Catalogue 2023
Solid'art MONTPELLIER
22/23/24 SEPTEMBRE 2023
ZENITH SUD
Vendredi 14h – 22h
Samedi 11h – 20h
Dimanche 10h – 19h
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Entrée Gratuite
Parrain 2023
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Après Hervé Di Rosa, Mist, M. Chat et Nasty, c’est Franck Noto, aussi connu sous le pseudonyme de Zest, qui parraine l’édition 2023 de Solid’Art Montpellier.
Artiste montpelliérain de renommée internationale, Franck Noto vit et travaille dans la ville qui l’a vu naître.
La couleur, une essence, et le geste, son moteur. Franck Noto est l’ambassadeur d’une peinture qui dévale librement les longues et fébriles routes de l’abstraction. Défiant toute idée de stagnation esthétique, c’est avec rigueur qu’il s’emploie à peindre une œuvre qui synthétise ses influences diverses. Une œuvre qui donne vie à un style unique et identifiable.
Soucieux de contribuer au rayonnement culturel de la Métropole de Montpellier, il souhaite apporter sa pierre à l’édifice : « Je suis ravi de soutenir cet événement emblématique et de permettre aux enfants de pouvoir partir en vacances grâce à l’art et la culture. Les enfants c’est le futur, c’est notre avenir, on doit en prendre soin ! »
Franck Noto réalisera une performance en ouverture de salon et éditera une sérigraphie spécialement pour le Secours Populaire.
CATALOGUE 2023
AtelierS & performanceS
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Depuis plus de 40 ans, Anagraphis est soucieuse de partager ses productions artistiques avec le public.
Les maitres sérigraphes seront présents sur le salon pour initier petits et grands à cette technique millénaire.
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l’artiste ccsJPG développe une forme d’art participatif destiné à sensibiliser et à questionner le plus grand nombre sur les enjeux environnementaux.
Le public sera invité à participer à la réalisation de l’uniQUBE, structure cubique monumentale spécialement installé pour Solid’Art
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l’artiste OUPS, bien connu des montpellierains pour ses célèbres« Cox » dessinées sur des rochers en bord de route, animera un atelier street art pour enfants sur le salon Solid’Art (sur inscription).
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Street artiste et peintre Montpelliérain de 26 ans. Fragment explore les thèmes de l’esprit, de l’onirisme, du symbolisme, des tribus et des animaux.
Fragment proposera aux visiteurs du salon de s’initier à la linogravure.
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Artiste peintre animalière contemporaine. Ses portraits animaliers au style singulier offrent de remarquables compositions aussi bien sur toiles que sur des murs de grand format. Une performeuse née !
Sandrot réalisera une performance sur le salon le vendredi et le samedi.
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Sancko et Outofthe.black, duo d’artistes urbains, muralistes et collagistes, propose un univers qui mêle figuration et abstraction géométrique.
Le duo réalisera durant le salon une fresque de 5m²
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Jordy Le Bruchec est un artiste autodidacte originaire de l’Hérault, spécialisé dans la création d’œuvres de grande taille. Son travail est très détaillé et exprime un univers qui lui est propre, issu de son imagination. Il ne se réfère à aucune référence visuelle ou culturelle directe et se laisse porter par son inspiration sans intermédiaire. « Il y a un message récurrent dans mes tableaux, ce mélange tourmenté entre formes végétales, organiques et mécaniques, la notion de surinformation, des visages inquiets entremêlés et engloutis dans cette forme en mouvement que rien ne semble pouvoir arrêter, et qui évoque l’absurdité du monde dans lequel nous vivons. »
GalerieS & éditeurS
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Anagraphis est une maison d’édition de sérigraphies d’art et d’estampes numériques, signées et numérotées. Avec un fonds de plus de 8 000 sérigraphies d’art et près de 190 artistes édités, la maison d’édition présente de nombreux mouvements artistiques : l’Art Contemporain, le Street Art ou encore la Bande Dessinée !
AUREL / François BOISROND / Robert COMBAS / Robert CRUMB / DIFUZ / Hervé DI ROSA / ERRÖ / JEF AEROSOL / JONNYSTYLE / LADY.K / MAYE / MEZZO / MIST / Ernest PIGNON-ERNEST / SHELTON / SINÉ / SPEEDY GRAPHITO / Philippe VIALA / ZEST …
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La Galerie Brugier-Rigail possède une ligne artistique à la fois urbaine et contemporaine :
ARTISTE-OUVRIER / C215 / Charlélie COUTURE / CRASH / Guy DENNING / JonOne / Kosta KULUNDZIC / L’ATLAS / MAD C / M. CHAT / Jérôme MESNAGER / MISS TIC / MONKEYBIRD / NASTY / LEVALET / TANC / Fabien VERSCHAERE / Nick WALKER / DAN WITZ …
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L’association sétoise présentera la série des 30 sérigraphies “Brassens By Sète” éditées pour les 30 ans de l’Espace Georges Brassens à Sète : Amon Alis / Karine BARRANDON / Eric BATTISTA / Aldo BIASCAMANO / Tony BOSC / C215 / André CERVERA/ Hugues CHAGNIOT / Charlélie COUTURE / CLODIUS / Robert COMBAS / Christophe COSENTINO / Laure DELLA FLORA / DÉPOSE / Hervé DI ROSA / Christopher DOMBRES / Marc DURAN / Jean-Jacques FRANCOIS / Pierre FRANCOIS / Boris JOUANNO / LAOU / Eve LAROCHE JOUVERT / Maxime LHERMER / LITH / Lucas MANTIONE / MAYE / Anna NOVIKA SOBIERAJSKI / Jean-Luc PARANT / REKA / REBELSMUGE / TOPOLINO / Alain ZAROUATI …
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Galerie street art, d’art urbain ou plus largement d’art contemporain, At Down est une galerie spécialisée dans l’art du graffiti. Elle expose les pionners américains de la discipline, Crash, Futura, Mear One, comme les artistes français les plus réputés en laissant une large place à la scène montpelliéraine : Mist, Tilt, Nasty, Honet, L’Atlas, Tanc, Jace, Zest, Vania, Momies, Smole, Maye, Jonnystyle, Polar, Loko.
