Catalogue 2025
(en construction)
Solid'art MONTPELLIER
19/20/21 SEPTEMBRE 2025
ZéNITH SUD
Vendredi 14h – 22h
Samedi 11h – 20h
Dimanche 10h – 19h
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Entrée Gratuite

Vendredi 14h – 22h
Samedi 11h – 20h
Dimanche 10h – 19h
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Entrée Gratuite
Après avoir eu le privilège de compter parmi ses parrains des artistes tels qu’Hervé Di Rosa, Mist, M. Chat, Nasty, Franck Noto et JonOne, c’est le street artiste montpellierain Maye, qui parraine l’édition 2025 de Solid’Art.
Maye, jeune prodige montpelliérain, a débuté par le graffiti avant de s’exprimer sur toiles. Il s’est fait remarquer lors de festivals street art à Toulouse et à Sète, où il a peint une fresque en hommage à Georges Brassens. Autodidacte, il propose des œuvres détaillées, jouant sur les nuances et la lumière. Son univers futuriste mêle nature et vestiges d’un monde en ruine, peuplé de personnages longilignes et flottants. À travers ses peintures, il alerte sur les dangers du réchauffement climatique. Chaque détail de son travail est une clé pour comprendre son message engagé..
« Le monde imaginaire que je dépeins est celui de 2080, si nous ne prenons pas conscience des enjeux climatiques et sociaux. C’est pourquoi il est crucial d’intervenir dès maintenant auprès de la jeunesse et de soutenir des associations comme le Secours populaire ! »
Depuis plus de 40 ans, Anagraphis est soucieuse de partager ses productions artistiques avec le public.
Les maitres sérigraphes seront présents sur le salon pour initier petits et grands à cette technique millénaire.
l’artiste ccsJPG développe une forme d’art participatif destiné à sensibiliser et à questionner le plus grand nombre sur les enjeux environnementaux.
Le public sera invité à participer à la réalisation de l’uniQUBE, structure cubique monumentale spécialement installé pour Solid’Art
Skunkdog, de son vrai nom David Negri, est un peintre marqué par la liberté d’expression, la musique et la culture de rue. Influencé par le mouvement punk et des figures comme Patti Smith, dont il tire son nom d’artiste, il a forgé un style singulier mêlant rébellion et expérimentation. Ses œuvres, imprégnées d’énergie brute, exploitent divers matériaux comme la terre, le café et la résine pour créer des textures évoquant des murs tagués. Son travail ne cherche pas à représenter la réalité mais à retranscrire des émotions, des souvenirs et des mythes collectifs à travers des couleurs vives et une symbolique forte.
Artiste peintre animalière contemporaine. Ses portraits animaliers au style singulier offrent de remarquables compositions aussi bien sur toiles que sur des murs de grand format. Une performeuse née !
Sandrot réalisera une performance sur le salon le vendredi et le samedi.
Venu du milieu du graffiti, oups décline ses cox (cousines éloignées de la coccinelle qu’il peint sur les rochers peuplant les bords des routes) sur différents supports. Il peint également des villes colorées et chaleureuses, avec lesquelles il habille régulièrement des animaux sur toile, papier ou carton; une manière pour lui d’évoquer le rapport entre l’humain et la nature, de façon naïve et accessible.
L’envie de couvrir les murs est née avec l’émergence des printemps arabes. Cette renaissance est le point de départ à l’envie de m’exprimer artistiquement. La symbolique du cœur, universelle, naïve, poétique, contraste avec ce monde complexe. Je souhaite partager un art positif et humaniste, interpeler le spectateur et créer une proximité́ avec celui-ci. L’utilisation du pochoir avec des couleurs minimalistes me permettent d’exprimer une histoire qui se juxtapose au rouge vif du cœur.
Artiste belge installé près de Perpignan, Prooz crée chaque jour car l’art lui est nécessaire. Les bombes sont ses outils de prédilection. Créer un pont entre l’art abstrait et le graffiti est un son fil rouge.
Lors du salon, l’artiste réalisera en public une fresque monumentale !
Djiango, architecte du portrait, marie son expertise en architecture à son art, créant ainsi des œuvres qui se présentent comme des projets architecturaux.
L’artiste réalisera une performance durant les 3 jours du salon !
Mes sculptures animalières sont composées à 90% de papier recyclé (livres et journaux) que je travaille sans eau, le papier est compressé manuellement dans des « cages » de fil-de-fer dans l’idée d’utiliser le moins de ressources possible (sans ajout d’eau, sans électricité, avec l’emploi d’un outillage rudimentaire). Cette envie vient d’un rêve d’enfant, celui de côtoyer ces grands animaux. Avec cette série de sculptures, j’espère aussi sensibiliser le spectateur à l’importance de nos animaux et de leurs écosystèmes.
L’artiste réalisera une sculpture monumentale en carton durant les 3 jours du salon.
https://artyannbirgy.jimdofree.com/
Anagraphis est une maison d’édition de sérigraphies d’art et d’estampes numériques, signées et numérotées. Avec un fonds de plus de 8 000 sérigraphies d’art et près de 190 artistes édités, la maison d’édition présente de nombreux mouvements artistiques : l’Art Contemporain, le Street Art ou encore la Bande Dessinée !
