel hyperactif, artisan comme pépé.
Diapositive précédente
Diapositive suivante
Je travaille le grés depuis 1994. Installé en 2000 sur la commune de Chambéry et depuis début 2019 sur la commune de Warneton dans le Nord et en 2020, une installation à la Ferme des Tournesols à Quesnoy-Sur-Deûle.
Les pièces sont tournées, déformées, décorées avec des argiles naturelles prélevées dans la nature. La pièce est émaillée avec un émail spécialement élaboré, avec essentiellement de l’oxyde de fer, ce qui lui donne sa couleur et une compatibilité alimentaire. Cela permet de respecter l’environnement. Chaque pièce est cuite au gaz à haute température.
Les pièces naissent d’observations jetées préalablement sur des croquis.
Chaque pièce est compatible avec l’usage du lave-vaisselle et du micro-onde et respecte les normes alimentaires.
instagram.com/les_ceramiques_de_fox
Diapositive précédente
Diapositive suivante
Artiste plasticien redonnant vie aux matériaux pour révéler, au fil de sa démarche artistique, des paysages et scènes de vie à base d’objets de récupération.
Architecte de formation et doté d’une expérience de scénographe d’exposition, Joël SADAUNE s’exprime au travers d’œuvres en mettant en scène des espaces semi abstraits, emprunts de références de notre quotidien, comme les réseaux urbains, les friches industrielles.
L’univers « industriel » est une source d’inspiration qui le pousse à imaginer et concevoir des embarcations, des cargos, des docks, des containers … à partir de matériel de récupération.
De la peinture à la sculpture, Joël SADAUNE crée des univers à l’ambiance industrielle, sur fond de décors riches de détails : marquage, symboles, messages, traces … il aime user du vocabulaire lié au packaging.
Diapositive précédente
Diapositive suivante
Je suis née en 1983 en Bulgarie. À l’âge de 19 ans j’ai choisi de partir en France dans le cadre de mes études artistiques.
J’ai découvert le verre à l’École Supérieure d’Arts Plastiques de la Région Hauts-de-France. Après l’obtention d’un diplôme d’Arts Plastiques, j’ai poursuivi mes études à L’École des Métiers d’art d’Arras, section Vitrail.
J’ai ouvert mon atelier près de Lille en 2009. Depuis, je crée des tableaux et des sculptures en pâte de verre, ainsi que des vitraux contemporains sur commande.
Le verre, cette matière jamais acquise, indisciplinée et délicate est ma passion et mon moyen d’expression artistique.
Je pense le verre comme un domaine de recherches. J’aime expérimenter et explorer les possibilités de la matière.
J’habite un territoire agricole. Je suis entourée de vieilles fermes et bâtiments en ruines. Cet environnement m’inspire
Diapositive précédente
Diapositive suivante
Dans ses mains l’inox poli miroir devient étoffe.
Les plis naturels et émotions naissent de feuilles travaillées à la limite de la déchirure, violent combat livré exclusivement à froid avec la matière.
Il en ressort des pièces uniques, aux finitions d’orfèvre. Des sculptures poétiques, aux multiples lectures, sublimées par les reflets vivants qu’elles entretiennent avec la lumière.
Ses œuvres conceptuelles ont déjà conquis plusieurs salons et galeries, comme Paris sur la très prisée Place des Vosges, Marseille, Bruxelles ou Knokke Heist, référence belge en matière d’art contemporain.
instagram.com/thor_ez_jc_sculpture
Diapositive précédente
Diapositive suivante
Architecte de formation, Grégory Valentin, est un amoureux des livres, des lignes et de l’Art. Il intègre dans ses tableaux l’intégrale d’œuvres littéraires en jouant avec les espaces, les polices, les lettres pour en restituer une émotion intense et une esthétique parfaite. Grégory Valentin présente un minutieux travail de composition où il va discipliner, contenir et mettre en forme des textes pour recréer l’intégralité d’un livre sous forme artistique. La finalité de son travail présente à la fois une œuvre abstraite reposante et esthétique tout en donnant vie aux œuvres littéraires desquels il s’inspire.
Diapositive précédente
Diapositive suivante
Les technologies de nos jours évoluent et changent nos comportements, notamment depuis l’émergence des réseaux sociaux. Plutôt que de juger les transformations qui en découlent et de moraliser les utilisateurs, mon travail tend à représenter l’esthétique qui en résulte.
Ma démarche est simple. Elle consiste à partir d’une photographie d’un modèle prise sur les réseaux sociaux, à la dessiner sur papier en réduisant les formes, en supprimant les visages pour en souligner les courbes à la façon d’images publicitaires. Ensuite, traiter le dessin par ordinateur – en laissant visibles les défauts du numérique – et enfin le peindre / sérigraphier pour qu’il subisse un ultime traitement humain, artisanal.
Diapositive précédente
Diapositive suivante
L’esthétisme d’une pose ne m’intéresse pas, je souhaite surtout montrer ce qui se passe en l’autre, au moment où je saisis cet état qui m’inspire.