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Centre d’art urbain et contemporain situé à Montpellier, LA PARCELLE 473 s’étend sur 1 500 m² dont 400 m² de surface d’exposition. Il propose à son public la découverte de l’histoire du mouvement artistique Street art et graffiti. Ce projet, porté par Laurent Rigail et Eric Brugier, se caractérise également par la volonté de recréer un lieu de vie, de partage et d’échanges culturels à travers la consécration d’un mouvement artistique planétaire.
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VANGART, une maison d’édition en broderie basée à Lyon, qui repousse les limites de l’art contemporain grâce à son savoir-faire textile et à ses collaborations avec des artistes de renom. Chez VANGART, tout est confectionné avec soin et précision, dans le respect de la tradition artisanale lyonnaise.
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Le stand Solid’Art présentera cette année les œuvres de deux pochoiristes du nord de la France :
Jef Aérosol, pionner de l’art urbain et référence internationale : https://www.jefaerosol.com/
Kelu abstract & Mister P, figures du street-art du Nord de la France : www.keluabstract.com
et Sandrot, peintre animalière : www.sandrot.com
LES ARTISTES Exposants
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« En 1987, j’ai participé à la création de céramique japonaise avec une
association Internationale du Japon basée à Mexico, où j’ai découvert la beauté de la ligne et son rythme… cela m’a permis d’approcher une autre culture, de découvrir un autre regard sur la vie. Cette expérience ma donnée l’envie de voyager en l’Amérique centrale où j’ai vécu avec des peuples indigènes et j’ai eu le privilège d’apprendre leurs techniques artisanales ancestrales. »
Depuis son atelier de Fontès, dans l’Hérault, Martha expérimente la sculpture en utilisant divers matériaux naturels et recyclés, principalement le papier, le carton et la pâte cellulosique (crée par elle-même) en mettant en valeur les techniques anciennes avec des matériaux naturels.
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Issu du graffiti il s’est peu à peu orienté vers l’une de ces évolutions : le graffuturism, un art géométrique qu’il explore en jouant avec les couleurs et les formes, deux éléments fondamentaux qu’il imbrique et mélange pour donner vie à des créations méthodiques qui définissent aujourd’hui son style. Une transposition de la géométrie dont il s’amuse, pour composer des œuvres originales, pétillantes et colorées. Ses inspirations sont diverses et se trouvent dans la vie de tous les jours entre architecture, urbanisme, design, nature, et tout ce qu’il voit (et ne voit pas). Captivé par les anamorphoses, il en réalise depuis 2017, et notamment dans les couloirs de la résidence Ambroise Croizat de Villejuif en 2018 pour lesquels il sera récompensé par le Ministère de la Culture avec les autres artistes du projet. Il évolue depuis trois ans aux Ateliers Ernest Michel (Line Up Association), à Montpellier.
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Jeune artiste guinéen installé à Montpellier, Bella Bah s’exprime aussi bien sur toile que sur les murs de la rue. Dans sa palette, ce sont ses émotions, son histoire et ses expériences qui définissent les couleurs. Evoluant dans un microcosme artistique, il s’inspire de ses pairs pour développer son propre style. Coloré et exotique, l’univers de Bella Bah vous fait voyager sur un autre continent.
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Pharmacienne de formation, rien à priori, ne présageait Kathy à investir le milieu artistique. Durant plus de 25 ans, dans son atelier, elle s’exerce aux techniques de la sculpture et de la céramique. Après 4 ans de formation à l’école de Beaux-Arts de Sète (Hérault), elle entre en apprentissage en tournage et estampage chez un potier à Frontignan puis découvre l’art de Raku, une technique ancestrale de cuisson de poterie japonaise. Sétoise d’origine, Kathy s’inspire tout naturellement de son environnement géographique. Le littoral méditerranéen regorge d’une faune marine diversifiée qu’elle va réinterpréter. Elle met alors ses œuvres en scène pour créer un « zoo » pas comme les autres…
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Par la peinture, et plus récemment les assemblages je m’attache à traduire dans la matière
l’expérience d’un cheminement initiatique influencé par le chamanisme toltèque, l’ésotérisme et plus largement ce qui a trait au monde des énergies.
Mes œuvres souvent métaphoriques, naviguent entre contes chamaniques, ou holographies
cosmogoniques et invitent autant à la spontanéité d’une lecture intuitive qu’à se laisser emporter dans des mondes imaginaires en compagnie d’un Jules Verne galactique, ou d’un Shaman amazonien. Né en 1960, il vit et travaille à Fontès dans l’Hérault.
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Claire Bonnet-Masimbert est une artiste plasticienne vivant près de Montpellier. Après une carrière d’entrepreneuse dédiée au design de
vêtements de prêt-à-porter à Paris et Montpellier, Claire décide d’opérer une transition en 2018 pour revenir à ses premiers amours : la peinture et la sculpture. Claire B.Masimbert compose des incipits par l’esquisse. Plus que des silhouettes, elle peint ou modèle des contours évoquant les êtres sensibles que nous sommes. Le corps, dépouillé de ses particularités se fait originel et devient réceptacle. L’expression
«prendre corps » trouve ici tout son sens.