AUREL / François BOISROND / Robert COMBAS / Robert CRUMB / DIFUZ / Hervé DI ROSA / ERRÖ / JEF AEROSOL / JONNYSTYLE / LADY.K / MAYE / MEZZO / MIST / Ernest PIGNON-ERNEST / SHELTON / SINÉ / SPEEDY GRAPHITO / Philippe VIALA / ZEST …
Galerie street art, d’art urbain ou plus largement d’art contemporain, At Down est une galerie spécialisée dans l’art du graffiti. Elle expose les pionners américains de la discipline, Crash, Futura, Mear One, comme les artistes français les plus réputés en laissant une large place à la scène montpelliéraine : Mist, Tilt, Nasty, Honet, L’Atlas, Tanc, Jace, Zest, Vania, Momies, Smole, Maye, Jonnystyle, Polar, Loko.
La Galerie Brugier-Rigail possède une ligne artistique à la fois urbaine et contemporaine :
ARTISTE-OUVRIER / C215 / Charlélie COUTURE / CRASH / Guy DENNING / JonOne / Kosta KULUNDZIC / L’ATLAS / MAD C / M. CHAT / Jérôme MESNAGER / MISS TIC / MONKEYBIRD / NASTY / LEVALET / TANC / Fabien VERSCHAERE / Nick WALKER / DAN WITZ …
L’association sétoise présentera la série des 30 sérigraphies “Brassens By Sète” éditées pour les 30 ans de l’Espace Georges Brassens à Sète : Amon Alis / Karine BARRANDON / Eric BATTISTA / Aldo BIASCAMANO / Tony BOSC / C215 / André CERVERA/ Hugues CHAGNIOT / Charlélie COUTURE / CLODIUS / Robert COMBAS / Christophe COSENTINO / Laure DELLA FLORA / DÉPOSE / Hervé DI ROSA / Christopher DOMBRES / Marc DURAN / Jean-Jacques FRANCOIS / Pierre FRANCOIS / Boris JOUANNO / LAOU / Eve LAROCHE JOUVERT / Maxime LHERMER / LITH / Lucas MANTIONE / MAYE / Anna NOVIKA SOBIERAJSKI / Jean-Luc PARANT / REKA / REBELSMUGE / TOPOLINO / Alain ZAROUATI …
Centre d’art urbain et contemporain situé à Montpellier, LA PARCELLE 473 s’étend sur 1 500 m² dont 400 m² de surface d’exposition. Il propose à son public la découverte de l’histoire du mouvement artistique Street art et graffiti. Ce projet, porté par Laurent Rigail et Eric Brugier, se caractérise également par la volonté de recréer un lieu de vie, de partage et d’échanges culturels à travers la consécration d’un mouvement artistique planétaire.
Découvrez en exclusivité toutes les sérigraphies encore disponibles des artistes parrains de Solid’Art :
JonOne, Jef Aérosol, Jace, Speedy Graphito, L’Atlas, Nasty, Hervé Dirosa, M. Chat, Sandrot, Luke Newton, Maye…
Artiste verrier depuis 20 ans, j’habite et travaille à Villeneuve les Maguelone (34). Formé aux techniques du fusing et thermoformage du verre au CERFAV à Vannes le Chatel. Mes créations se situent aux frontières de l’artisanat et de l’art contemporain. Pour moi le verre n’est pas que matière, il est aussi outil. Mes créations intègrent le verre, le béton et l’acier. J’aime apprivoiser les propriétés du verre et j’en joue afin de réaliser une pièce unique. Mes créations consistent à transformer l’invisible en visible en apportant couleurs et lumières.
Avec leurs formes dansantes, les personnages du street-artiste Adec apparaissent comme des pantins bricolés, dessinés avec un savant sens du graphisme. Ils voyagent d’un monde à l’autre, dans des saynètes pleines de vie et de rythme, dans un drôle de théâtre urbain. Originaire de Paris, formé à Bruxelles, Adec est désormais installé aux pieds des Cévennes. Il décline depuis quelques années des peinture, il nous propose une revisite des échanges entre l’homme et la nature. C’est un travail sur l’identité, un univers empreint de poésie et de douceur, offrant à chacun la possibilité d’y lire ses propres histoires…
Diplômé de l’École Boulle et de l’École des Arts Décoratifs de Strasbourg, Yann Birgy a travaillé comme scénographe au sein de l’atelier Manessier, puis comme graphiste et maquettiste pour Bourjois-Chanel. Artiste pluridisciplinaire, il explore le dessin, le collage (classique et numérique), le transfert, la photographie et l’installation. Ses derniers dessins sont fortement influencés par les graveurs allemands du XVe siècle, notamment Dürer, comme en témoignent ses Animaux Fantastiques ou son Rhinocéros, inspiré de la célèbre gravure de 1515.
Dans son travail, Marie mêle la géométrie à une certaine forme de poésie en créant des histoires sur l’invisible ou
l’éphémère. « La nature, et ce qui nous entoure en général, nous offre un fabuleux spectacle abstrait, vivant et en mouvement. J’y vois des formes, des lignes, des courbes, des ombres, des liens, des échanges et toute cela m’inspire de belles histoires que je me plais à retranscrire sur la toile. ».
Dans son travail récent sur toile, Marie a délaissé les lignes strictes faites au scotch au profit de formes simples, arrondies et apaisantes tracées à la main. Un retour à plus de minimalisme qu’elle complexifie toutefois avec un fond « mosaïque » créé avec des bandes de lin entrelacées et dont la texture tout à fait singulière se rapproche de celle du velours.