Sculpteur(e) engagée, partage et transmission
J’anime des ateliers d’initiation à la sculpture autour de thématiques, avec et pour un public divers comme par exemple des adultes “réfugiés” ou encore des personnes handicapées. C’est à chaque fois une rencontre, qui permet de construire, d’être créateur, c’est un temps d’échange autre, chacun repart nourri de la rencontre avec la terre et de la relation qui s’est tissée entre nous tous.
Diapositive précédente
Diapositive suivante
Mon travail est essentiellement graphique du dessin à la sculpture.
J’exprime par la force du trait l’environnement qui nous entoure et que nous ressentons, mais que nous ne voyons pas toujours. Lignes, courbes, angles…créent des rencontres, des unions, des tensions omniprésentes qui donnent à voir les paysages de notre quotidien, qui donnent à voir la vie. Sorte d’écriture graphique prenant forme au gré de mon inspiration.
Bien sûr, l’environnement urbain est mon terrain de prédilection, mon terrain de je(u).
Nouveau virage en 2018, l’envie de reconsidérer tout le travail réalisé depuis près de 2 décennies et de me mettre en risque afin de découvrir de nouveaux horizons, c’est pour moi un retour aux sources du dessin et de l’illustration.
Depuis, ma quête se poursuit : » Rechercher, expérimenter, douter, étonner, m’étonner, surprendre, me surprendre ce sont autant d’actions et de ressenti qui animent encore et toujours ma démarche « .
Diapositive précédente
Diapositive suivante
Symbole du rêve et de l’inaccessible, c’est le nuage qui impose son rythme lancinant à l’esprit créatif de cet artiste rêveur. Comme posé dans le ciel comme un poème sous la plume de l’artiste, c’est tout un jeu de symboliques et de formes qui apparaissent dans l’œuvre de Varoc. Des nuages aux multiples formes semblent nous indiquer une direction, c’est la ligne de la vie fragile qui rejoint l’œuvre à l’artiste.
De l’autre côté de cette corde se situent des rues et des édifices bien ancrés dans le sol comme les fondations de nos âmes… C’est sur ces murs que se développe aussi la créativité de l’artiste. Entre fantasme et idéologie, pour le regard de celui ou celle qui saura s’y plonger.
Diapositive précédente
Diapositive suivante
Espace, déploiement de figures – humaines, animales –, de sentiments, de songes sensibles. Glissements d’ombre et de lumière sur la matière presque brute, à peine travaillée, ou comme plus longuement palpée, ciselée, caressée… En quête de traduction sur le vif de la force du mouvement, l’arc des tendons et la pression des muscles… Ou rêveries de la sensualité du corps, la chair frémissante, ou lascive, qui affleure, la fine ligne de la peau, le poids arrondi d’un sein, la courbe d’une fesse, des doigts étirés avides de toucher quoi… espace d’extase réservé derrière les yeux clos…Quête d’un mouvement vital, quête d’équilibre – incarnation et apesanteur, loi de la gravité et tentation de la légèreté… Quête du souffle, de la densité de la chair, de la sensualité de la chair… sur les rives du songe… Ce sont quelques caractéristiques du travail de Saúl Velázquez de Castro.
Diapositive précédente
Diapositive suivante
Entre art abstrait et figuratif, douceur et beauté brut, les toiles de la peintre Isabelle Venet transcendent les frontières géographiques, spirituelles, culturelles, temporelles, identitaires et artistiques. Ses œuvres matiéristes et spontanées, aux multiples collages et graphies, sont soutenues par des techniques élaborées et une démarche plastique entre le construire et le déconstruire.
Diapositive précédente
Diapositive suivante
Du graffiti au street art, Vyrüs s’impose sur les murs de Calais
Nicolas Flahaut, alias Vyrüs, c’est l’histoire fantastique d’un amateur qui explose un jour en tant qu’artiste grâce à une réalisation….
Il a commencé par des Tags pour arriver à des fresques gigantesques souvent à partir de photos réelles. Aujourd’hui il fait aussi des collages et transmet sa passion du dessin aux jeunes. VYRÜS c’est l’histoire d’un graff qui s’impose comme une oeuvre et qui transforme la vie de celui qui se nomme, à la ville, Nicolas Flahaut. Un peu comme ce que le tube est au musicien.
Aujourd’hui, les créations de Vyrüs sont à découvrir sur un grand nombre de murs mais aussi lors d’expositions puisque, régulièrement, il présente son travail sur toile et dans des formats plus petits mais ses réalisations naissent toujours de bombes de peinture…
instagram.com/vyrus_art_graffiti
Diapositive précédente
Diapositive suivante
En tant que plasticienne, musicienne (sous le nom de « By-K ») et créatrice sonore, je suis fortement investie dans les questions liées au patrimoine, à la mémoire et à ses traces.
Mon rapport à l’espace, aux marques que nous y laissons, à la façon dont nous l’occupons, à ce que nous allons transmettre aux générations à venir, a toujours été au centre de mes interrogations et de ma démarche artistique.
Mon travail, depuis son origine jusqu’à aujourd’hui, découle de ce questionnement : c’est un travail intimement lié à la mémoire des lieux, des hommes et de leurs activités. J’interroge l’homme dans son espace, en lui empruntant des petits bouts de son histoire.