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En 1985, il s’installe à Montpellier où il devient très vite une des figures du paysage culturel de la ville. Il s’intègre au milieu artistique local où se côtoient et parfois se mélangent le rock et les musiques alternatives (ainsi il fera des pochettes pour des disques), la nouvelle figuration, la bande dessinée et le street art. Avec avidité, il se mêle à tous ces courants et affectionne la collaboration avec d’autres artistes, pour des expositions, voire des œuvres collectives. L’Atelier du Garage, dans le quartier des Beaux arts, qu’il partage pendant dix ans avec Isabelle Marsala, s’ouvre tous les premiers jeudis du mois pour des vernissages qui en font un formidable lieu d’échange pour les artistes, musiciens, écrivains et curieux de toute la région. Son œuvre devient vite familière à tous. Couvertures de livres, de journaux, pochettes de disques, affiches, livres illustrés allant du polar à la haute bibliophilie, fresques murales ou mobilier de bar, Bocaj est partout. Sa collaboration exemplaire depuis onze ans avec le festival Jazz à Sète est une preuve de l’efficacité et de l’impact de ses créations.
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Gérard Bru fait vibrer la couleur. L’artiste mêle, du plat de son couteau, des chenilles de bleus, une pointe de gris, une traînée de beige. Il compose. Et c’est une harmonie. Son ciel emplit la toile et sous ce velouté, votre rêve prend vie. Le dos d’un mur béant, l’aile d’un angle mort, le songe d’une nuit… Face à son chevalet, le peintre s’installe dans son monde. S’il vous tourne le dos, c’est pour vous dévoiler le vif de sa peinture. Sa palette s’anime. Une étrange douceur vous bouscule. Votre regard divague…
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Ursula Caruel est née en 1976 dans les Ardennes, elle vit et travaille à Montpellier. Elle est diplômée d’un DNSEP aux Beaux-Arts d’Aix-en-Provence et d’un DN MADE de l’École Supérieure des Arts Appliqués et Textiles de Roubaix. Passionnée de botanique, elle défend un art local et nomade où la mise en vie du dessin est biomimétique. En 2020, ses dessins entrent dans les collections du Mobilier National. En 2022, elle lance, avec l’aide de la DRAC Occitanie, un projet international d’art végétal.
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Née dans le Tarn, ses créations empreintes de scènes figuratives font résonance aux personnages de Fernand Léger. C’est ce même univers que met en scène Clara Castagné, sur des cartes géographiques ou anatomiques scolaires qui ont cultivé notre esprit durant l’enfance.
Ses thèmes principaux sont les scènes de famille, la mythologie, le corps humain. Ses personnages, à la rondeur rappelant les silhouettes des artistes modernes, Léger, Matisse, Picasso, prennent et donnent vie à des cartes géographiques ou des planches anatomiques.
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Ces tableaux sont des rébus, chaque image est une énigme, il faut alors déchiffrer. Des lèvres trop gourmandes, des sourires ironiques, des gestes interrompus, comme figés dans l’attente, des couleurs éclatées qui pénètrent et impriment notre cerveau par trop lassé du noir et blanc bien pensant !
Et l’entrelac. Et la manière. Caroline entremêle son dessin, son dessein, celui de nous faire partager, au delà de la caricature picaresque, les méandres de son cheminement créatif.
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Céc’ connait tôt son amour pour les Arts et ses études en Arts Appliqués lui permettent d’acquérir une grande diversité de savoir-faire. Un cursus varié avec toujours un amour pour la couleur, la nature et le voyage, comme un fil rouge qui continue à habiter ses œuvres. De son intérêt pour les voyages et les histoires imaginaires né un univers constitué de drôles d’oiseaux et de plantes tropicales. De l’illustration papier en passant par la toile et les fresques murales, elle traduit en finesse et en couleurs maitrisée ces territoires exotiques utopiques, une manière de donner au spectateur sa vision poétique, admirative et gaie sur ce que la Nature peut nous donner.
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Après 5 ans passées aux Beaux-Arts de Paris, Sabine Christin s’est lancée dans une voie singulière. Fascinée depuis son enfance par la matière-papier, elle a très vite choisi d’explorer le collage.
Elle a inventé une technique originale à partir de papiers de couleur collés, de matité, de transparence, d’épaisseur et de rayonnement contrastés. Coller, découper, déchirer, assembler, superposer, autant de techniques en apparence simples, qui créent des effets visuels d’une grande complexité.
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Son berceau, SETE. Son pseudonyme, CLÔDIUS. Son nom, COMBAS.
C’est à l’aube de ses 60 ans qu’il a nourri, à l’instar de ses illustres frères, le dessein de devenir artiste, et a décidé de franchir le pas et de se lancer dans le monde de l’art. L’art naïf, ou l’art indiscipliné, devient la marque de fabrique de l’unique Claude Combas. Clodius rend hommage à travers ses toiles qui provoquent l’étonnement, qui sentent l’innocence, qui invitent au dépaysement et qui suscitent l’imaginaire, à l’art naïf et à sa majestueuse ville de Sète.
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cssJPG Jenfi, développe une forme d’art participatif destiné à sensibiliser et à questionner le plus grand nombre sur les enjeux environnementaux.
Particulièrement impliqué dans la vie culturelle et sociale, il réalise un travail d’investigation en lien avec notre environnement (naturel, social, urbain, virtuel et intime) qui forme la base de sa réflexion artistique.
En nourrissant une approche transdisciplinaire, cssJPG développe une vision pluraliste de l’art, qui facilite le transfert de compétences et de savoir-faire, pour faire de la créativité un moteur de développement social.
“Je partage l’idée que l’art est la plus belle façon que l’homme ait trouvé pour marquer son histoire et appréhender son environnement. C’est pourquoi je vous invite à faire de l’art ensemble.”
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Élisabeth Daynes combine Art, science et technologie afin de redonner un visage à nos ancêtres. Paléo artiste à l’origine, elle mène à présent une réflexion sur les visages et les corps à l’heure contemporaine et dans un futur proche. Deux axes président ses créations : la beauté et les nouveaux outils liés à la connexion. Ses œuvres parlent de cette hybridation du vivant qui introduit de plus en plus l’artificiel dans le processus de l’évolution des espèces. Ses créations s’apparentent à des anticipations du futur de l’anthropocène par endroit cauchemardesque, mais aussi grotesque. L’artiste ne s’interdit pas d’introduire de la dérision au sein de ces nouvelles identités qui soulèvent des questions fondamentales : d’où venons-nous, que sommes-nous, où allons -nous ?