Né en 1959 en République Populaire de Chine, Arthur Yang grandit à Erevan (Arménie) et étudie aux Beaux-Arts de Moscou. Il poursuit sa formation à Paris, à l’atelier de gravure Contrepoint (1996-1998) et en résidence à la Cité Internationale des Arts. Membre de l’International Art Foundation (1989) et de la Maison des Artistes (1998), il est peintre, dessinateur, sculpteur et graphiste. Commissaire de la Biennale d’Arts Graphiques de Novossibirsk depuis 2005, il réalise notamment une œuvre pour les 30 ans du groupe Pernod Ricard. Depuis 1999, il vit et travaille à Paris, puis, dès 2017, à Saint-Mathieu-de-Tréviers (Hérault).
Issu du graffiti, Asto s’est peu à peu orienté vers l’une de ces évolutions : le graffuturism, un art géométrique qu’il explore en jouant avec les couleurs et les formes, deux éléments fondamentaux qu’il imbrique et mélange pour donner vie à des créations méthodiques qui définissent aujourd’hui son style. Une transposition de la géométrie dont il s’amuse, pour composer des œuvres originales, pétillantes et colorées. Ses inspirations sont diverses et se trouvent dans la vie de tous les jours entre architecture, urbanisme, design, nature, et tout ce qu’il voit (et ne voit pas). Captivé par les anamorphoses, il en réalise depuis 2017, et notamment dans les couloirs de la résidence Ambroise Croizat de Villejuif en 2018 pour lesquels il sera récompensé par le Ministère de la Culture avec les autres artistes du projet.
Femme du sud, Géraldine Auret vit à
Montpellier. Malgré une précoce sensibilité artistique qu’elle concrétise dès l’âge de 17 ans avec ses premières expositions, qui
lui firent un temps envisager une carrière artistique, ses choix l’amènent à s’engager à la faculté de Montpellier dans un cursus long
d’études en sciences économiques…
Elle ne cessera jamais de peindre et d’exposer, puis mettra ses expositions en retrait pour créer deux entreprises et sa plus belle œuvre : sa famille. Après un parcours professionnel riche et dense, elle se consacre aujourd’hui à sa création artistique avec ses « Collections G. ».
« Coloquintes en couleurs.
Je me suis associée avec la nature.
Je suis fascinée par les arts premiers.
Toutes ces formes artistiques utilisent des matériaux naturels pour s’exprimer.
Moi aussi j’ai voulu, à un moment, être en accord avec la nature,
dans ma façon de vivre et de travailler.
Je cultive des coloquintes (gourdes lagénaria ou calebasses) qui,
une fois sèches, deviennent comme du bois.
La nature me fournit la forme.
J’utilise ces volumes naturels comme supports à peindre.
J’invente des personnages et des animaux.
J’anime mes coloquintes. »
Bad Georges se réclame du mouvement de l’artisanat d’art et des traditions populaires, une démarche qui valorise le travail manuel et la culture locale. Ce sont nos affiches qui nous ont fait connaître, avant que nos créations ne se déclinent sur d’autres supports.
Jeune artiste guinéen installé à Montpellier, Bella Bah s’exprime aussi bien sur toile que sur les murs de la rue. Dans sa palette, ce sont ses émotions, son histoire et ses expériences qui définissent les couleurs. Evoluant dans un microcosme artistique, il s’inspire de ses pairs pour développer son propre style. Coloré et exotique, l’univers de Bella Bah vous fait voyager sur un autre continent.
Julien Barriol, alias No Luck, développe un langage graphique asémique, inspiré de formes simples, de signes anciens, de livres, films ou jeux vidéo. Son écriture, entre imaginaire et tradition, invite à une lecture intuitive. Le spectateur devient archéologue, face à des symboles rouges sur un mur décrépit, des traces sur le sable ou des pages de grimoire. Peint, sculpté ou gravé, chaque support porte ces lettrages mystérieux, ouverts à toutes les interprétations. Un langage inconnu, non verbal, qui interroge plus qu’il ne dit.
Fasciné par les lieux à l’abandon, Hugues Bertin photographie d’anciennes serres du Var, vouées à disparaître. Il récupère les verres chargés d’histoire et y imprime ses images. Pour restituer l’ambiance d’origine, il crée des cadres en acier qu’il laisse volontairement rouiller. Son travail explore les traces du passage humain, l’abandon, l’oubli, les matières qui se décomposent avec le temps. Une démarche poétique ancrée dans un univers qui lui est cher et constant : celui du monde marin.
L’émotion au féminin
Sur de grandes toiles de lin, je saisis les expressions des visages et /ou des corps dans une gestuelle forte où couleur et traits s’affrontent jusqu’à la naissance de l’émotion recherchée.
Artiste pluridisciplinaire, Yann Birgy explore une variété de supports et de techniques, mêlant peinture, sculpture, installations et performances. Une part importante de son travail repose sur le recyclage du carton et du papier, matériaux qu’il réinvente au fil de ses créations. À travers une démarche libre et mouvante, il aborde différentes thématiques, trouvant dans le changement de médium un souffle nécessaire à l’évolution de son univers artistique.