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J’ai fait mes premières armes au Centre de Formation Audiovisuel Promo-Femmes, ce qui m’ouvrit les portes du Centre de Formation en Photographie de Bamako (CFP) entre 2002 et 2004. J’y suis resté comme assistante technique au laboratoire photo argentique jusqu’en 2009.
Depuis, reconnue internationalement, je participe aux expositions collectives et réalise des expositions individuelles. Portraitiste, photographe social, mon travail se focalise principalement sur les femmes et les jeunes générations.
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Diabolo Bohème est une artiste contemporaine. Après un parcours musical, le graphisme et la photographie se présentent naturellement à elle en 2017. Elle expérimente diverses techniques qui varient selon les projets, ce qu’elle souhaite raconter : Les collages numériques avec de vieilles photos rétros chinées, la photographie, l’art de la mise en scène et plus récemment la photographie brodée.
L’esthétique et l’équilibre graphique entrelacent ses inspirations : la géométrie architecturale, les textures, la poésie d’un moment, d’un lieu, d’une personne, de la nature.
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Peintre autodidacte né en 1993 à Montpellier. Djordjevic a commencé à peindre en 2014 et l’émergence de son style est déjà manifeste. À l’origine était l’abstraction, puis des gures sont apparues sur des fonds monochromes délivrant un vocabulaire pictural et symbolique : chimères, hybridations homme-animal… nez pointus, exosquelette… et un exo-bassin emblématique, en forme de masque. Le fond abstrait reprendra le dessus, très « matiéré », criblé de projections se rapprochant de la saturation. Jusqu’à une nouvelle évolution vers un fond de toile vierge.
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Photographe autodidacte montpelliérain né en 1979, je me définis surtout comme un compositeur incrustateur photographique souhaitant mélanger ses références -souvent issues de la pop culture- à des photos de paysages urbains.
Devenue alors comme un énorme terrain de jeu, j’aime me réapproprier la ville et son mobilier sans les dégrader. Le résultat final est obtenu en post-traitement par ordinateur par superposition de plusieurs photos avec incrustation de dessins/graphismes dans une idée street art. Entre grand-angle, longue exposition, jeux de lumières et effets de vitesse, le spectateur est plongé dans un univers imaginaire.
Dr Speed – Photographe Montpellier – Compositeur Incrustateur Photographique
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Mon travail est l’autoportrait de mon âme, dissimulé dans les visages de toutes ces femmes.
Je laisse au sein de mes portraits, une partie de moi.
Je les remplis de ma vie, de mes sentiments, de mes humeurs. Tous mes choix sont inconscients, instinctifs, de la composition, à l’attitude du visage, jusqu’aux couleurs.
Derrière le graphisme, arrive le lâché prise. Ces femmes me permettent d’exprimer sans complexes toutes mes personnalités et mes choix, dont celui de l’engagement pour ma liberté, mais également celle de toutes les femmes dans le monde.
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Il s’agit d’un duo d’artistes. Leurs œuvres numériques se déclinent en tableaux mais aussi en installations interactives réagissant avec le son, l’image, le mouvement du spectateur, en décors animés de spectacle vivant. Quel que soit le support que revêt leur Art, il reste empreint d’une beauté saisissante, de poésie, de magie et d’originalité.
Leur travail reflète souvent leur perception du monde et de la Nature qu’il faut protéger et respecter. Tels des papillons, ils nous embarquent dans leur univers et nous laissent nous questionner sur la place que l’on y prend.
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Dans sa peinture, il utilise la technique mixte : le collage et le mélange de différents produits et matériaux récupérés de milieux divers. Le mélange à la fois des produits, des techniques diverses et
l’introduction du texte lui permettent de trouver une liberté de travail et de geste, une liberté d’exprimer ses idées, ses sentiments, ses rêves, ses pensées, ses joies et ses souffrances… Son œuvre est un espace de réflexion perpétuelle, il utilise différentes matières pour l’élaborer. C’est de cette alchimie, de ce mélange et de cette mixité de produits divers que naît sa peinture. Un travail qui ouvre de nombreuses fenêtres sur la diversité du monde, tel un macroscope…
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Je suis street artiste et peintre Montpelliérain de 26 ans. Je crée et dessine tous les jours depuis mes 16 ans. Mon nom d’artiste est Fragments. Je propose des créations sur différents supports, peintures murales, collages fragmentés et peintures sur jean découpé. La plupart de mes créations sont un mix de représentations figuratives comme des animaux, des yeux, des personnages, etc… et des objets symboliques ou naturels. Mon but est de stimuler visuellement grâce à une composition harmonieuse tout en suggérant une interprétation symbolique et subjective. J’aime explorer les thèmes de l’esprit, de l’onirisme, du symbolisme, des tribus et des animaux.
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Inspiré par les grands maîtres de la peinture occidentale et par les œuvres traditionnelles orientales, ma peinture est une recherche de l’âme humaine, tiraillés entre les cases sociales, ethniques et géographiques, pour ne trouver que l’essence pure des émotions et des sentiments que nous pouvons tous ressentir, brisant ainsi les barrières physiques ou morales que les sociétés modernes peuvent nous imposer. Chaque sujet que je traite est intimement lié à ma personnalité, à mon histoire et à mes désirs. Parfois en voulant trouver l’harmonie de mes deux cultures, parfois en les séparant violemment, comme pour exprimer ces sentiments paradoxaux que je peux ressentir dans ma vie de tous les jours. Je travaille la peinture à l’huile, l’acrylique, l’encre de Chine et les outils de dessins (marqueurs, crayons, fusain).