Aussi loin que je m’en souvienne, j’ai toujours dessiné. Autodidacte, par mes dessins, j’exprime mes émotions plus facilement que si je le faisais avec des mots.
Je puise mon inspiration dans mon environnement, la mer, la musique, l’astronomie, la spiritualité, ou encore mes rêves.
J’offre ainsi une forme imaginaire à cette infinité de possibles. J’explore la notion de pureté géométrique à travers les ondes, les cercles et les lignes qui introduisent chaque dessin dans un monde fractal.
« Je pars d’une forme inscrite dans un matériau, d’une esquisse ou d’un projet abouti, sans thème précis si ce n’est peut-être « la présence ». Il s’agit de donner vie aux expressions subtiles du corps, en retirant la matière jusqu’à trouver l’essentiel. J’y ajoute parfois des gestes de transformation : brûler, mutiler, brosser, patiner… pour retrouver, dans un processus accéléré, la force émotive des reliques anciennes, marquées par l’usure du temps. »
Gérard Bru fait vibrer la couleur. L’artiste mêle, du plat de son couteau, des chenilles de bleus, une pointe de gris, une traînée de beige. Il compose. Et c’est une harmonie. Son ciel emplit la toile et sous ce velouté, votre rêve prend vie. Le dos d’un mur béant, l’aile d’un angle mort, le songe d’une nuit… Face à son chevalet, le peintre s’installe dans son monde. S’il vous tourne le dos, c’est pour vous dévoiler le vif de sa peinture. Sa palette s’anime. Une étrange douceur vous bouscule. Votre regard divague…
Lucile Callegari, peintre autodidacte, vit et travaille entre Bordeaux et Paris. Depuis 13 ans, la création s’impose à elle comme une évidence.
Son œuvre explore l’humain et ses multiples facettes esthétiques et émotionnelles. Rapide et instinctive, elle peint en un seul jet, laissant émerger des visages inspirés du quotidien. Ses portraits féminins, reflets de son propre univers intérieur, incarnent une image intemporelle et universelle.
En transformant le réel en mise en scène, elle invite le spectateur à projeter sa propre histoire. Représentée dans de nombreuses galeries en France, elle s’ouvre aujourd’hui à l’international.
Artiste peintre à Montpellier, Gisèle Cazilhac réalise de nombreuses expositions principalement en France, ainsi que des illustrations et peintures murales et monumentales. Sa peinture singulière, résolument gaie, et surtout ses scènes de vie ou purs graphismes, aux personnages mêlés, mélangés, imbriqués, virevoltants, acrobates, fluorescents ou noirs et blancs, arrivent toujours à nous re ou rassembler.
Découvrez ses toutes nouvelles encres noir et blanc, réalisées en 2025.
Claks a manifesté dès son jeune âge une forte attirance pour le dessin et la peinture au spray. Il a appris en pratiquant, initié par les plus anciens, en France et ailleurs. Rapidement, des propositions d’expositions et de festivals d’art urbain se sont présentées. Remarqué pour ses œuvres dans les rues de Paris pendant ses études à l’École des Gobelins, il a collaboré avec des sociétés de production télévisuelles et cinématographiques. Sa créativité l’a conduit à créer son propre projet, Éclat©, qu’il développe depuis 2021. Il initie également des jeunes à l’art en intervenant dans des classes à projet artistique.
Le travail de Damien DEMAITER est un échange permanent et laborieux entre la matière qu’il utilise et son état d’être, ses émotions, ses vibrations. Continuellement en connexion avec ce qui l’entoure, il n’a de cesse d’explorer et d’expérimenter l’expression de son ressenti. Un bouillonnement de vie qui l’ouvre à des techniques variées, orchestrées, mises en mouvement, en graphisme. Des associations parfois frénétiques, parfois subtiles, des jeux de recouvrements et de découvertes, des transparences, des révélations, des samplings de motifs et de symboles, des rythmes, des entrelacs de contrastes, une poésie picturale.
Les oeuvres sont constituées de résine époxy, de pigments et de sable. Elles représentent des vues aériennes de lagons océaniques où des vagues viennent s’échouer sur la plage.
4 couches de résines Epoxy permettent de restituer les variations de profondeur des récifs et la transparence des fonds marins. Les vagues ont un effet mousseux détaillé grâce à une technique particulière appliquée à la résine, qui donne une impression de mouvement et de réalisme.
Les oeuvres évoquent le calme, l’évasion et la sérénité. Les teintes bleues sont apaisantes et les vagues sur le sable créent une sensation de légèreté et de détente.
Photographe autodidacte montpelliérain né en 1979, je me définis surtout comme un compositeur incrustateur photographique souhaitant mélanger ses références -souvent issues de la pop culture- à des photos de paysages urbains.
Devenue alors comme un énorme terrain de jeu, j’aime me réapproprier la ville et son mobilier sans les dégrader. Le résultat final est obtenu en post-traitement par ordinateur par superposition de plusieurs photos avec incrustation de dessins/graphismes dans une idée street art. Entre grand-angle, longue exposition, jeux de lumières et effets de vitesse, le spectateur est plongé dans un univers imaginaire.
Jérôme DURAND est un artiste Arrageois né en 1987.
Il a fait ses études à l’Ecole Supérieur des Arts de Saint Luc à Tournai où il a obtenu un Bachelier en publicité en 2012.
Cette formation artistique lui a permis d’appréhender de nombreuses techniques (la perspective, la composition, l’équilibre…) et de développer sa culture artistique.
Il est aujourd’hui directeur artistique dans une agence de publicité de la métropole Lilloise.
Depuis 8 ans, il réalise des œuvres, à base de papier découpé au cutter puis superposé pour créer des tableaux graphiques.
Jérôme DURAND conçoit des oeuvres uniques en utilisant le papier à la fois comme sujet et support de ses créations. Les lignes et les carrés s’entrecroisent et évoquent une impression
de volume et de mouvement.
A ce jour son travail est exposé, de manière permanente dans plusieurs galeries d’art en France : Lille, Le Touquet, Honfleur, Lyon…
Dans sa peinture, il utilise la technique mixte : le collage et le mélange de différents produits et matériaux récupérés de milieux divers. Le mélange à la fois des produits, des techniques diverses et l’introduction du texte lui permettent de trouver une liberté de travail et de geste, une liberté d’exprimer ses idées, ses sentiments, ses rêves, ses pensées, ses joies et ses souffrances… Son œuvre est un espace de réflexion perpétuelle, il utilise différentes matières pour l’élaborer. C’est de cette alchimie, de ce mélange et de cette mixité de produits divers que naît sa peinture. Un travail qui ouvre de nombreuses fenêtres sur la diversité du monde, tel un macroscope…
Lison Gangloff réalise des rosaces composées de ses papillons en papier, qui sont des reproductions taille réelle. Elle nous montre que la nature est sublime, que l’on peut l’admirer tout en la protégeant. Ses œuvres sont imprégnées de symboles. D’effets d’optique hypnotisants et captivants. C’est une quête du beau et de la perfection. Le regard circule et offre une contemplation apaisante. L’étonnement vient lorsque l’on comprend que des papillons constituent l’œuvre. Puis l’émerveillement, quand on découvre qu’ils sont en papier, et que ces beautés existent sur notre planète.
À travers les différents supports et techniques issus du travail de la laque, de la linogravure ou du dessin d’illustration, les créations d’Aurélia Gritte prennent source aussi bien dans les courants asiatiques traditionnels et modernes que dans l’art contemporain.
Dans ses tableaux, caractérisés par les couleurs chaudes et la brillance de la laque (vernis Martin), de l’huile et des pigments naturels, les figures détourées à la façon des dessinateurs de mangas se font tour à tour l’écho des codes stylistiques asiatiques, des courbes arabesques de l’Art nouveau ou des lignes droites et épurées de l’Art déco. L’artiste qui se définit comme un « rêveur social » y pose ses révoltes aux formes chaotiques en une géométrie maitrisée qui s’ordonne tout en force et en netteté.
Artiste peintre plasticien depuis une vingtaine d’années, je réalise des sculptures en bois principalement en formes de glaces, biscuits, tablettes de chocolat, etc… peintes à la bombe avec une technique de graffitis dans un courant artistique « pop street ».
A travers ces œuvres j’offre la possibilités aux personnes de plonger dans un univers pop et coloré rappelant l’enfance et l’insouciance. Je me réapproprie le graffiti d’une manière douce et apaisée (purement graphique).
Je suis un sculpteur qui utilise uniquement le bois, matière connue pour sa plasticité. Si jamais je poursuis un but, c’est d’offrir aux regards, une perception originale du monde où nous vivons. L’esprit de recherche dans lequel j’évolue, est de mettre en forme des pensées qui me traversent souvent l’esprit lors de mes nuits d’insomnies. Ce sont parfois des idées loufoques, des visions incongrues que je chasse au plus vite le matin mais parfois, certaines continuent à me plaire et à m’amuser.
Né en 1972 à Fontenay‑sous‑Bois, David Kunzli se forme au dessin publicitaire à l’école Corvisart à Paris, mais abandonne vite la réalisation de maquettes pour se consacrer à la peinture, passion depuis son enfance (source Artsper). En quête d’une écriture personnelle, il parcourt l’Asie et trek pendant plusieurs mois dans l’Himalaya, où il puise une technique minimaliste et des visages inspirés des traditions bouddhiques et orientales, appliqués sur supports bruts comme le papier népalais ou le bois (source Artsper, Artmajeur). Rejetant l’huile trop riche, il privilégie des médiums sobres qui soulignent la puissance du trait et l’intériorité. Ses compositions regroupent hommes et femmes en interactions imprévues, traduisant alliances, oppositions, rencontres et dynamiques de groupe.
J’utilise pour mes sculptures des fils de fer patinés, pour retrouver l’apparence d’un trait de crayon ou de fusain. J’esquisse dans les airs la courbe d’un visage imaginaire, d’un cou ; je dessine un regard, un nez, une bouche. Je n’utilise qu’une pince comme outil, pour couper et plier le fil. Mon travail s’apparente à de la broderie dans l’espace et aboutit à un dessin en 3D.
Je laisse mes mains et mes émotions me guider, les pleins et les vides donnent peu à peu vie à un objet, une tête d’animal, un visage expressif… que les jeux de lumière animent.