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« Gastaldi fait émaner une nouvelle matérialité avec les objets du réel : il sort non seulement les entrailles de nos réalités devenues muettes par l’habitude, mais aussi les allège des règles du jeu en essayant de dessiner de nouvelles lois. Au premier regard seulement ces collages rappellent ceux de Rotella et Villeglé. Un regard plus intense révèle que Gastaldi s’intéresse moins à l’acte du déchirement qu’au travail de reconstruction qui ressemble à celui du peintre travaillant ses pigments de couleur pour donner aux matériaux utilisés une dimension poétique. »
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À travers les différents supports et techniques issus du travail de la laque, de la linogravure ou du dessin d’illustration, les créations d’Aurélia Gritte prennent source aussi bien dans les courants asiatiques traditionnels et modernes que dans l’art contemporain.
Dans ses tableaux, caractérisés par les couleurs chaudes et la brillance de la laque (vernis Martin), de l’huile et des pigments naturels, les figures détourées à la façon des dessinateurs de mangas se font tour à tour l’écho des codes stylistiques asiatiques, des courbes arabesques de l’Art nouveau ou des lignes droites et épurées de l’Art déco. L’artiste qui se définit comme un « rêveur social » y pose ses révoltes aux formes chaotiques en une géométrie maitrisée qui s’ordonne tout en force et en netteté.
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Diplômée des Beaux Arts de Montpellier Anaïs-Armelle vit et crée dans le sud de la France. Elle est une femme photographe et plasticienne, porteuse d’un travail photographique singulier et affirmé ; mais aussi porteuse de valeurs et de projets sociaux, culturels et féministes.
Son travail photographique et narratif fait appel aux mythes et se joue des limites entre fiction et
réalité. A travers son travail elle se saisit – avec grande passion et minutie – tout particulièrement
de sujets proches de l’histoire, du corps et de la représentation des femmes ; des violences conjugales et féminicides ainsi que de la sororité et la sorcellerie.
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Difficile d’imaginer Hugo Jules Mathias devant une toile blanche, face à son chevalet et à lui-même, tant ses tableaux abstraits débordent de couleurs, de folie et d’énergie. L’artiste peint à l’instinct, avec sa gourmandise et sa générosité. Le bonheur, le soleil, la joie de vivre habitent sa peinture. Mais un coeur ne parle pas d’amour. Il s’emballe ou il s’endort… Alors pudique, HugoJulesMathias n’évoque pas les secrets de son atelier. Il n’explique pas sa peinture. Il préfère la vivre. Mieux encore, qu’elle puisse vivre hors de lui. Et ici, tous les éléments vitaux sont présents, symboles universels. Les formes primitives, le carré, le cercle évoquent la terre. Les couleurs, notamment les rouges incandescents qui dominent souvent ses compositions, enflamment les toiles.
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Boris Jouanno se positionne avant tout comme un artiste multiple aux techniques mixtes; gravure, peinture et dessin qu’il applique sur tous les supports qu’il peut détourner, créant de véritables oeuvres d’art. Le choix de Boris s’est porté sur la pratique de sa peinture “d’expressionniste libre” teintée de narratif, en intégrant tous les objets muraux faisant partie de ces lieux. Ainsi les tuyaux se transforment en cordes de contrebasse, le radiateur en accordéon, et la prise de courant relie bien sûr l’ampli à la contrebasse afin de les incorporer dans son travail. Ses oeuvres se révèlent extrêmement intenses de par ses multiples réalisations, notamment lorsqu’il se joue d’un slogan pour animer sa vision artistique tantôt subversive, tantôt poétique, ou les deux à la fois.
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John Moussa Kalapo étudie au Centre de Formation en photographie de Bamako (CFP) où il suit une formation en photographie conceptuelle-créative et d’art.photographe documentaire, il utilise la narration et le photojournalisme pour aborder les problèmes de la société. En mettant l’accent sur les aspects sociaux, physiques et émotionnels de la vie quotidienne. Il observe et photographie en mettant en lumière des problèmes de société trop souvent négligés. Travaillant comme consultant – reporter-photographe pour des organisations non gouvernementales (ONG), il intervient sur plusieurs projets d’archivage au Mali et œuvre par ailleurs pour la sauvegarde, numérisation et l’archivage du patrimoine des grands photographes africains Malick Sidibé, Abderrahmane Sakaly, Tijane Sitou et Adama Kouyaté.
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Alexis Kenz est un artiste peintre né en 1986 à Montpellier. Autodidacte pratiquant le graffiti avec passion depuis 2001. Son travail évolue aujourd’hui dans un univers abstrait, parmi lesquelles, lignes, formes et couleurs cheminent à travers différents supports et formats. Une quête de l’esthétisme, de l’équilibre dans les compositions et plus largement de l’émotion à laquelle il souhaite inviter le spectateur. Par un travail de recherche sur la forme, la composition et la gamme chromatique qu’il explore depuis de nombreuses années, il propose des œuvres modernes qui au travers des codes du graffiti, ouvre à un large public une interprétation propre à chacun.
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Né à Lille en 1984, diplômé en sociologie puis enseignant spécialisé auprès d’élèves non francophones, Romain Kulczycki a d’abord réalisé comme photographe autodidacte des projets documentaires dans les Balkans, en Chine, ou dans le Nord de la France.
En 2019 il devient diplômé de la Nuova Accademia di Belle Arti de Milan et réalise divers projets dans le sud de l’Italie. Il réside depuis 2021 entre Arles et Paris où il continue d’enseigner tout en menant ses projets artistiques.
Influencé par les sciences sociales et la littérature, il envisage la photographie comme un moyen d’appréhender le réel de manière transversale. Il s’intéresse notamment au fait urbain, à la relative question de la modernité, et se concentre sur la notion de territoire(s) ainsi qu’aux identités qui y sont rattachées en développant une approche intuitive et une narration personnelle.
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David Kunzli est né en 1972. Il se forme en dessin publicitaire à l’école des Arts graphiques Corvisart à Paris. Il abandonne rapidement la réalisation de maquette au profit de la pein- ture, qu’il pratique depuis son plus jeune âge. À la recherche d’une écriture personnelle, David Kunzli parcourt l’Asie et treck des mois dans les montagnes de l’Himalaya. De ces séjours nait sa technique, une interrogation qui l’amène à l’essentiel, des visages ronds du bouddhisme au plus aigüe des mondes de l’est. Dans ses premières pratiques, David utilisait le médium de l’huile mais jugé trop riche, il décline son ouvrage dans un dépouil- lement simple prêt à raconter l’humilité des personnes qu’il a rencontré. Sur le support, les matières fondues deviennent graphiques dans la puissance du trait, résonnent dans les interstices des bois creusés l’intériorité de l’être, de toi de moi. Dans un espace, il organise ses unités d’hommes et de femmes aux placements imprévus, génère une ambiguïté du comportement sociétal. Interférant avec alliance et opposition, ils se regardent, se ren- contrent, se retrouvent et se perdent dans le cycle actuel.
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Mon travail et ma démarche ne correspondent pas à une tendance ou à une mode avec le recyclage. Impliqué créativement depuis que j’ai compris que ces matériaux pouvaient être valorisés à travers leurs défauts, il me suffisait d’orchestrer, de réunir et de bâtir les édifices de ces personnages hauts en couleurs. L’estampillage et l’identité de chaque personnage est valorisée grâce à des matériaux anciens et modernes : intergénérationnels. Leurs mémoires de formes ou d’utilisation ont permis de concevoir notre monde actuel. Entre réel et imaginaire, l’énergie de ces matériaux s’inscrit dans la géométrie de l’espace. Les capacités artistiques de chaque déchet selon leurs formes, angles, couleurs, et surtout leurs capacités à fusionner avec un autre fragment de métal me permettre de présenter un travail sans codes, accessible et lisible; ludique et optimiste.
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Jordy Le Bruchec est un artiste autodidacte originaire de l’Hérault, spécialisé dans la création d’œuvres de grande taille. Son travail est très détaillé et exprime un univers qui lui est propre, issu de son imagination. Il ne se réfère à aucune référence visuelle ou culturelle directe et se laisse porter par son inspiration sans intermédiaire. « Il y a un message récurrent dans mes tableaux, ce mélange tourmenté entre formes végétales, organiques et mécaniques, la notion de surinformation, des visages inquiets entremêlés et engloutis dans cette forme en mouvement que rien ne semble pouvoir arrêter, et qui évoque l’absurdité du monde dans lequel nous vivons. »
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Artiste peintre autodidacte, je peins et dessine depuis mon enfance. J’entame une carrière de styliste sur Paris puis, de responsable de vente sur Montpellier jusqu’au 1er confinement où je renoue avec la peinture. Durant ce temps libre, je réalise une série de portraits d’enfants à l’aquarelle pour mon entourage. Puis, je commence en 2021 une collection de portraits de femmes à l’acrylique « POP SITIVE » aux corps déstructurés aimant jouer avec les lignes et les codes. Engagée et colorée, cette collection très graphique aborde le sujet de l’émancipation de la femme de façon décalée sur un fond minimaliste.
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Cécile Maurel travaille d’abord comme dessinatrice en impression textile en free-lance en collaboration avec des bureaux de style pendant une dizaine d’années. Elle s’installe à Los Angeles de 1996 à 2001, s’inscrit au Pasadena Art Center et au Barnsdale Art Institute pour suivre des cours de peinture tout en poursuivant son travail de dessinatrice textile.
De retour en France, s’installe à Marseille pendant 17 ans, peint dans son atelier et expose son travail dans des galeries et différents lieux d’expositions. Retour aux sources dans l’Hérault en 2018, où elle reprend l’atelier d’un sculpteur à Lunel qui lui permet de travailler sur de grands formats comme ses grands lés de calque de 6 m de longs.
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Travailler à la recherche de nouveaux signes pour représenter le réel. Dessiner des corps, des visages par amour de la figure et ses possibilités expressives. Évoquer des espaces, des architectures avec la primitive intention de les rendre visibles pour mieux les habiter et arrêter le temps d’un regard, le flux d’idées pour laisser la place au monde plus subtil et insaisissable des émotions. Peindre aux frontières de la réalité, là où elle prend des résonances poétiques, imprévisibles. Détecter et chasser les routines. Me retrouver là où je n’avais été, me placer face aux énigmes pour laisser agir l’intuition, notre seule arme créative face à l’inconnu. Dans la peinture que j’aime, il n’y a pas de symboles à interpréter, ni concepts à déchiffrer. Elle répond à des besoins intérieurs, plastiques et expressifs.
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Plâtre, lin, coton, laine, plastique, sable, bois, toile … tout ce qui est matière constitue le terrain de jeux de ma créativité, depuis plus de 20 ans. Luminaires, sculptures, tableau, j’aime sortir du cadre, innover. Mes créations peuvent parfois surprendre par les techniques multiples et inhabituelles que j’utilise, mais elles sont en général apaisantes. Pour cette nouvelle exposition, dans le cadre de Solid’Art Montpellier, j’ai souhaité présenter des œuvres qui mêlent matériaux nobles, comme le lin ou l’alpaga aux matériaux plus rustiques comme le chanvre, la paille, le bois. Cette diversité de matière est à l’image de ce que je prône. Dans l’art comme dans la société, c’est la diversité qui crée l’harmonie.
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Caroline Montigneaux est une peintre et dessinatrice dont les œuvres ont figuré dans des expositions et des publications à travers la France. Adoptant une approche gaie et lumineuse de la couleur et de la silhouette, elle compose des portraits amusants à l’encre de Chine ainsi que des œuvres agrémentées d’une touche de street art, le tout dans son univers singulier de Petites Nanas.