Artiste plasticienne montpelliéraine, Majéon explore le dessin et la peinture, à la fois en atelier et en milieu urbain. Son travail, inspiré d’un univers végétal et graphique, combine encre noire et blanche, contrastes plein/vide, ponctués de touches dorées. Elle y mêle héritage, transmission et décor méditerranéen, en s’appuyant sur des éléments empruntés à l’art décoratif et à l’architecture. Ses silhouettes féminines questionnent l’intime, les origines et les liens sociaux. Majéon invite à un voyage hybride, entre réel et imaginaire, dans des paysages empreints de poésie urbaine et botanique
Né en 1995, Mara est un artiste qui évolue entre galeries et rues. Dès l’enfance, le dessin est son moyen d’expression. En 2011, il crée un personnage au visage en croix, figure centrale de son œuvre, à la fois universelle et anonyme, qu’il met en scène comme une marionnette. Découvrant le graffiti à Montpellier, il adopte le collage comme support d’expression. Mara investit les murs de la ville avec ses œuvres à taille humaine, donnant à son personnage un rôle de porte-voix. Humour, cynisme et engagement s’y mêlent, abordant des thèmes d’actualité (écologie, technologie) et plus personnels (amour, nature humaine).
« Peindre aux frontières de la réalité, là où elle prend des résonances poétiques, imprévisibles. Arrêter, le temps d’un regard, le flux d’idées pour laisser la place au monde plus subtil et insaisissable des émotions. Detecter et chasser les routines. Se retrouver là où on n’avais été, se placer face aux énigmes pour laisser agir l’intuition, notre seule arme créatrive face à l’inconnu. Le tableau devient une surface sensible où l’on trace des signes pour tenter de transmettre une émotion. »
« Pour moi, chaque création est une expérience, une recherche technique, une aventure artistique. » Pour cette nouvelle édition de Solid’Art, Sylvain Monérat va présenter des sculptures réalisées à partir de cartons d’emballage déjà utilisés une première fois. L’objectif est de leur donner une nouvelle vie. La protection de l’environnement passe par le recyclage pour devenir une merveilleuse matière première. En constante évolution cet artiste autodidacte s’inspire de la culture Street Art.
Caroline Montigneaux a une approche lumineuse de la couleur, et compose des portraits espiègles à l’encre. Ses Petites Nanas symbolisent les moments joyeux. La famille s’est agrandie avec des sculptures en résine, et des nounours revisitant notre enfance. Le visage épuré des Petites Nanas rend hommage à la poésie de Saint-Exupéry. « On ne voit bien qu’avec le cœur. L’essentiel est invisible pour les yeux . »
Né en 1964 à Sète, Jean-Marie Gitard, connu sous le pseudonyme de Mr Strange, est un artiste plasticien qui a transformé son parcours artistique, passant de la peinture classique à l’art numérique. S’éloignant des normes traditionnelles, Mr Strange utilise le surréalisme comme un outil pour explorer et réfléchir sur le monde avec un ton oscillant entre poésie, ironie et critique sociale.
Le style de Mr Strange mêle art numérique, satire et touches de surréalisme. Par des manipulations photographiques sophistiquées, l’artiste crée des univers hybrides et polymorphes, jouant avec l’absurde et subvertissant l’imagerie familière.
Jeune artiste Angevin né en 1995, Nazu se passionne pour le dessin et la BD dès son plus jeune âge.
C’est après ses études à Montpellier qu’il se plonge dans le monde du street art. Son univers artistique est le fruit du mariage entre son imaginaire et ses différent voyages. Teinté de couleurs très nuancées et légèrement sucrées, le monde de Nazu met en scène des humanoïdes, des animaux surréalistes ou bien des véhicules ou machines évoluant dans des décors retraçant le fil rouge de ses voyages et de ses rêves.
NOON vit et travaille entre le Languedoc et l’île d’Oléron.
Elle explore depuis quelques années le graphisme, l’illustration et revient à sa source avec une peinture graphique et très colorée. Les formes géométriques de ses peintures nous plongent dans un univers onirique et poétique, inspiré par la nature et l’art nouveau.
Elle se plait à faire des aller – retours entre la rue et « l’atelier ».
Ses univers en papiers, ses toiles sont une complémentarité, une continuité et une mise en relief des fresques qu’elle réalise sur les murs et bâtiments.
@noonpainter
Oskour, artiste autodidacte né à Clermont-Ferrand et basé à Montpellier, mêle dessin réaliste, expressionnisme et graffiti dans une approche harmonieuse. Il explore divers médiums comme l’acrylique, le fusain et l’aérosol pour créer des portraits vibrants et profonds. Toujours en quête d’expérimentation, son travail fusionne tradition et modernité. Ses œuvres abordent des thèmes tels que la vanité, la spiritualité et l’exploration de l’âme humaine.
Venu du milieu du graffiti, oups décline ses cox (cousines éloignées de la coccinelle qu’il peint sur les rochers peuplant les bords des routes) sur différents supports. Il peint également des villes colorées et chaleureuses, avec lesquelles il habille régulièrement des animaux sur toile, papier ou carton; une manière pour lui d’évoquer le rapport entre l’humain et la nature, de façon naïve et accessible.
L’œuvre de Pamelito est dominée par un personnage récurrent : un petit cactus aux yeux expressifs mais sans visage, initialement inspiré lors d’un voyage à La Réunion et dessiné pour un tatouage. Décliné en formes archétypales, chaque cactus arbore des regards variés (intenses, mystérieux, fuyants…) qui révèlent un état d’esprit unique. Disposés par accumulation, entassés ou superposés, ils forment des foules – jamais isolés . Réalisés à l’encre, acrylique, marqueur, aérosol sur papier, toile, medium ou kraft, ils peuplent aussi fresques murales et objets (casques, skateboards, chaises longues…) Chaque composition joue sur l’œil et l’accumulation, pour un univers graphique à la fois captivant et plein de nuances.