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Ma démarche artistique se scinde en 2 visions temporelles. La première est celle d’un artiste contemporain qui critique une société qui a perdu le sens des valeurs et qui marche sur la tête comme on peut marcher sur des bouches d’égout sans savoir que d’après Marcel Duchamp, père de l’art contemporain, la bouche d’égout est un ready made et une œuvre d’art exposée dans les plus grands musées du monde. La seconde se situe dans une ère qui serait celle d’une post civilisation industrielle, en se plaçant comme un archéologue qui irait relever les empreintes d’une ancienne civilisation éteinte : la nôtre. Mon matériau essentiel est vivant et complètement celui de la civilisation du métal : La rouille. C’est une matière évolutive qui offre la surprise de ses constantes transformations / mutations.
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Muriel Chevènement (MuChe) peint depuis 1996. Elle a construit son parcours de peintre des cours de l’école des Beaux Arts de Nîmes à un collectif d’artistes montpelliérains.
L’artiste est liée à la nature qui l’entoure, le littoral occitan, les étangs, et plus généralement aux vastes espaces, ces champs de lumière et de couleurs.
Lumière, couleurs, reflets sont au centre de son travail, une interprétation du dialogue qui existe entre les éléments naturels, le ciel et l’eau qui est son miroir. Le minimalisme des moyens picturaux est un désir de pureté, de simplicité.
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Né au Vietnam, je vis en France depuis l’âge de 18 ans.
Mon travail actuel s’articule autour de vues urbaines ou de paysages et tend à créer des
atmosphères particulières, à restituer des sensations. Il s’exprime par des nuances de gris, des
couleurs estompées, des contours flous où la réalité et l’imaginaire s’entrelacent pour puiser
dans les réminiscences du passé, faire resurgir des souvenirs, susciter des émotions. C’est une peinture teintée de lumière, d’intemporalité et d’espoir.
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Lexane Laplace et Camille Kirnidis sortent diplômées de l’École nationale supérieure de la photographie d’Arles en 2017. Afin de garder une énergie et une richesse de création, mais aussi pour évincer la solitude qui touche les métiers de faiseurs d’images, elles créent ensemble le Studio Poil de chameau en 2020.
Basé sur Arles, cet espace collectif de création visuelle est tourné vers la production de design graphique, d’illustrations et de photographie plasticienne. Leur travail s’inscrit dans une recherche esthétique et engagée, afin de proposer des univers variés, poétiques et colorés.
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Richard Pommier est avant tout sculpteur. Le métal est sa matière d’élection avec laquelle il procède à des réassemblages, recréant des personnages drolatiques et un
bestiaire foisonnant. Il a également une production en peinture, dessin et céramique.
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Artiste belge et passionné, je crée chaque jour car l’art m’est nécessaire. Les bombes sont mes outils de prédilection, elles m’offrent une liberté plus difficile à acquérir avec des outils classiques. Après des études en arts et aux beaux-arts, c’est en bousculant mes acquis que je trouve mon style et ne cesse de le faire évoluer. Créer un pont entre l’art abstrait et le graffiti est un peu mon fil rouge. Je crée spontanément, chaque trait entrainant le suivant. Je suis un artiste heureux.
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Artiste peintre d’origine argentine, formée aux Beaux-Arts de Buenos Aires, elle choisit Paris en 1981 pour continuer sa carrière artistique. Ses œuvres s’exposent dans le monde conjuguant danse et peinture, savoir technique et don de soi, figurant dans des collections publiques et privées à Buenos Aires, New York, Londres, Paris, Bonifacio, Jakarta, Singapour… et actuellement à Montpellier où elle installe son atelier en 2016
Portraits, façades urbaines et le tango argentin inspirent ses peintures ou encore ses dessins, gravures, sculptures. Liliana peint sur toile ou sur papier liant multiples techniques : peinture à l’huile, pastel, feuille d’or , impressions, gaufrage…ainsi , ses souvenirs émergent fusionnant matière et transparence, graphisme et couleur.
Sa peinture nous charme par la douceur nostalgique des couleurs, tandis que son dessin interpelle et nous transporte au cœur même de la danse.
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L’artiste norvégienne Oddbjørg REINTON s’est toujours laissée guider par les contrastes et
l’évolution des écosystèmes. Elle est arrivée en France en 1986 pour entreprendre des études
d’art. Depuis elle travaille sur les regards croisés entre le nord et le sud, le froid et le chaud, le
clair et l’obscur, le plein et le vide, l’apparition et la disparition, le proche et le lointain – tout en
observant la faune, la flore, la mer et la terre.
La solidarité est une idée clé dans son travail multifacette.
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Je travaille sur « l’autre infiniment autre ». La sérialité et la réécriture de l’existant permettent d’illustrer cette altérité. L’accent est ainsi mis, dans un premier temps, sur la syntaxe plastique de chaque œuvre. Les portraits représentent, dans leur succession, un itinéraire progressif entre transparence et opacité vers les profondeurs de notre humanité par l’utilisation assumée du
palimpseste qui va en perturber la représentation. Ce n’est pas uniquement un processus technique
de réécriture car sa définition même lui confère un double statut. Il est à la fois oubli et mémoire, trace d’une disparition et porteur d’une création, une négociation du trait réitéré avec les variations des supports.
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Sancko est une artiste peintre, street artiste, collagiste et performer engagée. Ses peintures abordent des thèmes actuels, politiques
ou sociaux et apportent une réflexion sur l’identité et la différence. Un univers noir & blanc intense, ponctué de rouge où sexe, passion, sensualité, douceur, douleur, blessures et combats, se mêlent et se démêlent. Outofthe.black est un directeur artistique et artiste travaillant à la fois sur des projets de commande mais également sur divers projets artistiques personnels ou citoyens. Son univers minimaliste et géométrique s’articule autour de thèmes comme l’ordre et le chaos, l’hybridation ou la distorsion du réel.
De leur rencontre est né SANCKØBLACK, un nouvel univers singulier, mêlant leurs différentes aspirations.
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Petite fille de sculpteur sur bois et ébéniste, enfant dans son atelier j’ai appris à son contact la beauté ét la précision du geste, le sens de l’observation, la patience, le goût des formes et volumes et celui des matières nobles. C’est la terre qui m’a conquise et passionnée avec toutes les possibilités de créations qu’elle offre : toucher, modeler, poncer, émailler. J’utilise du grès, et pratique différentes techniques de cuisson et d’émaillage suivant mon inspiration. Depuis 25 ans, je créé des personnages et animaux réels ou sortis de mon imaginaire.
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Fasciné par le rapport qu’entretiennent l’Art et la source photographique depuis mes études d’Histoire de l’art, je base mon travail de figuration sur la reconstruction d’images.
L’acrylique, combinée au dessin, est mon médium de prédilection. Ma technique du collage est mixte. Je confronte mes dessins détourés au scalpel à tout un univers d’images parcellaires glanées dans des revues, journaux et autres supports. En les réinsérant dans de nouvelles compositions, je m’attache à leur donner une autre sémantique dans ce processus de détournement. Artiste plasticien, Seb. M vit et travaille à Montpellier.
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Magali Sire aime peindre ce qui n’existe pas, en tordant des réalités, qu’elles soient historiques ou anatomiques. La touche décalée est omniprésente dans ses créations, et l’insolite reste le principal ingrédient de son langage avec un goût prononcé pour l’anachronisme et le surréalisme. Dans son travail avec l’aquarelle, elle utilise exclusivement du papier ancien, datant la plupart du temps des XVIIIème et XIXème siècles, donnant ainsi à ses peintures un aspect désuet et intemporel.
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Déjà toute petite, j’adorais mes stylos et mes feutres. Je n’aime pas vraiment les jeux d’enfants. Moi ce que je veux, c’est dessiner. À 16 ans, je saisis l’opportunité de « croquer » des modèles vivants ». C’est exactement ce qu’il me faut, un modèle qui « bouge ». Pour moi, avec cette expérience, c’est le déclic. Ma confiance en bandoulière, je démarre une licence en Direction Artistique à l’ECV à Bordeaux, puis je décolle pour Londres. Je complète ma licence avec un Master en graphisme à la Kingston University. Mon premier monde professionnel : la mode londonienne. Un vrai délice où mes techniques de dessinatrice se construisent. Et une révélation : des monochromes tranchants et impactants. En 2018, je déménage près de Perpignan et je découvre une ville et des alentours pleins de vie et de nuances… les couleurs fortes et pétillantes deviennent petit à petit ma signature.
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Les oeuvres produites par Street Hacking sont généralement liées à l’univers du street art et de la technologie. Ces champs d’action permettent d’explorer et de mêler les univers du graffiti, du collage mais également de la pop culture et de l’informatique (numérique, gaming, pixel art…). Concernant les oeuvres produites par Street Hacking dans le but d’être exposer, l’artiste utilise majoritairement la technique du graffiti par pochoir pour créer des objets, personnages ou situations. Ces oeuvres prennent vie grâce à une puce NFC ou un QR code figurant sur l’oeuvre pour accéder à du contenu supplémentaire sur smartphone en réalité augmentée.
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Originaire de Marseille où il vit et travaille, Laurent Giordano dit WILE, fait partie de ces gens qui ont toujours eu la fibre artistique et n’ont eu de cesse de la développer. WILE débute sa carrière en tant que graphiste indépendant et ce n’est que quelques années plus tard qu’il ressent l’envie de coucher ses idées sur la toile. Tout aussi passionné qu’entreprenant, il travaille assidûment au développement de son langage pictural pour ensuite partir à la rencontre des professionnels du milieu de l’art et ainsi confronter sa pratique à leur œil critique. WILE travaille à partir de photographies prises sur le vif au hasard de ses déambulations urbaines, qu’il interprète au moyen de ses bombes et pochoirs.
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De mes nombreux voyages, je puise dans mes souvenirs des sensations et des couleurs sud-américaines, les signes et les symboles de la culture aborigène australienne ou encore l’art ancestral japonais, à travers l’usage de l’encre de chine. Ayant tissé des liens entre toutes ces cultures, je réintroduis subtilement mes sensations, mes ressentis par des textures, et surtout par la couleur. Mon matériau de prédilection est le papier, le fil conducteur de mon travail. De là, s’assemblent des couleurs que je veux, énergiques, vives, fortes, fluorescentes, en recherchant l’harmonie et ainsi se forment des compositions ; Comme des patchworks de vie, de souvenirs, de sensations…
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Le travail de Damien DEMAITER est un échange permanent et laborieux entre la matière qu’il utilise et son état d’être, ses émotions, ses vibrations. Continuellement en connexion avec ce qui l’entoure, il n’a de cesse d’explorer et d’expérimenter l’expression de son ressenti. Un bouillonnement de vie qui l’ouvre à des techniques variées, orchestrées, mises en mouvement, en graphisme. Des associations parfois frénétiques, parfois subtiles, des jeux de recouvrements et de découvertes, des transparences, des révélations, des samplings de motifs et de symboles, des rythmes, des entrelacs de contrastes, une poésie picturale.
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Symbole du rêve et de l’inaccessible, c’est le nuage qui impose son rythme lancinant à l’esprit créatif de cet artiste rêveur. Comme posé dans le ciel comme un poème sous la plume de l’artiste, c’est tout un jeu de symboliques et de formes qui apparaissent dans l’œuvre de Varoc. Des nuages aux multiples formes semblent nous indiquer une direction, c’est la ligne de la vie fragile qui rejoint l’œuvre à l’artiste.
De l’autre côté de cette corde se situent des rues et des édifices bien ancrés dans le sol comme les fondations de nos âmes… C’est sur ces murs que se développe aussi la créativité de l’artiste. Entre fantasme et idéologie, pour le regard de celui ou celle qui saura s’y plonger.
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