« Je suis une artiste photographe et brodeuse basée à Montpellier, explorant les thèmes de la diversité des corps et du rapport aux émotions à travers des techniques mixtes. Mon travail s’articule autour de la représentation des corps de femmes de tout âge, origine et physique, dans une démarche inclusive et engagée. »
Artiste belge et passionné, je crée chaque jour car l’art m’est nécessaire. Les bombes sont mes outils de prédilection, elles m’offrent une liberté plus difficile à acquérir avec des outils classiques. Après des études en arts et aux beaux-arts, c’est en bousculant mes acquis que je trouve mon style et ne cesse de le faire évoluer. Créer un pont entre l’art abstrait et le graffiti est un peu mon fil rouge. Je crée spontanément, chaque trait entrainant le suivant. Je suis un artiste heureux.
Michel Rauscher, né en 1957 en Alsace, est un peintre autodidacte reconnu pour ses scènes stylisées, inspirées par ses nombreux voyages sur plusieurs continents. Son art se caractérise par une technique bien personnelle. Coloriste, il affectionne les espaces craquelés, les paysages lumineux, les personnages longilignes, les reflets changeants de l’étang de Thau où il a trouvé refuge depuis vingt ans. Ses inspirations entre rêve et réalité côtoient l’étrange dans des décors habités et poétiques. Il aime surprendre à chaque nouvelle toile à subjuguer la nature et les hommes. Passionné de découvertes, de musique, de littérature et de photographie. Il est l’auteur de trois livres aux éditions Hazan et Magellan et Cie dans lesquels il associe photographies et peintures dans un dialogue chromatique et thématique.
Peintre muraliste initié des cultures urbaines, Salamech développe un langage pictural direct et universel. Il crée le concept novateur de matière urbaine et aborde différents matériaux, formats et supports sur lesquels, il crée des ensembles dynamiques abstraits, compositions immersives qui engagent une relation intuitive avec le public.
Quelque part à mi-chemin entre cartoons, caricatures et dessins de presse, les œuvres de Nolwenn Samson mettent en scène des personnages, des familles rocambolesques dans un monde
Décalé , version cinglante du quotidien que l’on connait. Soulignant des couleurs franches à l’acrytique de ses traits bruts et instinctifs
L’artiste originaite de Salon-de-Provence fait montre d’un humour cash et d’un style ultra-affirmé, héritage d’une enfance baignée de créativité et d’une formation d’arts appliqués à Marseille, Riche en références; l’art de Nolwenn Samson est franc, naif, trash, féminin hurlant des émotions au mégaphone.
Artiste peintre animalière contemporaine. Ses portraits animaliers au style singulier offrent de remarquables compositions aussi bien sur toiles que sur des murs de grand format. Une performeuse née !
Skunkdog, de son vrai nom David Negri, est un peintre marqué par la liberté d’expression, la musique et la culture de rue. Influencé par le mouvement punk et des figures comme Patti Smith, dont il tire son nom d’artiste, il a forgé un style singulier mêlant rébellion et expérimentation. Ses œuvres, imprégnées d’énergie brute, exploitent divers matériaux comme la terre, le café et la résine pour créer des textures évoquant des murs tagués. Son travail ne cherche pas à représenter la réalité mais à retranscrire des émotions, des souvenirs et des mythes collectifs à travers des couleurs vives et une symbolique forte.
« Déjà toute petite, j’adorais mes stylos et mes feutres. Je n’aime pas vraiment les jeux d’enfants. Moi ce que je veux, c’est dessiner. À 16 ans, je saisis l’opportunité de « croquer » des modèles vivants ». C’est exactement ce qu’il me faut, un modèle qui « bouge ». Pour moi, avec cette expérience, c’est le déclic. Ma confiance en bandoulière, je démarre une licence en Direction Artistique à l’ECV à Bordeaux, puis je décolle pour Londres. Je complète ma licence avec un Master en graphisme à la Kingston University. Mon premier monde professionnel : la mode londonienne. Un vrai délice où mes techniques de dessinatrice se construisent. Et une révélation : des monochromes tranchants et impactants. En 2018, je déménage près de Perpignan et je découvre une ville et des alentours pleins de vie et de nuances… les couleurs fortes et pétillantes deviennent petit à petit ma signature. »
L’envie de couvrir les murs est née avec l’émergence des printemps arabes. Cette renaissance est le point de départ à l’envie de m’exprimer artistiquement. La symbolique du cœur, universelle, naïve, poétique, contraste avec ce monde complexe. Je souhaite partager un art positif et humaniste, interpeler le spectateur et créer une proximité́ avec celui-ci. L’utilisation du pochoir avec des couleurs minimalistes me permettent d’exprimer une histoire qui se juxtapose au rouge vif du cœur.
Tegmo, artiste urbain. Créateur autodidacte de vitraux en miroir et en volume. Le principal but de ces œuvres est de ne pouvoir se voir en face, mais plutôt apercevoir le monde qui nous entoure. Une façon de contrer le narcissisme et de pousser plus en avant un questionnement. Une sorte de mirage suspendu au mur
dans lequel une interaction se met en place. Par ce fait en fonction de l’emplacement de l’installation ou de l’œuvre un nouvel horizon s’ouvre a vous.
David Ferreira, ancien géomètre, canalise son énergie créatrice dans un univers artistique chaotique et vibrant. Il associe avec talent la rigueur mathématique à son inspiration débordante, où les aplats colorés cohabitent avec les équations et les casse-têtes. Chaque œuvre est une biographie mise en peinture, où le personnage de « Toto » nous guide à travers les aventures de sa vie, accompagné de sa femme « Warholisée » et de références à son chiffre fétiche, le 15. Cette cacophonie organisée, exposée dans le monde entier, de Bruxelles à New York en passant par Paris et Hong Kong, dégage une identité artistique singulière et intime qui ne laisse personne indifférent.
Romain Thiery, né à Bergerac en 1988, est un auteur photographe et pianiste amateur vivant et travaillant près de Montpellier, France.
Romain Thiery estime que le piano est profondément enraciné dans les profondeurs de notre culture, et a cherché́ à explorer l’instrument sous un angle original. Il s’est donné pour mission de combiner ses deux plus grandes passions et s’est mis à la recherche de bâtiments où de vieux pianos sont laissés à l’abandon. Depuis 2014, il a découvert plus de cent pianos à travers le monde, en autant de lieux à la foudroyante beauté́. Scènes dont il ne change jamais rien, laissant l’endroit tel quel. « Même au milieu d’un espace dégradé, le piano ne cesse de conserver sa puissance. Il est là, il trône de tout sa noblesse ».
Architecte de formation, Grégory Valentin, est un amoureux des livres, des lignes et de l’Art. Il intègre dans ses tableaux l’intégrale d’œuvres littéraires en jouant avec les espaces, les polices, les lettres pour en restituer une émotion intense et une esthétique parfaite. Grégory Valentin présente un minutieux travail de composition où il va discipliner, contenir et mettre en forme des textes pour recréer l’intégralité d’un livre sous forme artistique. La finalité de son travail présente à la fois une œuvre abstraite reposante et esthétique tout en donnant vie aux œuvres littéraires desquels il s’inspire.
Symbole du rêve et de l’inaccessible, c’est le nuage qui impose son rythme lancinant à l’esprit créatif de cet artiste rêveur. Comme posé dans le ciel comme un poème sous la plume de l’artiste, c’est tout un jeu de symboliques et de formes qui apparaissent dans l’œuvre de Varoc. Des nuages aux multiples formes semblent nous indiquer une direction, c’est la ligne de la vie fragile qui rejoint l’œuvre à l’artiste.
De l’autre côté de cette corde se situent des rues et des édifices bien ancrés dans le sol comme les fondations de nos âmes… C’est sur ces murs que se développe aussi la créativité de l’artiste. Entre fantasme et idéologie, pour le regard de celui ou celle qui saura s’y plonger.
Originaire du Nord de la France elle à étudié les Industries Graphiques et la Photographie à Lille. Son travail récent est porté par la découverte d’une technique ancienne : l’encaustique. Ce mélange de cire d’abeille et de résine naturelle a donné une dimension nouvelle à ses photographies en fusionnant les techniques. Aquarelle, collages, photographies… se fondent dans l’encaustique pour révéler des oeuvres à la limite de l’abstraction. Bien qu’il y ait un attachement au réel via la photographie, le résultat est décalé, subjectif, comme un rêve qu’on essaie de rattraper ou vos souvenirs qui s’effacent
Warren Podguszer (Wawapod) à débuté son parcours artistique en 2014 avec la photo de rue. Il compose d’abord à partir d’images et de photos sur support digital, avant de rapidement projeter ses idées sur toiles.
Son univers est un tourbillon de couleurs et de joie qui joue avec les icônes de la Pop-Culture et mélange les courants. Wawapod aime rassembler, mixer les références entre elles, obtenir quelque chose de nouveau à partir d’éléments existants et très populaires.
Son désir est de nous faire voyager à travers l’histoire de l’art tout en nous invitant à plonger dans ses souvenirs d’enfance. Wawapod met en lumière, réinterprète, parodie et rend à la fois hommage à d’immenses artistes tels que Haring, Basquiat et Banksy mais aussi Magritte, De Vinci et Matisse, s’il ne fallait citer qu’eux.
Sa plus récente série se dirige vers un travail sur les courbes, cercles et lignes qui laissent entrevoir des visages et silhouettes d’oeuvres d’artistes actuels aussi bien que de tableaux anciens. Il surprend l’oeil en imbriquant ces images les unes avec les autres.
Isabelle Zutter vit et travaille à Montpellier.
Des études de graphisme l’ont amené très tôt à la peinture .
Elle s’exprime par la peinture en immobilisant des moments de vie qu’elle a choisi parce qu’ils l’ont ému .C’est une peinture figurative et impressionniste…
Isabelle Zutter est du Sud , perméable à la lumière. Elle aime flirter avec les couleurs,
Elle puise ses thèmes dans son univers familier :détails d’une journée à la campagne ou à la plage, scènes de brocantes, intérieurs intimistes .
Djiango, architecte du portrait, marie son expertise en architecture à son art, créant ainsi des œuvres qui se présentent comme des projets architecturaux.